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(2ème. complément ICI - 8.O3."17)
- LA LAÏCITÉ EN DANGER
- résistance laïque féminine
La provocation - dont la caricature n'est qu'un aspect - est constructive : elle vise à *provoquer* chez l'interlocuteur outré (à moins qu'il ne s'agisse que d'une brute primaire) la recherche de contre-arguments et donc une réflexion plus approfondie au final bénéfique à tous.
- résistance laïque féminine
La provocation - dont la caricature n'est qu'un aspect - est constructive : elle vise à *provoquer* chez l'interlocuteur outré (à moins qu'il ne s'agisse que d'une brute primaire) la recherche de contre-arguments et donc une réflexion plus approfondie au final bénéfique à tous.
Evidemment Abraham est un personnage mythologique - Moïse supposé bien plus récent est aussi fictif qu'Achille, Romulus ou Yudhishthira - mais il est l'archétype du schizophrène victime d'hallucinations "mystiques".
1a - LE DIEU D'ABRAHAM, DIEU D'AMOUR ET DE PAIX ?
"Yaweh"
"Dieu le Père"
"Allah"
Au Bataclan (comme en Syrie et en son temps en Algérie) : décapitations, éventrations, éviscérations, mutilations génitales, yeux crevés et testicules arrachés…. avant la mise à mort.
[ Le terrorisme islamique (et non pas islamiste)
se développera aussi longtemps que ceux au pouvoir proclameront qu'ils sont en guerre
mais ne la font pas. On ne fait pas la
guerre au "terrorisme" qui n'est qu'un outil mais à la "cause", à l'idéologie qui l'utilise.
Tant que l'on
n'aura pas désigné explicitement :
- l'ennemi = l'Islam traditionaliste, l'Islam barbare, cruel, ignorant, superstitieux des pillards bédouins du VII° siècle,
- ceux qui le propagent : les imams et 'savants de l'Islam'
"fondamentalistes", qu'ils se déguisent (comme à Brest) ou non (les
frères Ramadan) en Saoudiens pour prêcher leur salafisme,
- ceux qui le financent : les théocraties wahhabites, surtout notre "grande
& honorée amie" l'Arabie Saoudite,
- ceux qui le soutiennent et le banalisent, de l'islamiste Erdogan aux Musulman(e)s soi-disant "modéré(e)s" qui
affichent leur adhésion à cet Islam non Coranique par le costume, l'exhibitionnisme agressif (ni le voile, ni la barbe, ni le bonnet à prière ni
le "costume arabe" ne sont Coraniques),
- ce que l'ennemi
attaque à travers nous, ce que nous devons non seulement défendre mais aussi exalter comme
contre-propagande et cultiver face à l'ennemi : pas le
gouvernement en place, pas simplement notre droit à ne pas vivre dans la peur
mais tout ce que la France représente et qui est tout ce qu'ils HAÏSSENT
: la liberté - TOUTES LES LIBERTÉS - l'égalité (des sexes,
des genres, d'inclinaison), la laïcité, la démocratie (pour
eux blasphématoire : seul leur
dieu peut dicter des lois), le
respect de / l'indifférence à la vie privée des autres, la modernité
des Lumières et de la Science, la rationalité, l'amour (encore plus absent du Coran que de la Torah), la fraternité détendue de la fête, la joie, la musique, le plaisir, une
vie libre du masochisme obsessionnel de la culpabilité, libre de
l'autoflagellation et de l'autoprivation, libre de la peur permanente du péché
et de l'Enfer... : la jahiliyya
heureuse, la VIE tout
simplement,
tant que l'on
n'aura pas très clairement défini et exposé la réalité de la situation on ne
fera pas la guerre mais du mauvais théâtre, on jouera les matamores "politiquement
corrects" en donnant de grands coups d'épée dans l'eau.
L'EI n'attaque pas la France pour sa participation (minime) en Syrie et en Irak : tout au plus un médicre argument pour les islamistes et islamolâtres tentant de dédouaner l'Islam et pour les imams sergents-recruteurs de l'islamisme radical- le genre francophobe homophobe gynophobe musicophobe et buveur de pisse de dromadaire qui se déguise en Saoudien.
Quand "Au nom d'Allah le très miséricordieux (!!!) huit frères portant des explosifs et des fusils d'assaut ont pris pour cible des endroits choisis minutieusement à l'avance au coeur de la capitale française ... le Bataclan ou étaient rassemblés des centaines d'idolâtres dans une fête de perversité" la motivation est strictement religieuse, la politique étrangère de la France est hors de cause. En fait la France est la cible provilégiée des jihadistes car elle incarne tout ce qu'ils haïssent : le pays de Voltaire et du scepticisme souriant, de la liberté de conscience et du droit à l'irrespect et au blasphème, de la véritable laïcité, de la démocratie, des droits de l'Homme et du respect de la Femme, de la diversité dans l'unité nationale, des jolies femmes, du saucisson-beaujolais, de la joie de vivre.
(la mouvance goth est celle qui révulse le plus les culs-bénis :

dans leur ignorance et leur paranoïa ils la croient "satanique")
Mais en France nos politiques sont si frileux que
leur rédaction de la loi "anti-burka" a si soigneusement évité de
nommer ce qui était visé qu'appliquée à la lettre elle interdirait aux motocyclistes
le port du casque intégral...
Le
terrorisme islamique se développera aussi longtemps que les Musulmans véritablement
modérés n'auront pas fait le ménage au karsher dans leur Oumma : mais
sont-ils assez nombreux, peuvent-ils être écoutés ?
Dans le cas de l'Islam tel que traditionnellement enseigné (pas l'"Islam des Lumières" mais "l'Islam de ceux qui ne sont pas des lumières" ^.^) les Musulmans devraient être alertés par un PARADOXE fondamental (qui suggère que cet enseignement traditionnel est erroné, perverti et devrait être totalement ré-évalué). La suprème récompense pour un Musulman est d'être dispensé pour l'éternité de se conduire en Musulman : le "martyr" pourra forniquer comme une bête hors mariage avec des sex dolls biologiques jaune-vert sans être emmerdé par bobonne(s), picoler (à la rivière ou servi par de jeunes éphèbes : pédérastie ?) sans avoir la gueule de bois... (il ne manque que le jambon - beurre et le boudin aux pommes ^.^). Le paradis du soldat d'Allah c'est "le repos du guerrier mécréant" : ?
(la *présentation* de la vidéo est très "orientée ultra-Catho" mais la vidéo elle-même est religieusement "neutre")
En fait il s'agit très vraisemblablement de l'un des nombreux cas où dans le Coran un mot non pas arabe mais araméen ou syriaque (il y en a plus de 600 !) a vu son sens totalement déformé par la tradition orale populaire ensuite figée et "sanctifiée" dans la Sounna (les houris seraient en réalité des grains de raisin blanc !). En l'occurence les pillards bédouins qui ont été les premiers Musulmans ont fantasmé comme suprême récompense dans l'au-delà leurs rêves de guerriers barbares.
Au passage puisqu'au
Paradis le Musulman pourra baiser à loisir sans être emmerdé par bobonne(s) les Musulmanes ont-elles une âme ? Ou seulement les
quelques "femmes parfaites" (dignes d'être des hommes) dont
la liste n'est guère plus longue que celle des animaux admis au paradis
d'Allah (au maximum 9 dont un chien Chrétien) ?
La question ne se limite
pas à l'Islam : chez les Juifs ultra-orthodoxes les hommes consacrent leur vie
à ânonner les textes sacrés pendant que les femmes travaillent pour faire bouillir
la marmite.
(D'autant que les "vierges" sont bien plus probablement des grains de raisin blanc ^.^)
Mais en l'occurrence l'Islam - qui a bénéficié de l'expérience de 6 siècles de Christianisme pour améliorer ses méthodes de contrôle des esprits - n'a fait que pousser à son terme logique la règle fondamentale de l'Abrahamisme : POURRIR LE VIE DES CROYANTS POUR LES "TENIR" PAR L'ESPOIR D'UNE "APRÈS-VIE" MEILLEURE.Au sein de l'Islam l'Alévisme est l'école la moins incompatible avec le "vivre ensemble" - en fait il montre la direction menant à un "Islam des Lumières". Bien entendu, tous les autres Musulmans considèrent les Alévis comme des "hérétiques" et les autorités ± expressément islamistes (le pouvoir Turc sous Erdogan) les persécutent.
Tous les
En effet chaque croyant - ou plus souvent chaque prédicateur, chaque "école" - se fait sa religion "à la carte". Il ne peut en être autrement car il est obligatoire de choisir :
- entre les diverses
interprétations concurrentes du texte et ce à plusieurs niveaux
:
- dès le sens
des mots pris individuellement (surtout dans le Coran où bien des mots de sont pas
arabes : les houris sont-elles des sextoys bioandroïdes
ou des grains de raisin blanc ?),
- du sens
premier des phrases,
- de l'intention
des paragraphes : à prendre littéralement ou images / métaphores /
paraboles ?
- de leur nature
: message théologique ou simple mention anecdotique du contexte
du temps et du lieu ?
- de leur portée
: universelle ou limitée à des circonstances particulières ?
- Le degré
d'intransigeance de leur application, tant pour les 'croyants' que pour les 'mécréants'
;
- Entre les passages contradictoires du 'livre saint'.
La religion est un buffet self-service : chacun se compose son plateau à son goût (ou reproduit le
menu qu'on l'a "éduqué" à trouver bon). ]
Dans la Torah
(l'Ancien Testament des Chrétiens) le 'Tu ne tueras point' et les autres
Commandements du même ton ne régulent que les relations entre Hébreux :
voir (fin de Deutéronome 6 et début de 7) comment Yaweh leur ordonne de traiter les goyim
qui vivent sur la terre qu'il leur a promise.
Dans le Nouveau
Testament 'Paix sur la Terre aux hommes de bonne volonté' est
une traduction délibérément erronée : le génitif bonae voluntatis du
texte latin est sans ambiguïté la paix
ne s'étend qu'aux 'homme de LA bonne volonté' (de dieu) ; le texte grec
plus ancien se traduit par ''aux hommes qui plaisent à dieu' : les "bons
Chrétiens", pas de paix pour les autres.
Dans le Coran
'Qui tue un homme tue toute l'Humanité' est l'exemple typique des
citations tronquées et sorties de leur contexte qu'utilisent les Musulmans
"modérés" pour convaincre tout le monde et d'abord eux-mêmes que
l'Islam est une religion de paix.
Le texte complet du verset est : " C'est
pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d'Israël que quiconque tuerait
une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la Terre, c'est
comme s'il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie,
c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos
messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de
cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la Terre
"coupable d'une corruption sur la Terre" (d'autres traductions
disent "ayant semé le désordre sur Terre") est susceptible de
bien des interprétation différentes : refuser la dhimmitude…
Le verset suivant précise le sens, et on comprend que
ceux qui chercher à promouvoir l'image d'un Islam "modéré" /
"religion de paix" ne le citent JAMAIS : " La récompense
de ceux qui font la guerre contre Dieu et Son messager, et qui s'efforcent de
semer la corruption sur la Terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou
que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés
du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas ; et dans l'au-delà, il y aura
pour eux un énorme châtiment".
Dans toutes ces citations "dépravation" /
corruption" / "désordre" se prête à toutes les
interprétations.
mais le véritable problème de l'Islam est la doctrine selon laquelle le Coran est "intemporel" donc que toutes les sourates s'appliquent en tous lieux, en tous temps et en toutes circonstances. Il n'y a que quelques extrémistes Chrétiens et (moins rares) Juifs qui appliquent ce même raisonnement à leur 'Livre Saint', d'où une possibilité d'"adoucissement / assouplissement" du Christianisme (et du Judaïsme, plus difficilement) ; sinon, à l'analyse, la violence implicite est du même niveau dans la Torah, le Nouveau Testament et le Coran.
Le monothéisme Abrahamanique sous ses différentes formes
est la religion la plus agressive, la plus intolérante, la plus "pousse au
meurtre" de toute l'Histoire de l'Humanité - et de très loin.
D'ailleurs son dieu ne donne -t-il pas l'exemple, lui qui dans un accès de rage infantile a anéanti toute vie animale sur Terre sauf un couple de chaque espèce et "génocidé" toute l'Humanité sauf une famille - a détruit sa création comme un affreux Jojo gâté mal élevé, un 'spoiled brat' casse son jouet dans une crise de colère - simplement parce que malgré sa supposée omniscience il était déçu ?
D'ailleurs son dieu ne donne -t-il pas l'exemple, lui qui dans un accès de rage infantile a anéanti toute vie animale sur Terre sauf un couple de chaque espèce et "génocidé" toute l'Humanité sauf une famille - a détruit sa création comme un affreux Jojo gâté mal élevé, un 'spoiled brat' casse son jouet dans une crise de colère - simplement parce que malgré sa supposée omniscience il était déçu ?
En effet...
1b - LE DIEU D'ABRAHAM, DIEU BON ET MISÉRICORDIEUX ?
Pour qui analyse objectivement la Torah, la Bible et le
Coran le dieu d'Abraham, qu'on l'appelle Yaweh, Dieu le Père ou Allah, est
bien toujours le même : au minimum un psychopathe bipolaire /
schizophrène / 'Dr Jekyll & Mr. Hyde' si l'on veut être très gentil
et très optimiste, au pire un pervers sadique narcissique, caractériel
et immature.
C'est le paradoxe - l'incohérence
- inévitable d'un dieu unique créateur universel omnipotent et omniscient
qui se prétend "bon et miséricordieux". Créateur universel il a
créé le mal (il s'en vante au moins une fois dans l'Ancien Testament)
omniscient il connaît son existence et à l'avance ses complots, omnipotent il
pourrait y mettre fin mais ne le fait pas. Les monothéistes ont beau
intellectuellement "tortiller du cul pour essayer de chier droit"
pour dédouaner le Créateur en culpabilisant la créature (ce qui déjà est idiot)
aucun de leurs pseudo-raisonnements ne résiste à l'analyse logique.

C'est ce que leurs
prêtres ont répété aux Juifs pendant leurs siècles de "malheur"
(division du royaume, conquête babylonienne puis assyrienne et enfin occupation
perse). Au final les Juifs ont progressivement été convaincus de ne plus adorer
que leur dieu mâle ("guerrier") et de diaboliser leur déesse
protectrice, leur "Reine du Ciel" (avec les conséquences que l'on
connaît encore aujourd'hui sur l'image, le statut de la femme dans les sociétés
empreintes d'Abrahamisme). Le mouvement avait été initié (sans succès) par
le dernier roi Juif "libre", il s'est développé au contact du monothéisme
Perse ; et puisque le dernier conquérant, le plus 'successful' était
monothéiste ils le sont devenu aussi. Ce dieu unique et universel était
évidemment "leur" dieu, celui avec qui ils avaient conclu
l'"Alliance" : magnifique retournement de situation
: le dieu de leurs vainqueurs était leur dieu sous un autre nom (qui avait
pris un masque et utilisé d'autres peuples pour "mettre leur Foi à
l'épreuve").
Infliger 7 plaies à l'Egypte entière, assassiner tous les premiers-nés égyptiens pour faire pression sur le Pharaon - faire souffrir toute un population pour faire "craquer" son gouvernement - est l'archétypes de ce qui est pour nous le terrorisme.
Chef religieux et chef politique meneur de razzias Mahomet était très proche du vieux dieu des Juifs - pour le pire car il n'y a pas de meilleur dans le dieu d'Abraham.
1c - DANS TOUTE L'HISTOIRE DES
RELIGIONS LE DIEU D'ABRAHAM avec son patriarcal dieu "mâle" sexiste - un
super gorille à dos argenté dans le Ciel - EST UNIQUE PAR SA GYNOPHOBIE
PATHOLOGIQUE.
Rome historiquement et dans ses origines légendaires (l'Enéide) a été culturellement très influencée par la Grèce (et plus généralement par l'Asie Mineure, si les Etrusques viennent d'Anatolie) et la Grèce elle-même a eu la culture antique la moins 'indo-européenne' d'Europe (certaines divinités ne sont pas indo-européennes, des divinités assimilables au panthéon général IE portent des noms non IE) par l'intermédiaire des cités grecques d'Asie Mineure. L''infériorisation' de la femme dans la Grèce et la Rome antiques vient d'Orient, le gynécée par exemple est la version monogame du harem. Dans les légendes grecques comme romaines les reines sont toujours des "tentatrices" (Calypso et Circé pour Ulysse, Didon pour Enée) ou des ennemies : les Amazones à Troie, la reine des Amazones tuée par Héraclès, la cavalière Camille dans l'histoire légendaire romaine. Ironie, l'Histoire vraie l'a rendu à Rome : Cléopatre en Egypte, Boddicée en Bretagne, Zénobie à Palmyre... :=)
EN OCCIDENT UNE FEMME ("laïque", les bonnes sœurs sont des pros en uniforme archaïque comme les Yeomen de la Tour de Londres) VOILÉE
(Juive ou Musulmane : il n'y a pratiquement pas d'Amishs en Europe ^.^)
ÇA DÉRANGE et pour 7 raisons objectives :
5 - Tout exhibitionnisme religieux - tout croyant qui se transforme en homme- ou femme-sandwich trimbalant une pub pour sa confession - est un prosélytisme non sollicité - un spam agressif : et dans le cas particulier, un spam en faveur du jihadisme.
Conclusion inéluctable : le dieu d'Abraham est soit un hâbleur, un matamore vantard - soit un pervers sadique.

Origine de cette mythologie incohérente ?
Depuis que la religion organisée existe ses
professionnels mettent à profit chaque malheur (individuel ou collectif) pour
tenter de renforcer leur pouvoir en prêchant qu'il s'agit d'une punition divine
pour avoir offensé (les) dieu(x), ne pas avoir été assez pieux - pour ne pas
avoir été suffisamment asservi au clergé. Aujourd'hui encore des évêques, pasteurs,
cheiks et rabbins proclament que le sida, ébola, Daesh, les tremblements de
terre, la sécheresse en Californie... sont la punition divine pour la
législation de l'IVG ou du mariage pour tous ou simplement
l'"impiété".
Mais les Juifs - "le peuple à la nuque
roide"- pour surcompenser leurs siècles d'humiliation (et / ou par
surenchère dans la flagornerie religieuse ?) ont décrété leur dieu
"parfait, omnipotent et omniscient" sans réfléchir aux conséquences
logiques de cette qualification. Le Dieu de Zoroastre n'est pas tout à fait
"parfait" : un défaut (de conception ? De construction ?) de
sa 1ère créature en a fait "le Grand Ennemi", Ahriman (le modèle de
"Satan") créateur du mal - ou bien un accident a divisé sa
1ère créature en 2 jumeaux opposés, l'un 'de la Lumière' et l'autre 'des
Ténèbres. Et Ahura Mazda n'est pas tout à fait "omnipotent",
le combat contre le mal est long et l'aide de l'Homme est indispensable (alors
que dans la mythologie d'Abraham dieu tout puissant pourrait anéantir le mal en
un clin d'œil s'il le voulait, l'Homme n'est qu'un malheureux pion dans la
partie qu'il joue "pour le plaisir" contre Satan).
Ce n'est malheureusement pas le seul point sur
lequel les Juifs (et donc leurs héritiers, Chrétiens et Musulmans) ont
totalement perverti le modèle Zoroastriste. Ahura Mazda LUI est
réellement "bon et miséricordieux", un "dieu d'amour"
: il a le prototype du "jugement des morts" (franchissement du Pont
de Chinvat) , du Paradis (la Maison des Chants) et du Purgatoire (la Maison de
Druj) mais pas d'Enfer : à la fin des temps tous les Hommes sont
"purifiés", "sauvés" et acceptés pour l'éternité au
paradis. Le dieu d'Abraham, lui (par extrapolation de la certitude que leur
dieu a divisé l'Humanité en "Juifs" et "les autres" - "Les
Juifs et les antisémites" disait Desproges ?) condamne aux
tortures éternelles tous ceux qui ne l'ont pas suffisamment adoré, y compris
tous ceux qui par sa faute n'ont jamais entendu parler de lui,
pratique le "salut SÉLECTIF" (concept de base
distinctif du Judéo-Christisme étendu à l'Humanité entière par le Christianisme
de Paul puis par l'Islam : les Juifs ne se préoccupent pas du sort des goyim.
Paradoxalement, stupidement, monstrueusement
cette qualification de "dieu d'amour" est introduite en
même temps que sa négation : l'Enfer éternel. Les Juifs du Temple
n'avaient jamais prétendu rien de tel : être le "peuple élu" N'ÉTAIT
PAS être le "peuple aimé" mais le peuple choisi par Yaweh pour le
servir en échange de sa protection, très exactement la relation féodale seigneur
- serfs).
Catastrophe historique (pour les cultures
Chrétiennes et Musulmanes encore imprégnées de leur héritage - et donc pour la
majorité de l'Humanité) les Juifs ont complètement merdé leur conversion
au monothéisme. Par respect, inertie traditionaliste et orgueil national ils
ont élevé au statut de dieu unique et universel leur petit dieu tribal Yaweh,
leur Ba'al (comme Marduk était celui, plus puissant, des Babyloniens et
Assur celui, encore plus puissant, des Assyriens - dieux dont les Juifs
hénothéistes reconnaissaient l'existence sans - en théorie - leur rendre
de culte) sans rien changer à son histoire légendaire ni à sa
personnalité. Ils se sont
contentés afin qu'il soit "unique" de le "divorcer" de son
Ashera, censurant le Tanakh pour en effacer toute trace de leur "Reine du
Ciel" et faisant de celle-ci un "démon" (ce qui n'a pas été
sans rencontrer de résistance comme en témoignent les "prophéties" de
Jérémie - les prophéties écrites après coup sont les plus sûres ^.^)
comme pour les dieux des autres peuples. C'est certainement de cette
"réforme" que date la 2ème version de la création de la femme :
postérieure à celle de l'homme (une anomalie "monstrueuse" dans
l'Histoire universelle des religions) qui permet de qualifier la femme de "naturellement
inférieure à l'homme et moins proche de dieu que lui puisqu'elle n'a été conçue
qu'à l'image de l'homme alors que l'homme a été conçu à l'image de dieu"
: aussi patriarcale et sexiste qu'ait été une société une telle
"infériorisation" de la femme était impensable tant qu'elle vénérait
une déesse.
Promouvoir un petit dieu mineur du panthéon
sémitique mésopotamien au grade de dieu universel a eu deux conséquences, l'une
risible l'autre catastrophique.
D'une
part on a un dieu "omniscient" perpétuellement surpris du
comportement des hommes, qui ne sait pas où Adam et Eve se cachent dans le
Jardin d'Eden, qui doit demander aux Juifs de marquer leurs maisons pour qu'il
les identifie lorsqu'il assassine le 1er né de tous les foyers égyptiens.
Un dieu "omnipotent" qui a peur que les hommes deviennent ses égaux s'ils construisent une tour assez haute, qui ne peut donner la victoire à son 'peuple élu' "parce que l'ennemi a des armes de fer" (fin de l'Age du Bronze !) :=)
Un dieu "omnipotent" qui a peur que les hommes deviennent ses égaux s'ils construisent une tour assez haute, qui ne peut donner la victoire à son 'peuple élu' "parce que l'ennemi a des armes de fer" (fin de l'Age du Bronze !) :=)
D'autre
part et surtout un Ba'al est l'image exaltée mais à la psychologie strictement,
médiocrement humaine d'un roi-prêtre impérialiste mésopotamien : un tyranneau
saur cruel, jaloux, narcissique, sanguinaire, sexiste (un super gorille à dos
argenté dans le ciel), vindicatif.
Théocrate il exige l'adoration comme un impôt, avec les mêmes
conséquences pour qui est rétif à "payer". D'ailleurs la seule raison
d'exister des humains (comme de toutes les créatures) est de l'adorer et de le
servir - le Coran ne fait que le rappeler ; dans le Jardin d'Eden avant
"la faute" l'Homme était "comme un animal", un singe nu
: 'a pet' un animal familier sans fourrure ni intelligence (ce qui
souligne l'injustice cruelle de punir l'Humanité pour une faute commise alors
que le concept même de "faute" lui était inconnu ; mais aussi que
l'Homme différent de l'animal a été créé non par "dieu" mais par
'Satan', personnage prométhéen, 'Lucifer' "celui qui apporte la
lumière" : si l'intelligence qui distingue l'Homme de l'animal 'visualise'
la possession d'une âme, il doit celle-ci à 'Satan', non à 'Dieu').
Roi guerrier de son temps il croit à la responsabilité collective et
pratique la punition collective, sur le modèle de l'exécution (avec des
raffinements de cruauté complaisamment figurés sur les bas-reliefs assyriens :
écorchement à vif, empalement... : de ce point de vue le dieu d'Abraham est
l'équivalent divin de Vlad l'Empaleur - le Dracula historique - le sexisme en
plus) de tous les habitants mâles d'une ville qui n'a pas ouvert ses portes
avant le début du siège.
Cette "philosophie" qui refuse toute
distinction entre 'combattants' et 'non combattants', pour qui "il
n'y a pas d'innocents" car "toute la population est
complice" détermine, justifie le comportement :
- des Juifs
antiques (les "purifications ethniques", les génocides si
fièrement décrits ans les Livres des Rois, les filles des vaincus devenant des
esclaves sexuelles - ce qui me rappelle quelque chose de contemporain) ;
- des
Chrétiens en tant que tels jusqu'à la fin du XVII° siècle (Charlemagne en
Saxe, "croisades" y compris d'autres Chrétiens - 'Tuez les tous
Dieu reconnaîtra les siens') et à titre "laïc" jusqu'à au
moins la 2ème G.M. ("représailles" nazies sur les populations
civiles, 'Terror bombings' des alliés) voire plus récemment (ex-Yougoslavie)
;
- des Musulmans
jusqu'à aujourd'hui (les appels de Daesh à assassiner tous les types de
mécréants, pas seulement militaires ou policiers).
Infliger 7 plaies à l'Egypte entière, assassiner tous les premiers-nés égyptiens pour faire pression sur le Pharaon - faire souffrir toute un population pour faire "craquer" son gouvernement - est l'archétypes de ce qui est pour nous le terrorisme.
Chef religieux et chef politique meneur de razzias Mahomet était très proche du vieux dieu des Juifs - pour le pire car il n'y a pas de meilleur dans le dieu d'Abraham.
Des milliers de divinités
inventées par l'Homme le dieu d'Abraham est le personnage le plus exécrable, le
plus cruel, le plus pervers.
LE MONOTHÉISME ABRAHAMIQUE EST À LA BASE UN VOMI DE ZOROASTRISME MAL DIGÉRÉ.
On est terriblement loin du dieu de Zoroastre, entité
immanente d'une tout autre spiritualité. Les Perses n'étaient pas prosélytes et
n'ont jamais procédé à des conversions forcées, pour eux les actes d'un homme
comptent bien plus que ses pratiques religieuses. C'était l'"éthique"
commune des "païens" : ainsi Óðinn envoie deux valkyrur pour ramener à son Valhǫll un
viking apostat (converti au Christianisme) car son héroïsme l'avait rendu digne
d'intégrer les Einherjar : c'est le monothéisme d'Abraham qui a inventé l'intolérance religieuse, le fanatisme et les guerres de religion [§ en bas de page].
Au lieu d'une
"spiritualité plus élevée" le monothéisme
d'Abraham se distingue de toutes les autres religions par sa perversité
son intolérance & son agressivité.
ET C'EST PRÉCISÉMENT LA RAISON DE L'EXTRAORDINAIRE SUCCÈS
HISTORIQUE DU MONOTHÉISME ABRAHAMIQUE DÈS QU'IL S'EST VOULU 'RELIGION
UNIVERSELLE" et non plus monopole tribal : PAS sa 'supériorité
"spirituelle"' comme ses tenants se plaisent à le croire et à le
dire, PAS DU TOUT mais au contraire ses particularités les plus NOCIVES.
Les religions sont des mèmes parasites qui vivent et sont en
compétition dans l'espace culturel humain comme les virus informatiques qui
vivent et sont en compétition dans le cyberespace du web. Le monothéisme
d'Abraham "universel" a surpassé les paganismes car il est un
pathogène d'une virulence exceptionnelle, unique. Il se distingue par
ses extraordinaires :
- puissance
invasive : les monothéismes Abrahamiques 'universels' affichent une
offre particulièrement alléchante : en exclusivité une carte de membre
V.I.P. du club très sélect de ceux qui jouiront d'une vie éternelle.
Pour les païens la vie après la mort, si elle n'était pas
la même pour tous, dépendait des actes de chacun et non des divinités qu'il a
adoré de son vivant ; dans le Hákonarmál Óðinn envoie 2 valkyries
chercher un viking apostat : qu'il se soit converti au Christianisme est sans
importance face à son héroïsme
- résilience
: la notion mortifère de péché (spécialement cette aberration logique le
"péché originel" héréditaire : naître condamne a priori à
l'Enfer) imprègne en permanence le croyant d'un sentiment de culpabilité
douloureux que seul davantage de pratique religieuse peut soulager (un anxiolytique
anxiogène, le rêve de tous les dealers !)
Aucune autre religion n'a jamais reposé sur une
culpabilité permanente : le but premier des religions est de rassurer en
fournissant des explications, seules les religions d'Abraham génèrent la honte
et font une vertu du repentir obsessionnel.
Pourquoi prier puisqu'on s'adresse a un dieu omniscient qui connaît déjà l'objet de vos prières et sa décision ? A moins que le dieu d'Abraham soit une sorte de "vampire psychique" se nourrissant des prières (en faits des angoisses, peurs et repentir) des hommes comme le dieu-soleil Aztèque se nourrissait du sang des victimes sacrificielles ? Mais de quoi se nourrissait-il avant d'avoir des adorateurs ?
[Mais la culte du repentir "qui assure le
pardon" détruit toute valeur coercitive de la peur du châtiment - pour les Chrétiens et les Musulmans
: pour les Juifs il suffit d'égorger un malheureux poulet après l'avoir fait
tournoyer au-dessus de votre pour qu'il "absorbe" vos péchés ^.^ - En vendant des
"indulgences" l'Eglise Romaine n'a fait qu'appliquer l'immoralité
intrinsèque de l'Abrahamisme.
Et quand tuer des "mécréants" apporte non seulement l'absolution mais la gloire en ce bas monde et le paradis du guerrier dans l'autre...]
Et quand tuer des "mécréants" apporte non seulement l'absolution mais la gloire en ce bas monde et le paradis du guerrier dans l'autre...]
- contagiosité
: à " vocation universelle " l'Abrahamisme a pour objectif
fondamental de conquérir / convertir l'Humanité entière - si le Christianisme
s'est calmé, l'Islam plus jeune est toujours virulent
Les paganismes ignorent les
conversions forcées et même le prosélytisme agressif.
Les paganismes ignorent l'intolérance
religieuse : pour les païens les autres adorent les mêmes divinités qu'eux
sous un autre nom ; et s'ils ont des divinités propres, c'est leur droit, et si
elles sont intéressantes on les adopte.
Quant au Nouveau Testament réputé plus "doux" que l'Ancien il est en réalité BIEN PIRE.
En effet c'est lui qui a "officialisé" et
répandu le concept cruel et pervers (mais tellement "vendeur" !) de salut
sélectif.
Pour être "sauvé"
il faut d'abord être condamné, perdu et le "péché originel" y
pourvoit ; mais néanmoins les Juifs pré-talmudiques croyaient essentiellement
que les morts se retrouvent (conscients ou non) tous au Shéol, domaine
souterrain généralisant le caveau familial (l'Aralu babylonien). Le
"jugement" implique une "vie après la mort" et même au
temps de Yéchou'a bèn Yosséf le sujet faisait polémique : il semble que les
Pharisiens y aient cru mais ni les Esséniens ni les Sadducéens. Quant aux
modalités de cette "autre vie" la réssurection des corps n'était
qu'une hypothèse nouvelle et controversée ; la "nouvelle vie"
immédiate dans un "autre monde" sur le modèle Grec ou Egyptien,
aujourd'hui si familière à la plupart des Chrétiens et Musulmans, n'était
encore pour les Juifs qu'une fantaisie hérétique.
"Jésus"
n'a pas inventé le "salut sélectif" (lui-même a été baptisé
pour faire partie des "sauvés",
d'ailleurs) mais il en a fait le thème central et original de son
"Judaïsme réformé" à l'origine du Christianisme et de l'Islam. L'idée
apparaît dans le Livre de Daniel, rédigé dit-on lors de l'Exil, c'est à dire en
milieu Zoroastrien ; de fait dans le Zoroastrisme les morts sont
"jugés" (franchissement du Pont de Chinvat) le "bons"
allant à la 'Maison des Chants' et les "mauvais" à la 'Maison du
Druj'. MAIS le dieu de Zoroastre lui est vraiment "bon et
miséricordieux", la 'Maison du Druj' n'est qu'un Purgatoire, au final tous
les morts sont "sauvés" (on retrouve cette miséricorde divine dans le
Yézidisme :
le Rebelle est pardonné et [re]devient l'"Ange Paon"
équivalent de l'Archange Gabriel et du Saint-Esprit) ; le Gehinnom Juif du Second Temple n'était lui aussi qu'un
séjour provisoire. C'est le Judéo-Christisme qui a inventé la damnation
éternelle et l'Enfer. En cela il (et
donc le Nouveau Testament) il est PIRE que le Tanakh, d'autant qu'il ne
renie pas ce dernier et son "péché originel" et affirme donc que tous
les humains sont de naissance condamnés à l'Enfer "sauf si...". Terriblement
cruel et fondamentalement injuste.
mais c'est précisément ce qui est à l'origine du succès historique du Christianisme et de l'Islam, les deux seules religions "universelles" proposant une carte de membre V.I.P. du club le plus 'sélect' qui soit : ceux qui échapperont à la torture éternelle.
mais c'est précisément ce qui est à l'origine du succès historique du Christianisme et de l'Islam, les deux seules religions "universelles" proposant une carte de membre V.I.P. du club le plus 'sélect' qui soit : ceux qui échapperont à la torture éternelle.
Evidemment les
religions "païennes" étaient trop clémentes pour "faire le
poids" devant le monothéisme d'Abraham "universel"
(Christianisme et Islam) qui se vante d'avoir le monopole du "salut
éternel" après avoir inculqué la "damnation originale" ! Le
"trait de génie" en matière de marketing a été d'ajouter le
"salut sélectif" et donc l'Enfer au "péché originel" : 'Tous
les Hommes sont condamnés de naissance à l'Enfer mais ceux qui se convertiront
à mon Judaïsme Réformé seront sauvés'. Ainsi la religion du Christ (y
compris sa variante la religion de Mahomet) doit son succès à son culte de
l'auto-dépréciation, de la culpabilisation et de la pénitence.
Religion "dominatrice " sensu BDSM :
seul le
"dieu d'Abraham" exige la souffrance des hommes comme "preuve
d'amour" (un pervers sadique !) ;
seul il a "inventé" le concept de péché, le concept cruel et pervers de "péché originel". Les sacrifices humains restaient exceptionnels chez les "païens" même les plus "barbares" (sauf cas pathologiques comme les Aztèques, et si les sacrifices quotidiens étaient nécessaires pour garder en vie le dieu - soleil et donc l'univers ce n'était pas la souffrance de la victime qui était recherchée). Le jeûne périodique juif perpétué par les Chrétiens (vendredi maigre, carême) et par les Musulmans (ramadan) est l'un des aspects de cette "souffrance du croyant preuve de sa Foi" : le monothéisme d'Abraham enferme le fidèle dans un masochisme pervers : en fait un "drogué de la souffrance".
seul il a "inventé" le concept de péché, le concept cruel et pervers de "péché originel". Les sacrifices humains restaient exceptionnels chez les "païens" même les plus "barbares" (sauf cas pathologiques comme les Aztèques, et si les sacrifices quotidiens étaient nécessaires pour garder en vie le dieu - soleil et donc l'univers ce n'était pas la souffrance de la victime qui était recherchée). Le jeûne périodique juif perpétué par les Chrétiens (vendredi maigre, carême) et par les Musulmans (ramadan) est l'un des aspects de cette "souffrance du croyant preuve de sa Foi" : le monothéisme d'Abraham enferme le fidèle dans un masochisme pervers : en fait un "drogué de la souffrance".
Le secret de la
religion est d'apporter le bonheur
dans l'esclavage - et le monothéisme d'Abraham doit son succès historique au
fait qu'il asservit, "conditionne" / "rend dépendant" le
croyant bien plus profondément que n'importe quel paganisme. La religiosité Abrahamique
par la notion de péché (qui lui est propre) - renforcée par l'idée
monstrueuse de "péché originel" qui condamne à l'Enfer de naissance :
se "bien conduire" ne suffit pas il faut se "racheter"
- imprègne en permanence le croyant d'une culpabilisation, d'une angoisse que
seule plus de pratique religieuse peut (momentanément) soulager.
Le meilleur esclave est celui qui non seulement de croit
libre mais est fier de son statut (au point de vouloir le faire partager à ceux
qui lui sont chers, à le transmettre à ses enfants). Quand on répète - quand sa
mère lui répète - à une gamine depuis la toute petite enfance que pour être
"quelqu'un de bien" elle doit se cacher sous un tas de sacs poubelles
noirs et être l'esclave des mâles - de sa famille d'abord, puis de son mari et
des mâles de sa belle-famille) elle en est convaincue et plus tard impose ces
"valeurs" à ses filles. Ainsi la cruelle excision des fillettes est
réclamée - et généralement, sauf en Egypte, pratiquée - par leur propre mère
"fière et heureuse" d'avoir été excisée.
Mais ce conditionnement - des femmes
en particulier - à l'esclavage n'est pas le monopole de l'Islam : le 'Manifeste
des 'Antigones' de Civitas
(ultracathos) et celui des Caryatides du Renouveau Français (ultracathos
royalistes - à moins qu'il s'agisse des même sous 2 noms ≠ pour paraître
plus nombreuses ?) exprime ce vœu d'être soumises, d'être d'humbles
servantes, d'être infériorisées et contrôlées. Je comprends mal le choix du nom
'Antigones' mais celui de 'Caryatides' est révélateur : "Nom féminin.
(grec karuatides) support en forme de statue féminine." Les
Caryatides supportent, portent tout le poids de l'édifice.
En fait le monothéisme Abrahamique est effectivement la seule famille confessionnelle dans l'Histoire mondiale des religions à faire de l'Homme l'esclave du "divin" contrôlé par la peur du chatiment ; et l'Islam "soumission totale" en est la forme la plus "esclavagiste", la plus abjecte, la plus dégradante, la plus obscène.
En fait le monothéisme Abrahamique est effectivement la seule famille confessionnelle dans l'Histoire mondiale des religions à faire de l'Homme l'esclave du "divin" contrôlé par la peur du chatiment ; et l'Islam "soumission totale" en est la forme la plus "esclavagiste", la plus abjecte, la plus dégradante, la plus obscène.
L'émancipation de la femme a été permise par la laïcisation progressive de la pensée et
de la société en Occident, spécialement en France (même
si les "droits de la femme et de la citoyenne" n'y ont été [presque]
pleinement reconnus qu'en 1944, voire il y a 41 ans).
mais la laïcisation de la pensée est surtout l'œuvre du Siècle des Lumières.
![]() |
(or rather Its spawns ^.^)
Cela a commencé tout doucement au début du XII° siècle en
pays d'Oc avec le fin'amor "amour courtois" de la cour d'Aliénor d'Aquitaine et des trobairitz de haute naissance dont le succès a permis au
milieu du XV° à la maîtresse royale de poser un sein nu pour une représentation
de la Vierge : mais la laïcisation de la pensée est surtout l'œuvre du Siècle des Lumières.
Rome historiquement et dans ses origines légendaires (l'Enéide) a été culturellement très influencée par la Grèce (et plus généralement par l'Asie Mineure, si les Etrusques viennent d'Anatolie) et la Grèce elle-même a eu la culture antique la moins 'indo-européenne' d'Europe (certaines divinités ne sont pas indo-européennes, des divinités assimilables au panthéon général IE portent des noms non IE) par l'intermédiaire des cités grecques d'Asie Mineure. L''infériorisation' de la femme dans la Grèce et la Rome antiques vient d'Orient, le gynécée par exemple est la version monogame du harem. Dans les légendes grecques comme romaines les reines sont toujours des "tentatrices" (Calypso et Circé pour Ulysse, Didon pour Enée) ou des ennemies : les Amazones à Troie, la reine des Amazones tuée par Héraclès, la cavalière Camille dans l'histoire légendaire romaine. Ironie, l'Histoire vraie l'a rendu à Rome : Cléopatre en Egypte, Boddicée en Bretagne, Zénobie à Palmyre... :=)
Par contraste les mondes celtique et germano-scandinaves,
historiquement et dans leurs légendes (qui reflètent la mentalité profonde
d'une culture) accordaient une place privilégiée aux femmes - ce que confirme par exemple la reconnaissance germanique de deux "magies" strictement liées au sexe, complémentaires et d'égal niveau, la magie runique "mâle" d'Odin et le magie chamanique "féminine" de Freyja :
l'"infériorisation / chosification" des femmes n'était pas inéluctable même (et surtout ?) parmi les "barbares"..
l'"infériorisation / chosification" des femmes n'était pas inéluctable même (et surtout ?) parmi les "barbares"..
Seuls les Abrahamistes font de
la Femme un être inférieur et un objet d'opprobre. En raison du rôle joué
par Eve dans l'"incident pomme" la femme est diabolisée, la SUCCUBE, la Tentatrice,
le vase d'impiété, la source de tout péché et de tout malheur qu'il faut donc
garder en laisse, tout son corps est obscène, 'dangereux' car c'est par
lui que Satan atteint le mâle et doit être caché
(le tabou sur les cheveux féminins - à l'origine des coiffes
de tous les "costumes provinciaux" traditionnels - n'a - presque -
disparu en Occident que juste avant la 2ème Guerre Mondiale - et les Musulmans
nous le ramènent - et le tabou sur les seins est toujours inscrit dans la
loi de républiques soi-disant laïques).
Pour le monothéisme Abrahamique
(les Chrétiens se sont généralement bien "calmés" mais pas les intégristes Juifs
Pour le monothéisme Abrahamique
(les Chrétiens se sont généralement bien "calmés" mais pas les intégristes Juifs
Iraniennes aux J.O :
en 1974
en 2016
ce n'est pas seulement que la femme est inférieure
("évidemment elle l'est" : cf. par ex. Paul Corinthiens I) mais c'est
surtout qu'elle est fondamentalement impure (d'où l'interdiction de
lui serrer la main, le refus de s'asseoir dans un siège, de prendre un
volant... après une femme). Pour le monothéisme d'Abraham, depuis
l'"incident pomme" Eve et toutes ses filles sont des nymphomanes
diaboliques utilisées par Satan pour entraîner le mâle innocent dans le péché.
Il faut donc les tenir en laisse et la vision de leur corps est si dangereuse
qu'il faut le cacher sous un tas de sacs poubelles.
une Française à la plage c'est très exactement le contraire :
2 versions
de la création de la femme coexistent dans l'Ancien Testament : "Et IL le
fit homme et femme" (création simultanée comme dans toutes les
autres mythologies) et le "clonage à partir d'une côte (ou d'un
côté)".
Cette coexistence de variantes apparemment incompatibles(une incohérence de
plus de la mythologie d'Abraham)
n'aurait pas gêné les Hindouistes Védiques mais ils avaient l'esprit
beaucoup souple, quasi non-aristocélien au moins vis - à - vis de la mythologie
(dans le Mahâbhârata à peu près tous les personnages sont à la fois enfant
biologique d'une divinité [voire de 1,2 divinités !] et son [leur] incarnation
partielle - alors que les Chrétiens se sont déchirés et persécutés pendant des
siècles à propos de la proportion et des modalité de divinité du Christ).
Les Abrahamiques semblent plus "cartésiens" et
des rabbins ont tenté de résoudre la difficulté en supposant ("Alphabet
de Ben Sira" puis la Kabbale) 2 créations successives du
premier couple humain :
- d'abord une "normale" : simultanée
pour laquelle ils ont eu recours à un très vieux démon femelle mésopotamien,
Lilith. Créée en même temps qu'Adam elle se juge son égale, refuse de lui être
inférieure (et d'abord d'être dessous pendant l'acte sexuel) ;
"dieu" étant l'archétype du patriarche sexiste donne raison à Adam,
Lilith se révolte et rejoint le démon Samaël ;
- puis, Adam étant sans femme, une création en 2
temps : Eve est clonée à partir d'Adam ce qui assure qu'elle se sentira
inférieure ("car elle n'a été créée qu'à l'image de l'homme alors que
l'homme a été créé à l'image de dieu" Paul Corinthiens I) comme il
convient à une femme dans les sociétés ultra-patriarcales imprégnées de
monothéisme Abrahamique.
La création simultanée commune à toutes les mythologies
est la version "originale" (l'apomorphie en vocabulaire de
reconstitution phylogénétique), la création en 2 temps strictement propre à la
famille Abrahamique est la version "dérivée", la plésiomorphie. Mon
interprétation toute personnelle est que cette 2ème version est relativement
récente, ayant été élaborée à la suite de la (très maladroite) conversion des
Juifs au monothéisme. Aucune société polythéiste aussi strictement patriarcale
ait elle été n'a inventé une telle fable ; et quand les Juifs eux-mêmes étaient
hénothéistes et vénéraient un couple divin leur Ba'al Yaweh et son Ashera ils
n'auraient pas eu une histoire aussi misogyne. Quand ils ont copié le
monothéisme Perse ils se sont contentés de transformer en démons les divinités
étrangères dont ils reconnaissaient jusqu'alors l'existence et leur
"Reine du Ciel" - et toutes les femmes avec elles. Cette
ostracisme sur la féminité a impliqué sinon une réécriture du moins une
"édition / censure" de ce qui existait du Tanakh pour effacer toute
référence à leur déesse : il est hautement vraisemblable que la version
"sexiste" de la création de l'Homme date de cette "édition
amendée" du Tanakh.

EN OCCIDENT UNE FEMME ("laïque", les bonnes sœurs sont des pros en uniforme archaïque comme les Yeomen de la Tour de Londres) VOILÉE
(Juive ou Musulmane : il n'y a pratiquement pas d'Amishs en Europe ^.^)
ÇA DÉRANGE et pour 7 raisons objectives :
1 - Le voile visualise (c'est la partie émergée de
l'iceberg) une RÉGRESSION culturelle et sociétale : au Moyen-Age
toutes les Chrétiennes étaient voilées, le voile ramène l'Occident au Moyen Âge
(même les arriérés de Civitas ne vont pas si loin dans la régression
obscurantiste),
2 - Le voile est le signe ostensible de l'infériorisation
et de la diabolisation de la femme donc d'une discrimination péjorative
dans l'esprit de l'étoile jaune imposée aux Juifs par les Nazis.
3 - Le mépris haineux et terrifié de la Femme
que reflète le voile "islamique" est corrélée à une pudibonderie
perverse qui maintient les mâles en manque au bord du viol à force de
frustration.
4 - Pour les Musulman(e)s le voile (comme la barbe,
le bonnet à prière et le costume "arabe") n'étant pas coranique
mais relevant de la seule Charia son port affiche l'adhésion à une conception extrémiste de
l'Islam
incompatible avec les lois, la société, les valeurs de l'Occident du XXI°
siècle, proclame le rejet de la culture française et implique une forte
sympathie avec les monstres de Boko Haram / Daesh qui poussent la mise en
pratique de cet "Islam de la Charia" à son terme logique.
Certains vêtements ne sont pas "innocents", ils véhiculent un message bien spécifique. Une religion est une idéologie et la loi interdit le port d'insignes associés à certaines idéologies "extrémistes" : essayez de vous balader (même pour Mardi-Gras) en arborant des insignes nazis au titre que "chacun s'habille comme il veut" ! Le beurkini comme la beurka affiche l'adhésion à l'Islam (faussement) "intégriste" des monstres de Daesh et Boko Haram comme des terroristes sévissant en Europe : conclusion ?
Certains vêtements ne sont pas "innocents", ils véhiculent un message bien spécifique. Une religion est une idéologie et la loi interdit le port d'insignes associés à certaines idéologies "extrémistes" : essayez de vous balader (même pour Mardi-Gras) en arborant des insignes nazis au titre que "chacun s'habille comme il veut" ! Le beurkini comme la beurka affiche l'adhésion à l'Islam (faussement) "intégriste" des monstres de Daesh et Boko Haram comme des terroristes sévissant en Europe : conclusion ?
5 - Tout exhibitionnisme religieux - tout croyant qui se transforme en homme- ou femme-sandwich trimbalant une pub pour sa confession - est un prosélytisme non sollicité - un spam agressif : et dans le cas particulier, un spam en faveur du jihadisme.
6 - Le religiosité moyen-âgeuse, la "Foi du
charbonnier" 'heureux comme un Pape et con comme un panier'
requiert une très profonde déficience culturelle ou / et mentale (de
toutes façon un déficit culturel handicape le développement des capacités
intellectuelles) : c'est affligeant à voir et - autant qu'un ivrogne vociférant
et vomissant - "ce n'est pas
un spectacle pour les enfants".
{Loin d'être symboles de 'chosification' / 'dégradation' de la Femme les seins nus symbolisent au contraire son respect : la poitrine masculine n'étant pas obscène ne pas traiter la féminine différemment affiche l'égalité des sexes ; "accorder" un "droit à la différence" est encore une forme de discrimination ± méprisante, l'égalité sans arrière-pensée se traduit par le droit à l'indifférence.}
7 - Quand il est porté "volontairement" le voile
rappelle le secret du monothéisme d'Abraham à l'origine de son succès
planétaire : la "religion du Livre" est la "religion du
péché" qui rend le croyant "accro / dépendant" au bonheur
dans l'esclavage ; et rappelle donc comment l'abêtissement requis par ce conditionnement avilissant est obtenu.
- La religion étouffe ce besoin inné de comprendre
"le pourquoi et le comment" qui nous distingue de l'animal : "'Dieu' explique tout il n'est pas
nécessaire - il est blasphématoire - de chercher plus loin". Ainsi la
religion étouffe notre curiosité, notre appétit pour davantage
d'information(s), pour la nouveauté.
- la religion exige la foi aveugle dans des textes
enracinès dans l'Age du Bronze, dans l'âge de l'ignorance et de la superstition
: elle réprime toute tendance à la remise en question, au scepticisme, à la confrontation aux connaissances historiques et scientifiques : elle enfonce dans la défaillance culturelle ; elle inhibe la
tentation du recours au raisonnement personnel, à l'analyse logique objective
et rationnelle : elle enfonce dans la somnolence intellectuelles.
Imposer la religion à en enfant dont l'esprit se développe est une
véritable mutilation de l'intellect.
Et un tel endoctrinement du jeune enfant l'imprègne d'un conditionnement
enfoncé dans l'inconscient qui bride son esprit et, même s'il est oublié des
décennies par le conscient, peut ressurgir à l'occasion d'un choc émotionnel ou
d'une accumulation de revers - avec les conséquences que l'on sait chez les
non-Musulmans frustrés qui se convertissent et Musulmans "non pratiquants"
qui se "radicalisent" (les autres sectes genre Moon, Raël, Scientologie... n'offrent pas aux rageurs prétexte à satisfaire leurs pulsions meurtrières).
Que le "voile" soit choquant est tout particulièrement vrai en France 
qui permet aux Françaises du Pacifique de retrouver leur costume traditionnel
Face à la montée en puissance de l'obscurantisme bédouin
le choix pour la France est
seulement entre
les seins nus et la burka.
1e - L'ISLAM[ISME]
Houellebecq
a eu tort de déclarer "La religion la plus con, c'est quand même l'islam" ;
toutes les religions sont fondamentalement connes.
Mais
il est vrai que parmi les "grandes religion" l'Islam est celle
pratiquée et enseignée de la façon
la plus conne.
Car le pouvoir, le prestige et les revenus des "religieux professionnels" de l'Islam leur vient de la Charia et non de l'analyse du Coran.
Car le pouvoir, le prestige et les revenus des "religieux professionnels" de l'Islam leur vient de la Charia et non de l'analyse du Coran.
Padamalgam : le suppositoire vaseliné
pour se faire dhimmiser sans la sentir
passer.
Historiquement et théologiquement l'Islam le plus radical = le plus arriéré - l'Islam des
ayatollahs, des talibans, des wahhabites, de l'EI et de Boko Haram - est le
plus "authentique", le véritable Islam, n'en déplaise aux Musulmans vraiment
modérés et aux idiots utiles "padamalgam". C'est l'Islam de
Mahomet chef de guerre acquérant l'adhésion des pillards bédouins en les menant
à la "purification ethnique" et au massacre des tribus juives (dont
les biens - filles vierges incluses - sont distribués aux guerriers vainqueurs)
et à la reconquête monstrueusement sanglante de leur 'ville sainte', la Mecque,
où depuis un millénaire ou plus ils allaient en pélerinage adorer la Pierre
Noire 'fils' du dieu-lune Allah. Tamerlan, le Turco-Mongol fanatiquement
Musulman plus cruel et sanguinaire que Gengis Khan et les rois Assyriens
antiques, n'a fait que suivre son exemple.
Les
Musulmans soi-disant "modérés" savent bien au fond que
les intégristes meurtriers sont "meilleurs Musulmans qu'eux"
d'ou la discrétion, la timidité de leurs condamnations - juste de quoi éviter des ratonnades, quand ce n'est pas taqîya pure et simple.
d'ou la discrétion, la timidité de leurs condamnations - juste de quoi éviter des ratonnades, quand ce n'est pas taqîya pure et simple.
(Sur les 84+ morts de Nice une trentaine était de culture Musulmane ; pourtant sur les milliers de messages laissés sur la Promenade des Anglais - dont beaucoup de nature religieuse - une poignée seulement fait référence à l'Islam : manifestement dans leur très grande majorité les Musulmans n'osent pas associer Allah à la réprobation du terrorisme djihadiste)
Cet Islam "Arabie profonde du VII°
siècle" s'est plusieurs fois ± "adouci" brièvement au
contact de cultures bien plus avancées, spécialement au contact de l'Iran
Zoroastriste - vaincu, converti de force mais admiré et copié.
Nous
Occidentaux avons pendant des générations connu surtout un Islam
"atténué" : les grands pays Musulmans présents sur la scène
internationale, sans faire leur Meiji, s'étaient quelque peu
"modernisés" : l'Iran avec des Shahs qui - sans attendre le dernier
- significativement avaient réprouvé le voile, la Turquie surtout sous
Atatürk. Puis grâce à Nasser des pays arabes politiquement laïcs et donc acquis
à la tolérance, ceux qui un moment ont formé la République Arabe Unie.
Cependant que dans les pays maghrébins de l''AFN' (et en Egypte, protectorat
britannique depuis l'époque napoléonienne) la pensée et la société se
sont un peu "ouvertes" devant l'exemple des Occidentaux.
Mais l'Islam "authentique" ne s'est
jamais éteint. Il a survécu intact dans des "trous du cul du
monde", l'Arabie profonde, les montagnes afghanes... Et partout ailleurs
dans le monde Musulman des petits noyaux durs l'ont préservé (rien d'étonnant,
nous avons bien Civitas en France).
Et d'une façon générale la religiosité la plus
barbare, cruelle, superstitieuse fait éruption en période de détresse.
Confrontés à un moment dramatique les religieux (les professionnels qui
espèrent en profiter pour renforcer / restaurer leur pouvoir, mais aussi des
illuminés laïcs qui se découvrent une vocation de prédicateur, une mission
divine de "sauveur) l'expliquent automatiquement par une punition
divine du manque de piété. C'est aussi vieux que la religion organisée
(fin de l'Age de Pierre !) mais les Abrahamiques avec leur "péché" et
leur sadique "dieu d'amour qui fait souffrir ses adorateurs pour
mettre leur Foi à l'épreuve" sont spécialement férus de cette
"explication".
Si bien
que les "fondamentalistes" s'attaquent d'abord à ceux qui à leurs
yeux sont les vrais coupables : pas les "mécréants" même si ce sont
des occupants étrangers mais les coreligionnaires qui ont "trahi la Vrai
Foi". Dans la Judée-Samarie antique toutes les révoltes ont été le fait
d'extrémistes religieux rejetant l'autorité du clergé
"collaborateur", "hellénisé" puis "romanisé" -
allant dans le cas des Zélotes jusqu'à égorger les prêtres. C'est avant tout
pour pouvoir établir leur "Israël purifié des mauvais Juifs" que les
fanatiques du Judaïsme se sont plusieurs fois révoltés contre l'occupant romain
qui protégeait le Temple.
L'Histoire du Christianisme est riche d'exemples
de telles "périodes de délire collectif" face à des catastrophes
réelles (épidémies..) ou imaginaire (l'An Mil).
Dans le cas de l'Islam la doctrine salafiste
("retour à l'Islam des origines") a été fondée (sans le nom) par Ibn
Taymiyya en réponse aux invasions mongoles. Le wahhabisme a été fondé au XVIII°
siècle par Mohammed ben Abdelwahhab en réponse au déclin flagrant de l'Empire
Ottoman face aux Chrétiens (et à la Perse Chiite). Les Frères Musulmans ont
créé le salafisme "moderne" (visant à la création d'un califat
destiné à englober tous les pays de culture Musulmane ou qui l'ont été : Europe
du Sud-Est, péninsule ibérique, sud de l'Italie et Sicile, Chypre, Malte...)
en réaction à l'humiliation de la présence occidentale (surtout depuis
l'ouverture du canal de Suez) - qui, bien sûr, "corrompait les
Musulmans".
Après la fin de la 2ème G.M. le monde
arabo-Muslman sortait de la colonisation et de l'occupation (mandats
britannique et français au Moyen-Orient, mais aussi pour les arabes occupation
turque depuis des siècles) et avait besoin de "points de ralliement"
identitaires pour "retrouver sa dignité", points de ralliement qui
devaient expliquer les humiliations
antérieures.
2
s'offraient à lui :
-
une laïcité ("c'est la religiosité obscurantiste qui nous a figés dans
le passé et explique nos défaites") conservant les racines
culturelles locales exaltées en patriotisme / nationalisme, sur l'exemple
d'Atatürk : ce furent les politiques de Mossadegh et du Shah en Iran, du Raïs
'panarabe' (Nasser, Saddam Hussein, Bachar al-Assad) au Moyen-Orient.
- l'islamisme
radical selon le vieux réflexe ("Dieu nous a punis de notre impiété").
Evidemment
le laïcisation de la société et par là de la pensée pouvait conduire à la
modernisation, au passage aux valeurs "occidentales" à la démocratie
(même si le poids énorme des résistances exigeait une époque
"tyrannique" comme Pierre le Grand l'a découvert quand il a voulu
faire sortir du Moyen-Age). A
l'opposé l'islamisme radical - le retour à la religion, à la pensée, à la société des Bédouins d'il y a 1.300 ans - ne peut avoir que des conséquences
catastrophiques, et d'abord pour les Musulmans eux-mêmes.
D'autant que même la
religion la plus spirituelle est corrompue dès qu'elle se mêle de politique,
dès que le pouvoir temporel se met à son service (dans l'espoir de l'utiliser :
jeu de dupes). "Chez nous"cela a donné dès Constantin la persécution
des "païens", dès le 1er concile appuyé sur l'empereur la persécution
des "hérétiques", les conversions forcées comme outil
d'"assimilation", les 10.000 Saxons décapités sur ordre de
Charlemagne, les Croisades (y compris contre d'autres Chrétiens et des
minorités inoffensives comme les Cathares), l'Inquisition, les guerres de
Religion.
Jésus (en rébellion
contre l'ordre - religieux - établi du Temple) avait séparé la religion de la
politique ('Rendez à César...') : les Chrétiens l'ont trahi dès qu'ils ont eu
la possibilité de s'associer au pouvoir séculier. Dans le cas de
l'Islam c'est malheureusement presque inéluctable, Mahomet à partir de Médine
n'était pas seulement un prédicateur religieux mais aussi et à la fois un
souverain temporel impérialiste et un chef de guerre vivant du pillage : dans
le Coran tout est inextricablement mélangé.
L'actuel triomphe de l'obscurantisme résulte
de la convergence de 2 facteurs :
=> 1) la monstrueuse
connerie de la politique U$ /Otan ('L'otanisme rend aveugle et
sourd' ^.^) envers le monde
arabo-musulman qui a "cassé" toutes les tentatives de laïcisation et
favorisé directement la renaissance d'un jihad planétaire.
- Eviction de Mossadegh et transformation du Shah en dictateur (pour protéger les
intérêts des compagnies pétrolières...) d'où première "révolution
islamique" moderne, création d'une théocratie intégriste agressive
gouvernée par les ayatollahs,
- création
de "brigades internationales islamistes" (berceau d'al-Qaeda) en
Afghanistan pour y emmerder les Russes : des Musulmans de 43 pays différents y
ont (re)découvert l'idée d'un jihad "international", tandis
que jusqu'alors les islamistes ne sortaient pas de leurs frontières nationales,
- 1ère
guerre du Golfe - les U$ ont délibérément tendu un piège à l'Irak pour satisfaire
leurs grands alliés de la région, Arabie Saoudite et Israël - qui a totalement
humilié / décrédibilisé le panarabisme laïc, seul rempart à l'islamisme,
- soutien
aux seuls Musulmans (vite noyautés par les "radicaux") en Bosnie,
au Kosovo (merci nos intellos Juifs, BHL, Kouchner si sensible au sort des
Musulmans tant qu'ils ne vivent pas en Palestine), indirectement (malgré les
efforts de Glucksmann) en Tchéchénie,
-
intervention en Afghanistan, gratuite
et vaine, mais sanglante, le
Pakistan - allié U$ - était le véritable refuge de Ben Laden et d'al-Qaeda),
-
2ème guerre du Golfe (pillage du pays et "bavures") et 'printemps
arabes' de la Tunisie à la Syrie qui ont plongé tous ces pays dans le chaos
d'ou a émergé l'EI,
- et
bien sûr soutien inconditionnel au sionisme qui enrage tous les
Musulmans (on oublie toujours qu'il y a des Palestiniens Chrétiens, ce qui
d'ailleurs arrange bien la propagande israélienne).
=> 2° les pétro-dollars des
théocraties wahhabites. Théoriquement l'Islam (comme le Catholicisme ^.^)
interdit toute activité de type capitaliste, tout investissement à but
lucratif, tout boursicotage. Or les princes du pétrole n'arrivent pas malgré
tous leurs efforts à bouffer tous leurs pétro$ donc ils en "placent"
dans l'économie capitaliste. Pour se faire pardonner - pour assurer le
salut de leur âme - ils consacrent une partie de leurs revenus au prosélytisme, bien entendu le plus
"fondamentaliste" (souvent camouflé en action caritatives ou
éducatives). Spécialement les Saoud dont le pouvoir politique repose
exclusivement sur le wahhabisme depuis la naissance de la dynastie au XVIII°
siècle en tant que "protecteurs des lieux saints" se voient à la tête
d'un califat mondial "virtuel" rassemblant sous leur autorité
"morale" toute l'Umma : tous les Musulmans du monde. Ambition
stimulée par la concurrence de la république théocratique Chiite d'Iran....
Pour
les "traditionalistes" tout ce qui est mode de pensée et de vie des
pillards bédouins du VII° siècle fait partie des "Lois de Dieu" (y
compris l'esclavage, l'esclavage sexuel, la polygamie, l'intolérance religieuse
absolue, la superstition, le costume folklorique &c...). La plupart de ces
mœurs étant incompatibles avec la vie dans une société Occidentale du XXI°
siècle l'objectif n°1 des intégristes est d'empêcher les Musulmans,
spécialement ceux vivant en Occident, de s'"occidentaliser" = de
sortir du Haut Moyen-Age bédouin « La crainte pour les musulmans en
Occident, c'est que les musulmans répondent à l'Occident et ne répondent pas à
Dieu. Or il faut répondre à Dieu et ce sera notre réponse à l'Occident. »
(Tariq Ramadan). Pour "préserver" les Musulmans de toute
"occidentalisation" tous les salafistes ont le même but : à tout prix
empêcher les Musulmans de s'intégrer aux sociétés Occidentales, séparer les
Musulmans vivant en Occident de la population "mécréante" qui les
entoure, les maintenir enfermés dans une "communauté" culturellement
étrangère, leur faire appliquer des règles de la Charia (éventuellement
non Coraniques) pour les isoler dans un ghetto culturel.
C'est ce que fait Tariq Ramadan qui défend le voile (alors qu'il n'est pas Coranique mais distingue visiblement les Musulmanes des autres, et agit psychologiquement comme les antigènes de surface des microbes qui déclenchent des réactions immunitaires de défense, de rejet).
Assimilée Allergène étranger
C'est ce que fait Tariq Ramadan qui défend le voile (alors qu'il n'est pas Coranique mais distingue visiblement les Musulmanes des autres, et agit psychologiquement comme les antigènes de surface des microbes qui déclenchent des réactions immunitaires de défense, de rejet).
Assimilée Allergène étranger
mais en beaucoup plus habile, mielleux, vicieux et donc dangereux.
C'est ce que font les imams du genre de celui de Brest qui interdisent aux "jeunes" d'écouter de la musique, leur expliquent qu'une femme qui n'est pas cachée sous un tas de sacs poubelles est une pute qui mérite d'être violée (avec pour conséquence les vagues d'agressions sexuelles lors de fêtes populaires, nuit du Nouvel An, festivals de musique et simplement dans les piscines ... qui contribuent à faire exécrer les Musulmans), qu'il vaut mieux boire de l'urine de dromadaire que consulter un médecin... Quand on pense que celui de Brest vient d'avoir l'autorisation d'ouvrir un complexe éducatif de la crèche au bac : pauvres, pauvres gosses!
C'est
ce que font les terroristes takfiristes de Paris, de Bruxelles et
d'ailleurs :
(l'image
oublie les agnostiques et athées qui constituent la majorité de la population
française) : leur
but est de creuser un fossé sanglant
entre les Musulmans et le reste de la population en provoquant des
"ratonnades" :

Rien dans le Coran ne suggère aux Musulmans de s'affubler tous les jours pour le Carnaval : le tchador, la beurka, le beurkini & autres beurks sont des provocations délibérées pour pousser les "autres" à rejeter tous les Musulmans en bloc et pousser les Musulmans à se sentir "agressés" et "solidaires des extrémistes" par les restrictions à l'exhibitionnisme.
et comportement suscitant l'"allergie" du reste de la population,
"allergie" qui s'étend (idiotement mais inévitablement) aux autres
Musulmans "reconnaissables" (costume) voire à tous les
"basanés" : pire qu'un cercle vicieux, un véritable effet
"boule de neige".
Le
"choc culturel" est spécialement violent en France, pays maintenant
profondément laïc : parmi les pays
les moins religieux
(48% des 'Catholiques' déclarent
douter de l'existence de Dieu et sont donc en réalité agnostiques : faites le
calcul, on dépasse les 57% de Français "sans Dieu[x]"). Ci-dessous % d'athées "déclarés" :
Une jeune Française faisant du sport c'est ceci :
et non ça :
Comparaison n'est pas raison :
Le rapprochement est aussi inapproprié que celui - cher aux islamistes et islamolâtres - d'une salafiste (laïque) en tchador et d'une nonne (professionelle) en uniforme :
Contrairement à celle de gauche la tenue de droite du dessin est "idéologiquement neutre" et ne peut agresser que les vieux cons dans leur tête.
La pudibonderie est mère de la perversité et des agressions sexuelles car elle donne au corps féminin l'attrait du "fruit défendu" et fait des mâles "en manque" des obsédés sexuels réprimés.Et oui, amis musulmans, que se passerait il dans vos pays si nous avions les mêmes revendications ?
Après avoir mis près de 1.300 ans pour commencer à nous débarrasser des curés on ne va pas se laisser emmerder par les ayatollahs et les imams !
La France est multi-ethnique elle ne sera JAMAIS pluri-culturelle :
Comment attaquer le mal à la racine ?
D'autant que nos stupides politiques font la
promotion de l'Islam "traditionnel" en essayant seulement de
présenter aux imams les "valeurs de la République" - fondamentalement contraires à leur
religion telle qu'ils la perçoivent : un peu de taqîya pour couvrir le "cause
toujours" et rien ne sera changé.
L'Etat n'a pas à se mêler de religion
mais seulement à détecter et éradiquer les dérives sectaires. Le problème avec
l'Islam est que tel qu'il est très
majoritairement enseigné et pratiqué ces dérives sectaires
("coupant" le croyant du reste de la société) concernent presque tous
les Musulmans "pratiquants".
Malheureusement à part les ultra-cathos d'extrême-droite (islamophobes) et les illuminés d'ultra-gauche (islamolâtres) l'immense majorité de nos "politiques" (de droite comme de 'gôche'), quelques femmes exceptées, présente le très grave syndrome de Molenbeek : combinaison de grosse niaiserie "politiquement correcte" ('Respectons les religions / Ne passons pas pour "racistes"'), de démagogie électoraliste, de criminelle naïveté ('Les religions prêchent l'honnêteté et la non-violence, les imams "tiendront" les banlieues pour nous') et de pure et simple LÂCHETÉ ('Laissons les islamistes en paix et ils feront leur jihad ailleurs').
(lien)
Compte-tenu
de mon affection pour les chiens
Cette crue mondiale, ce tsunami obscurantiste ne se limite pas à l'Islam : Civitas en France, le poids politique croissant des fundies aux U$ et en Israël, l'utilisation privilégiée par Poutine de la foi Orthodoxe pour contrôler le peuple Russe composent une "contre-révolution obscurantiste" diffuse mais mondiale ; et pas totalement spontanée / désorganisée : les 'Marches pour la Vie' anti-IVG / anti-euthanasie ont été organisées simultanément dans tous les pays occidentaux, Protestants comme Catholiques.



Chez certains ultra-Catholiques la haine de la société contemporaine - de
la LAÏCITÉ - l'emporte même sur l'islamophobie : au
nom du conservatisme partagé Civitas, Soral cherchent à se rapprocher des
Musulmans traditionalistes pour bâtir un "front commun des
passéistes" déjà victorieux sur l'"ABC pour l'Egalité", l'euthanasie, la PMA, la GPA...
D'où est née (il y a
une centaine de milliers d'années au moins) l'idée d'un "autre
réalité", d'un domaine "métaphysique" ('à côté' / hors du
monde physique) / "surnaturel" ? Des hallucinations
hypnagogiques et du rêve
Les hallucinations
hypnagogiques (quand le cerveau basculant de la veille au sommeil est
"à moitié déconnecté") les plus courantes sont :
- sensation d'une
"présence" (diffuse ou comportant des sons / des images) : à
l'origine des "terreurs nocturnes" et des légendes d'esprits, de fantômes,
d'elfes, de lutins - et aujourd'hui de 'petits hommes gris' extra-terrestres ;
- sensation d'
"écrasement de la poitrine" à l'origine des légendes
d'incubes et du mot "cauchemar" - à l'origine pas simplement un 'très
mauvais rêve' mais l'impression qu'un 'esprit / fantôme' mare {mot
germanique ("nightmare" en anglais n'est pas la "jument de la
nuit" ^.^) arrivé en France de Flandres par la Picardie } 'écrase' cauche
la poitrine.
- sensation d'
"évasion de son corps" au dessus duquel on "flotte"
: à l'origine du 'voyage en esprit' du chamane et (bien plus récemment) du
'voyage astral'.
Le RÊVE
surtout : on y vit des aventures étranges dans un monde
"différent" - le Pays des Merveilles d'Alice - on y rencontre des personnes connues dans des cadres ou costumes irréalistes, on y retrouve des
défunts (souvent plus jeunes qu'au moment de leur décès).... : à l'origine de
l'hypothèse d'un "autre monde" où les défunts continuent à vivre ;
souvent contigu ou associé d'une façon ou d'une autre au 'pays des dieux' /
'royaume de faerie'.
Notre vision a sans doute contribué à l'idée d'une 'âme' enfermée dans le corps' : nous avons l'impression que depuis l'intérieur de notre corps "nous" {notre 'esprit'} voyons à travers nos yeux comme à travers une fenêtre. En réalite notre conscient "voit" des images de synthèse - des brain-generated images aussi artificielles que les computer-generated images du cinéma - élaborées à partir d'un zillion de signaux électriques provenant de la rétine et interprétés en fonction d'une "banque d'images de références" mémorisées. D'où les "analogies" / "visions" qui viennent automatiquement à l'esprit devant certaines formes :
Nativité ou combat de 2 T rex ?
Les crises
d'épilepsie ont pu aussi jouer un rôle ("possession / visitation")
et bien sûr la schizophrénie (on "voit" des
apparitions, on "entend" des voix) mais seulement quand un corpus
mythologique était déjà là pour suggérer interprétation "religieuse"
et fournir les éléments des hallucinations.
Il est révélateur
que les "visions" lors des EMI reflètent l'imagerie religieuse du
sujet et que les "possessions" n'affectent jamais les athées !
Plus tard la transe
(individuelle ou collective) délibérément provoquée par les privations, les
hallucinogènes, la musique, la danse... a permis de reproduire à volonté
un état propice aux hallucinations ("émotions mystiques").

Je n'ai pas été conduit de la
Foi à l'athéisme par les incohérences de la mythologie Abrahamique (patchwork
de vieilles légendes mésopotamiennes déjà plurimillénaires et de Zoroastrisme
déformé - et on ne peut reprocher à des hommes qui croyaient l'univers
limité à une petite Terre plate, immobile, soutenue par des piliers et isolée
de eaux du ciel par un dôme de cristal éclairé de jolis lumignons dont 7
mobiles 
d'avoir ignoré que si Eve avait été clônée à partir d'une côte d'Adam ayant le même ADN elle aurait été un homme,
et que si Jésus était né d'une vierge n'ayant pas de chromosome Y il aurait été une femme
(mais aujourd'hui l'ignorer est un choix !)

d'avoir ignoré que si Eve avait été clônée à partir d'une côte d'Adam ayant le même ADN elle aurait été un homme,
et que si Jésus était né d'une vierge n'ayant pas de chromosome Y il aurait été une femme
(mais aujourd'hui l'ignorer est un choix !)
Par
contre j'ai été conduit de la foi
(Catholique) à l'athéisme, à la suite d'une longue recherche et réflexion
personnelle par l'invraisemblance d'une taille absolument astronomique des principales
suppositions impliquées par tout théisme, spécialement de la possibilité d'une
conscience (divine ou humaine) immatérielle et éternelle.
[ L'hypothèse "Dieu" étant tautologique est non réfutable et donc hors du champ de la science. Il est aussi (ni plus ni moins) impossible de démontrer l'inexistence de "dieu" que celle du Monstre de Spaghettis Volant ou de la théière de Russell.
Par contre ce que la science peut et sait faire, et très bien, c'est estimer la vraisemblance (le degré d'invraisemblance) de chacune de la foultitude d'hypothèses ad hoc emboîtées comme des poupées russes impliquées par le modèle explicatif "dieu". Leur combinaison rend l'invraisemblance de ce modèle absolument astronomique. Ceci pour une "divinité" à psychologie non humaine : la vraisemblance d'un créateur de l'univers vieux de 14 milliards d'années, riche d'au moins 10.000 milliards de millards de soleils, ayant une psychologie de mâle humain et se préoccupant de ce que mangent les hommes et comment s'habillent les femmes et encore au bas mot 10.000 milliards de millards de fois plus faible. Mais pour les croyants réaliser qu'ils ne sont pas le Nombril de l'Univers, objet de toute l'attention de son Créateur, provoque une blessure narcissique dont la douleur est intolérable - et affronter en conséquence sa mortalité est encore plus insupportable.
Pourtant en dehors de l'analyse de chaque détail la simple logique discrédite le modèle explicatif "dieu".
Quand la science ne peut avoir recours au réfutationnisme elle utilise le principe d'économie des hypothèses ("rasoir d'Occam") : le modèle "dieu" exige une tétrachiée d'hypothèses ad hoc, le modèle matérialiste une seule seulement : que notre connaissance de la réalité, bien qu'encore approximative, est déjà satisfaisante (sinon les greffes du coeur ne prendraient pas, les navettes spatiales ne voleraient pas et vous ne seriez pas devant un ordinateur connecté à internet). ]
Argumentaire développé sur les pages précédentes de ce blog.
[ L'hypothèse "Dieu" étant tautologique est non réfutable et donc hors du champ de la science. Il est aussi (ni plus ni moins) impossible de démontrer l'inexistence de "dieu" que celle du Monstre de Spaghettis Volant ou de la théière de Russell.
Par contre ce que la science peut et sait faire, et très bien, c'est estimer la vraisemblance (le degré d'invraisemblance) de chacune de la foultitude d'hypothèses ad hoc emboîtées comme des poupées russes impliquées par le modèle explicatif "dieu". Leur combinaison rend l'invraisemblance de ce modèle absolument astronomique. Ceci pour une "divinité" à psychologie non humaine : la vraisemblance d'un créateur de l'univers vieux de 14 milliards d'années, riche d'au moins 10.000 milliards de millards de soleils, ayant une psychologie de mâle humain et se préoccupant de ce que mangent les hommes et comment s'habillent les femmes et encore au bas mot 10.000 milliards de millards de fois plus faible. Mais pour les croyants réaliser qu'ils ne sont pas le Nombril de l'Univers, objet de toute l'attention de son Créateur, provoque une blessure narcissique dont la douleur est intolérable - et affronter en conséquence sa mortalité est encore plus insupportable.
Pourtant en dehors de l'analyse de chaque détail la simple logique discrédite le modèle explicatif "dieu".
Quand la science ne peut avoir recours au réfutationnisme elle utilise le principe d'économie des hypothèses ("rasoir d'Occam") : le modèle "dieu" exige une tétrachiée d'hypothèses ad hoc, le modèle matérialiste une seule seulement : que notre connaissance de la réalité, bien qu'encore approximative, est déjà satisfaisante (sinon les greffes du coeur ne prendraient pas, les navettes spatiales ne voleraient pas et vous ne seriez pas devant un ordinateur connecté à internet). ]
Argumentaire développé sur les pages précédentes de ce blog.
Cependant
une analyse approfondie des "textes sacrés" et de l'Histoire du
Christianisme et de l'Islam dans le cadre de l'Histoire mondiale des religions
et des sociétés m'a conduit progressivement à conclure que le monothéisme
Abrahamique "universel" est la PIRE religion de toute
l'Histoire de l'Humanité.
2a - FAILLITE LOGIQUE DU MONOTHÉISME
Si l'Abrahamisme n'est qu'une perverse parodie du Zoroastrisme Ahura Mazda
n'échappe pas à la "malédiction" de tout dieu créateur universel : "Qui
a créé le créateur ?" Question inévitable puisque l'argument n°1 des
théistes est justement que "Tout ce qui un tant soit peu complexe doit
avoir été 'designed' et créé" - et une entité consciente capable de concevoir et réaliser le "dessein
intelligent" de l'Univers est obligatoirement elle-même d'une terrible
complexité.
Aucun croyant n'a jamais pu répondre de façon
convaincante, ou simplement crédible, à cette question essentielle ; la réponse
la plus honnête (et la seule qui résiste à l'analyse logique) est celle de
l'Islam : "Cette question est inspirée par Satan, ignorez la, oubliez la
et fuyez celui qui l'a posée en crachant 3 fois sur votre gauche tout en
récitant la sourate "Allah sait mieux". :=)
La plupart des mythologies "païennes" ne
présentent pas cet écueil logique : les divinités "actuelles" ne sont
pas à l'origine de l'univers, elles ne sont pas les premières entités apparues
mais résultent d'une évolution naturelle à partir d'entités plus anciennes plus
frustes qu'elles détrônent, souvent mutilent et quelquefois tuent. Et
généralement l'Univers lui-même n'a pas été délibérément "créé" mais
est apparu spontanément - une "poche" de "Loi" (selon la
nomenclature de Michaël Moorcock 'The Dream of Earl Aubec') qui
s'individualise au sein du Chaos (naissant de la rencontre du 'feu' et de la
'glace' dans la mythologie germano-scandinave) et grossit sous l'action des
premières "divinités". Spécialement, ceux qui croient trouver des
"miracles scientifiques" dans la Bible ou le Coran en trouveraient
bien plus facilement, en ayant beaucoup moins à étirer le sens des mots et
recourir à des interprétations tirées par les cheveux, dans les Eddas.
:=)
S'il est impossible de "prouver" l'inexistence de
"dieu", tout comme il est impossible de "prouver"
l'inexistence des Elfes ou des petits éléphants roses qui volent en battant des
oreilles. Il est par contre parfaitement possible d'estimer la vraisemblance
/ plausibilité de l'existence de "dieu[x]", d'une aaââaammmeeuuuu immortelle &c. - modèle explicatif que rien de
réel ne soutient ni même ne suggère.
RIEN aujourd'ui ne suggère l'existence d'un "dieu" (ou de plusieurs ? Pourquoi ce masculin singulier ?). Et, impliquant une série d'hypothèses plus invraisemblables les unes que les autres emboîtées comme des poupées russes, elle est presque infiniment proches de zéro.
RIEN aujourd'ui ne suggère l'existence d'un "dieu" (ou de plusieurs ? Pourquoi ce masculin singulier ?). Et, impliquant une série d'hypothèses plus invraisemblables les unes que les autres emboîtées comme des poupées russes, elle est presque infiniment proches de zéro.
(article)
Que les Chrétiens et les Musulmans me donnent une SEULE bonne raison de penser que l'on trouve une "parole divine" dans la Bible ou le Coran plutôt que dans le Hávamál 'le Dit du Très-Haut [Óðinn : Alfadir "notre Père à tous"]' !
J'attends depuis plus de 60 ans et je sais que je mourrai sans avoir de réponse (^.^) !
Bande de tristes clowns meurtriers
J'attends depuis plus de 60 ans et je sais que je mourrai sans avoir de réponse (^.^) !
Bande de tristes clowns meurtriers
Le surnaturel n'est qu'une hypothèse ad
hoc : une hypothèse que rien de justifie ni même ne suggère mais qui permet
de conserver (tant qu'on ne la soumet pas à l'analyse critique) une apparence
de crédibilté à un modèle explicatif obsolète. Croire au surnaturel ne repose
sur rien mais traduit simplement le voeu
qu'il existe "autre chose" ('après la mort' le plus généralement). Les
jeunes enfants souhaitent que le Père Noël existe...
La croyance au divin étant aujourd'hui contraire à toute
logique, à toute raison, toute religion pour préserver la foi en ses niaiseries décourage activement la libre recherche
d'information scientifique.
La
science a rendu la religion obsolète comme source d'explication de "la
Vie, l'Univers et le reste", du 'meaning
of Life' (Monty Python !).
Reste-t-elle nécessaire comme source de "morale" indispensable à un comportement "éthique" ?
Reste-t-elle nécessaire comme source de "morale" indispensable à un comportement "éthique" ?
Nous sommes encore porteurs à la naissance de la morale naturelle, "spontanée" et presque inconsciente génétiquement déterminée
mise en place par la sélection naturelle et qui a permis aux petits groupes vulnérables de nos ancêtres chasseurs - collecteurs de triompher des défis de milliers de siècles de préhistoire paléolithique.
Cette "morale naturelle" répond à une
nécessité absolue pour les espèces hautement sociales : la survie de l'individu passe par celle du groupe. Elle combine
beaucoup d'altruisme, d'entraide spontanée et d'empathie au sein du groupe avec
une réprobation de la violence gratuite et suffisamment d'ambition personnelle
pour assurer que les alphas déclinants sont remplacés par les meilleurs",
les plus aptes à guider, organiser et policer le groupe.
Les
religions organisées apparues (ainsi que l'hérédité du statut et de la
richesse, les "patries" et les classes sociales) suite à
l'invention de l'agriculture à la fin du Néolithique ont formalisé cette morale
naturelle mais l'ont déformée, pervertie en divisant l'Humanité en "croyants" et "mécréants" et en y ajoutant chacune ses ridicules
obligations & tabous propres, leur donnant souvent plus d'importance qu'aux
règles essentielles.
{sans même évoquer la moralité très particulière de la Genèse commune à toutes les mythologies du monothéisme d'Abraham }
La
religion par nature NE RESPECTE PAS LA LIBERTÉ : spécialement le monothéisme (1
seule divinité = pensée unique, pas de recours) dans ses formes à vocation
"universelle", Christianisme et Islam, qui ont fondamentalement pour
"mission divine" de convertir de gré ou de force l'Humanité entière à
la "Vraie Foi".
Mais aucune religion ne respecte la liberté de
conscience puisque toute religion exige de ses fidèles qu'ils endoctrinent
leurs propres enfants dès le plus jeune âge, avant qu'ils aient le bagage
de connaissance et la maturité pour analyser ce qu'on leur injecte dans
la cervelle.
Si on arrivait à faire que les enfants dépassent l'âge de
la puberté sans avoir entendu parler de religion et ne la découvrent que quand
ils ont acquis la maturité intellectuelle (capacité de raisonnement
logique rigoureux) et le bagage minimum de connaissances (en histoire,
en sciences) nécessaires pour pouvoir conduire une libre réflexion personnelle aucune
religion n'y survivrait car la quasi-totalité déciderait de rester athée :
non plus par ignorance comme ils l'étaient à la naissance mais à la suite d'un
choix rationnel parfaitement fondé. C'est pourquoi toute religion fait à
ses croyants un devoir sacré d'ENDOCTRINER SES PROPRES ENFANTS : les parents
religieux continuent d'instiller leurs superstitions à leurs enfants : pour
leur religion c'est véritablement une question de vie ou de mort.
A
tout croyant qui affirme "Ma religion c'est mon choix" je
pose la série de 3 questions suivantes :
- Votre entourage a - t - il soigneusement veillé à
attendre pour évoquer le fait religieux devant vous que vous ayez atteint l'âge
(post-pubère) d'avoir la maturité intellectuelle et le bagage de
connaissances vous permettant une réelle réflexion personnelle sur ce sujet
?
- Si oui votre entourage a-t-il soigneusement veillé à
vous présenter objectivement et exhaustivement les arguments de tous
ordres en faveur du théisme, de l'agnosticisme et de l'athéisme ?
- Si oui et si vous avez librement choisi le théisme en
toute connaissance de cause votre entourage a - t - il soigneusement veillé à
vous présenter objectivement et exhaustivement les diverses religions
actuellement pratiquées (les 3 monothéismes Abrahamiques et leurs multiples
variantes, Bouddhisme - x variantes, Hindouisme - y variantes,
Shintoïsme, Bahaïsme,
Jaïnisme,
Sikhisme, Ayyavazhi, Taoïsme, Caodaïsme,
Mandéisme, Yézidisme, Parsisme, Zoroastrisme, Rastafarisme, Théosophie, Wicca,
Ásatrú, Odinisme, Rodnoverie, Santeria, Vaudou...) et les possibilités de vie
religieuse strictement individuelle (panthéisme naturaliste, 'Religiosité
cosmique' à la Spinoza / Einstein...) ?
Si la réponse à au moins une de ces questions est NON votre
choix n'a pas été libre et personnel, vous avez été "imprégné".
En fait le seul choix libre, personnel et raisonné est
celui du croyant qui après mûre réflexion opte pour l'agnosticisme ou
l'athéisme : le croyant qui se convertit a une autre religion est déjà
"accro" il ne fait que passer de la cocaïne à l'héroïne.
2e
LES RELIGIONS C'EST COMME LES DENTS DE SAGESSE
Nécessaires à nos ancêtres elles sont aujourd'hui
inutiles,
ne sont plus qu'une source de problèmes et de souffrances
Q .
Q .
Qu'apportent les religions aujourd'hui, outre la possibilité de "prier" qui donne bonne conscience sans avoir à se bouger le cul ni dépenser un centime ? Essentiellement le fanatisme meurtrier.
La religion aujourd'hui est obsolète comme source d'explications de "la Vie l'Univers et le reste", elle n'a jamais été nécessaire à la morale et la pervertit plus qu'autre chose (pourrissant la vie des croyants et ajoutant un facteur supplémentaire de "différence", de division et de haine entre les humains) : pourquoi survit-elle ?
La religion aujourd'hui est obsolète comme source d'explications de "la Vie l'Univers et le reste", elle n'a jamais été nécessaire à la morale et la pervertit plus qu'autre chose (pourrissant la vie des croyants et ajoutant un facteur supplémentaire de "différence", de division et de haine entre les humains) : pourquoi survit-elle ?
Pour 2 raisons, l'une (presque) tolérable, l'autre non.
=> La religion apporte un anxiolytique à ceux que
panique l'idée de la mort,

=> la religion impose aux croyants de
"contaminer" leurs propres enfants.
Dans son rôle d'anxiolytique la religion crée malheureusement une
profonde dépendance : c'est une DROGUE, le plus ancien et aujourd'hui encore le
plus "consommé" des 'paradis artificiels'.
Il n'y a
pas a priori à juger plus sévèrement ceux qui ont besoin de leur dose quotidienne d’anxiolytique,
benzodiazépine ou religion, que ceux qui ont besoin de leur dose quotidienne
d’insuline. MAIS : - les diabétiques n’envahissent pas la rue, ne
cherchent pas à peser sur les lois de la République, et n’assassinent personne
pour imposer à tous l’injection quotidienne d’insuline,
- les diabétiques ne conditionnent
pas à la piqûre quotidienne d’insuline leurs enfants qui n’en ont pas besoin.
Ceci étant il en est des religions comme des drogues moléculaires toutes ne sont pas
également nocives
pour l'utilisateur, son entourage et la société dans son ensemble : il en est
des 'douces' et des 'dures'. Les néopaganismes gentillets, inoffensifs,
tolérants comme le Wicca sont l'équivalent du cannabis, les Abrahamismes à
'destinée universelle', Christianisme et Islam, par nature agressifs,
conquérants, intolérants sont l'équivalent du crack. D'où le vœu, pour l'athée
ou l'agnostique pragmatique, d'encourager le néopaganisme 'soft' comme
'molécule de substitution' aux Abrahamismes 'durs'.
Après
tout le 1er Commandement des Wiccans {leur 'Rede' : "An it
harm none, do as thou wilt"} est (bien qu'ils l'ignorent ^.^)
identique à la Constitution de Tryphème dans 'Les aventures du roi Pausole' de
Pierre Louÿs :
- art. 1 Ne nuis pas à ton prochain.
- art. 2 Ceci étant bien compris, mène ta vie comme tu l'entends.
On est très loin des Abrahamismes qui
s'immiscent dans la vie privée d'autrui, se mêlent de ce qui ne les regarde
pas, veulent imposer à tous le respect de leurs tabous et "valeurs"
anecdotiques. D'autant que le plus gros
de la mouvance Wicca est en fait composée non de vrais "croyants"
mais de panthéistes naturalistes - d'athées, donc.
Seuls les athées - n'appartenant à aucune
"chapelle" et donc libres de tout préjugé - peuvent débattre
objectivement de religion : tout croyant discutant une religion (la sienne ou
une autre) étant à la fois juge et partie son opinion est inévitablement
biaisée. Et que les croyants qui objectent "Mais un athée ne peut pas
savoir ce qu'on éprouve à avoir la Foi" réalisent qu'il n'est pas
nécessaire de flotter sur un petit nuage rose généré par l'alcool ou la drogue
pour être un médecin addictologue.
Que ceux persuadés que 'l'Homme a besoin d'une
religion' - et qui craignent que la laïcité crée un "vide" que l'Islam
viendrait naturellement combler - observent que :
- l'athéisme assure
l'épanouissement, la sérénité et la spiritualité mieux qu'aucun théisme - à
partir d'un niveau minimum de connaissances,
- un obscurantisme
ne peut faire obstacle à un autre, car il entraîne l'esprit à l'acceptation
passive.
80 ans d'obscurantisme stalinien ont préservé la religiosité
superstitieuse du peuple russe.
+> Abrahamophobe ? NON car une phobie est une
peur irraisonnée, or mon hostilité au monothéisme d'Abraham est tout ce qu'il y
a de plus raisonnée !
+> Certains me reprochent
de "voir
de la religion partout" = m'accusent de 'paranoïa religiophobe
obsessionnelle (^.^) : ce sont précisément ceux - qu'ils soient croyants ou athées - qui sans s'en rendre compte affichent des
préjugés d'origine religieuse à longueur de post ou de commentaire.
Ils n'ont pas le recul leur
permettant de réaliser que la plupart de ce qui leur paraît "aller de
soi", être "évident", "naturel", la "norme"
n'est qu'artéfacts culturels (confessionnels) anecdotiques. Ce n'est pas surprenant :
les fondations de notre "image du monde", de notre système de
références sont mises en place dans notre inconscient durant notre (très)
tendre enfance par imitation des plus âgés qui nous entourent ; sans
s'être intéressé à des cultures, des sociétés très différentes de la
"notre" (actuelles, passées ou imaginaires) il est difficile de s'en
libérer pour "prendre de la hauteur".
Il est d'ailleurs flagrant que bien des prétendus athées
- surtout parmi les "communautaristes" - sont imprégnés jusqu'à
l'inconscient des tabous confessionnels dont ils croient être émancipés.
Les "communautés" qui tiennent à se
distinguer de la population en général, qui réclament le "droit à la
différence" - féministes, LGBT, Noirs... - sont encore imprégnées des, et
cultivent les, préjugés qui les marginalis(ai)ent : sinon elles réclameraient
le droit à l' indifférence. Un aspect masochiste / victimolâtrique très
"Abrahamique".
Mya Teer on the Hijab : Hijab is not cool, so let's stop trying to make it cool
Ce n'est pas par
coïncidence qu'au nom du "respect de la Femme" certaines féministes
"intégristes" partagent la pudibonderie pathologique des Juifs et
Musulmans intégristes, allant jusqu'à réclamer des aires "réservées aux femmes" : à quand les bus
et compartiments séparés et la burka obligatoire pour "protéger les femmes
des regards lubriques" ? Le
communautarisme "xénophobe" dans toute son horreur et sa stupidité :
quand les "féministes" rejoignent les Juifs ultra-orthodoxes et la
Charia. Débile...
De même le tollé
provoqué dans les milieux LGBT par la message de Hollande en réaction à l'attentat
homophobe d'Orlando 'choisir sa sexualité' : "Non l'homosexualité n'est pas un choix" révèle qu'ils /
elles partagent l'opinion des religieux homophobes selon laquelle
l'homosexualité est une anomalie, une pathologie : ils / elles n'assument pas
leur homosexualité, ils en ont honte et en refusent la responsabilité. De ce
malaise, ce mal-être découlent une victimisation paranoïaque et une 'communautarisation'
hargneuse - qui entraîne trop souvent une solidarité bien imméritée envers
d'autres "communautés mal jugées" :=(
Donc, religiophobe ? NON, pour la même raison : mon hostilité (militante face au retour en force de l'obscurantisme) à la religion organisée est fondée sur 4 raisons objectives :
-1) C'est la religiosité qui m'agresse :
- par son exhibitionnisme provocateur,
Beurk !
- par son exhibitionnisme provocateur,

LE HIJAB SOUS TOUTES SES FORMES EST D'AUTANT PLUS INTOLÉRABLE EN OCCIDENT QU'IL POUSSE LES MUSULMANS AU VIOL DE CELLES QUI NE LE PORTENT PAS.
LE HIJAB QUELLE QUE SOIT SON ÉTENDUE A LA MÊME NATURE QUE L'ÉTOILE JAUNE IMPOSÉE AUX JUIFS PAR LES NAZIS : LE SIGNE OSTENSIBLE D'UNE DISCRIMINATION PÉJORATIVE ET LE MÊME EFFET :
DE MÊME QUE LES NAZIS SE SENTAIENT NON SEULEMENT AUTORISÉS MAIS INCITÉS
À TABASSER TOUT JUIF QUI N'AURAIT PAS ARBORÉ SON ÉTOILE DES MUSULMANS
SE SENTENT NON SEULEMENT AUTORISÉS MAIS INCITÉS À VIOLER TOUTE FEMME
SANS "VOILE".
Le voile islamique n’est pas plus innocent que la Croix gammée et le costume des K.K.K.
burka, burkini = provocation jihadiste
Le retour en force de l'ostensible discrimination péjorative de la Femme
(semblable dans l'esprit à l'étoile jaune imposée aux Juifs par les nazis)
est un défi délibéré à tout ce qui fait la France du XXI° siècle.
Tolérer le hijab en France c'est islamiser l'image de notre pays : c'est encourager les arriérés agressifs à se croire en terre d'Islam et à tenter d'imposer à tous leurs "valeurs" de pillards bédouins d'il y a 1.300 ans comme s'ils étaient déjà en pays de Charia.
- par son omniprésence
dans les médias même "de service publics" ['Le Jour du Seigneur' : à quand 'le Jour de la
Raison' ? Les fêtes Abrahamiques sont systématiquement évoquées en détail dans
les JT, pourquoi pas l'anniversaire de la mort d'Hypatie d'Alexandrie, Guillaume d'Occam, Giordano Bruno, Lucilio Vanini ou du
Chevalier de la Barre ?] Et le Pape qui apparaît sur nos écrans chaque fois
qu'il bouge le petit doigt et dont on nous impose le spectacle de ses groupies (ravi{e}s comme dans la
Crèche ^.^ : si j'ai envie de
voir des imbéciles heureux je vais faire du bénévolat dans un centre pour
mongoliens)],
- par l'obscène déformation des valeurs - tant dans l'opinion publique que chez les 'politiques' - à son bénéfice : il est répugnant, révoltant que la mort d'un vieillard qui avait largement dépassé l'espérance moyenne de vie suscite bien davantage d'émotion et d'indignation que celle de bébés et de gamins écrasés par un camion,
- mais surtout par ce que les religieux se croient obligés de se mêler de ce qui ne les regarde pas, de décider de la vie privée d'autrui, voulant imposer à tous leur religion et ses tabous particuliers, une religion qui prétend régenter chaque instant de la vie de chacun, ignorant toute distinction entre vie publique et vie privée.
Oh my gode!
Christine Boutin - la folle de la messe qui montre son culte à tout le monde -
est comme ma prostate d'après le corps médical : grosse mais pas maligne.

Pour mémoire :
années "30 (auberge de jeunesse) :
début des années "50 :
aujoud'hui :
Bref, une déjà vieille tradition française !
:
Il en faudrait beaucoup comme elle :
La tradition de Noël n'est pas Chrétienne mais (comme toutes les grandes fêtes "Chrétiennes") païenne : aucun texte dans les évangiles ne précise la période de l’année où a eu lieu cet événement. C’est le pape Libère qui décide, en 354 seulement, que Noël serait fêté le 25 décembre. En effet Noël est l'archétype des fêtes païennes "récupérées" par l'Eglise qui n'arrivait pas à les éradiquer : ici la fête du solstice d'hiver, la plus importante sous l'influence germanique et que l'Empire avait déjà tenté de récupérer avec la fête "impériale" de Sol Invictus "le Soleil invaincu" - d'autant que dans sa version romaine le dieu Mithra (dont le culte a rivalisé un moment avec le Christianisme comme religion dominante) était né au solstice d'hiver.
Si la Crèche est effectivement "Chrétienne" les rituels populaires associés à Noël - à une date liée à un évènement astronomique objectif indépendant de toute culture et de toute religion : Père Noël, cadeaux, sapin, houx (et le gui du Nouvel An) ainsi que la bûche, d'origine païenne, n'ont jamais été "christianisés" et aujourd'hui, strictement laïcs, "appartiennent à tous".
Si la Crèche est effectivement "Chrétienne" les rituels populaires associés à Noël - à une date liée à un évènement astronomique objectif indépendant de toute culture et de toute religion : Père Noël, cadeaux, sapin, houx (et le gui du Nouvel An) ainsi que la bûche, d'origine païenne, n'ont jamais été "christianisés" et aujourd'hui, strictement laïcs, "appartiennent à tous".
« Le terme islamisme a été inventé en France au 18è siècle pour faire comme pour les autres religions : juda(ïsme) christian(isme) protestant(isme) etc mais c'est le même mot que « islam »... l'égorgement, etc est dans le Coran ! Mohamed lui-même en a égorgé beaucoup... la logique du gouvernement à distinguer les 2 islams est que pour éviter l'islamisme il faut plus d'islam et donc, plus de mosquées, plus d'organismes « islam de France », etc... alors qu'il faudrait « désislamiser » les quartiers où l'on vit « à la musulmane » les hommes portent des tenues comme le prophète au 7è siècle, les femmes sont voilées, etc... » l'islam n'est pas une religion, c'est une Loi, un Droit et une Nation, rien à voir avec le catholicisme.. » « si demain il y avait 20 ou 30 millions de musulmans français bien décidés à voiler leurs femmes et appliquer les lois de la Charia, on ne pourrait préserver les loi de la Laïcité que par la Dictature... car la loi sur la burqa n'est pas appliquée et cela suite aux émeutes de Trappes, les policiers ont des consignes de ne pas verbaliser. »
"Désislamiser" les "quartiers" c'est ce que demandent les Musulmans vraiment "modérés" (si, si, il y en a quelques-uns) et les Français d'ascendance Musulmane mais personnellement laïcs, surtout les femmes depuis 2002 (affaire Sohane Benziane et création par Fadela Amara des "Etats généraux des femmes des quartiers" qui deviendront "Ni putes ni soumises"). Les "Brigades des mères" ne réclament pas autre chose et ne sont pas davantage écoutées.
-2)
La
religiosité conduit à la maltraitance infantile.
Ma position n'est pas enracinée seulement dans des principes
généraux, mais aussi sur mon passé de 40 ans d'enseignement et de recherche en
biologie : la logique est la même dans tous les domaines, je privilégie donc le
raisonnement scientifique sur le pseudo-raisonnement religieux aussi bien en
politique et en économie qu'en matière de religion. "Pédagogiquement"
encourager au libre examen est également indispensable dans tous les
champs disciplinaires : or "qui n'entend qu'une cloche n'entend
qu'un son" / "le scientifique a lu des centaines de livres et sait
qu'il a encore tant à découvrir, le croyant n'en a lu qu'un seul, et
partiellement, et croit tout savoir" / "mieux vaut une incertitude
reconnue qu'une fausse certitude" &c. ; ce qui exige le libre accès
aux opinions les plus contradictoires : sinon, c'est l'endoctrinement, le
lavage de cerveau. Or les parents "croyants" canalisent étroitement
les capacités à remettre en question, à acquérir sans préjugé et à analyser
rationnellement l'information la plus riche de leurs enfants : et ça c'est intolérable.
-3) Valoriser l'ignorance superstitieuse dans un
domaine la valide dans tous : comment discréditer comme ils le méritent
astrologues, cartomanciennes et "soucoupistes" si l'on prend au sérieux ceux qui croient avoir un ami imaginaire dans
le ciel et si l'on tolère qu'ils essayent d'imposer à tous de vivre selon les
diktats de ce personnage de fiction ?
-4) JE SUIS HUMANISTE ATHÉE et vos monstrueuses, obscènement cruelles et stupides guerres de religion me font profondément chier.
Quant au "manque de
respect"... la religion n'est pas "sacrée". Les religions sont des
idéologies et peuvent aussi légitimement être analysées, disséquées,
critiquées, moquées, caricaturées que les autres types d'idéologies :
politiques, nutritionnistes...
S'il est loisible de proclamer "Le marxisme - ou le fascisme, ou la
social-démocratie, ou le régime végan... - c'est de la merde" il est tout
aussi loisible de proclamer "l'Abrahamisme - ou la scientologie, ou la
théosophie... - c'est de la merde".
On peut comprendre que certains aient besoin comme anxiolytique de la religion qui leur permet d'espérer qu'après la mort ils se retrouveront le cul bien calé sur un nuage moëlleux avec une auréole sur la tronche et des petites ailes dans le dos à jouer de la lyre pour l'éternité en compagnie des chers défunts pareillement affublés. Il n'y a pas a priori à les juger différemment de ceux qui ont besoin d'un médicament anxiolytique, donc pas à les juger différemment des diabétiques qui ont besoin de leur dose quotidienne d'insuline.
MAIS : - les diabétiques ne descendent pas dans la rue pour tenter d'imposer à tous la piqûre quotidienne,
- les diabétiques n'injectent pas d'insuline à leurs enfants qui n'en ont pas besoin.
Et comment respecter les adultes qui abîment le cerveau des enfants?
SANS LAÏCITÉ PAS DE LIBERTÉ PAS
D'ÉGALITÉ PAS DE FRATERNITÉ.
- Pas de liberté car la famille
religieuse dominante (en Europe Occidentale le monothéisme Abrahamique) impose
À TOUS par la Loi et et la pression
sociale tolérée ses interdits particuliers : en France aujourd'hui
encore l'interdiction légale de l'euthanasie comme des seins nus, les
limitations homophobes à la GPA et la PMA, les restrictions à l'IVG... sont des
scories confessionnelles polluant encore notre Loi soi-disant laïque.
- Pas d'égalité car ceux qui
n'adhèrent pas à la religion dominante sont socialement dépréciés : si ceux qui
croient en Yaweh, Dieu le Père ou Allah sont jugés "respectables" les
adhérents au culte de la Grande Déesse ou de l'Oignon sont tournés en dérision
: pourtant...
- Pas de fraternité car sitôt prises
au sérieux les religions divisent (inutilement) la population en sectes rivales
qui doivent "vivre ensemble" ; alors que la seule division fondée,
réelle de l'ensemble des habitants de notre territoire est entre ceux qui se sentent " Français du XXI° siècle et "les autres".
Et sans laïcité
"active" pas de lutte contre l'obscurantisme,le rejet de la science et le déni de la réalité
- pourtant aussi dangereux que l'alcool et bien plus que le tabac !
En réalité le Judaïsme et le Christianisme sont fondamentalement aussi intolérants que l'Islam : on l'oublie car en Occident (surtout en Europe Occidentale) la laïcité AVAIT réussi à repousser en partie la religion hors du domaine législatif. Mais rien n'est acquis : le retour en force du religieux dans la vie politique (Parti Chrétien-Démocrate de Boutin, Civitas, partis Musulmans ultra-conservateurs né du divorcde d'avec la 'gôche' sur les problèmes de société et le burkini) s'il est toléré sonnera la mort d'un siècle de laïcité française - et pire avec la présence d'une religion culturellement bien plus étrangère que le Catholicisme "ultra" des royalistes.
En France la LAÏCITÉ EST EN DANGER : pour que nos enfants, pour que nos descendants bénéficient de la
LIBERTÉ qui nous est si chère la lutte contre le retour du religieux oppressif
doit être explicitement, pédagogiquement ACTIVE.
Le réchauffement climatique entraîne une remontée du niveau des océans
qui peut s'avérer catastrophique.
L'arrivée massive de "migrants" venant du Sud entraîne en
Europe Occidentale une remontée du niveau de l'obscurantisme intolérant et
superstitieux qui peut s'avérer catastrophique.
Par démagogie électoraliste, par niaiserie 'politiquement correcte' et pour certains par islamolâtrie nos "politiques" irresponsables appliquent de façon totalement pervertie la neutralité en matière religieuse que leur impose la laïcité de notre République : ils sucent également tous les intégristes.
Le salafisme est spécialement " agressif" et conquérant avec la complicité criminelle dans tout l'Occident d'"idiots - idiotes utiles"
Les pseudo-intellos 'de gôche' idiots utiles de l'islamisation de la France sont des "images-miroir" de Nadine Morano : la droite devient la gauche mais ils sont aussi cons.
"Migrants" : a niaiserie bobo-go devrait avoir ses limites !
- 1°) Dans un pays qui a déjà plus de 6 millions de chômeurs des immigrants économiques supplémentaires ne peuvent qu'être tout aussi malheureux que dans leur pays d'origine et leur présence pourrit pour rien la vie des Français.
- 2°) Pour 80% d'entre eux il NE S'AGIT PAS de "réfugiés" (quand une population fuit la guerre c'est avec femmes, enfants et vieillards, comme en France pendant l'"Exode" de "40, comme les Yézidis fuyant devant l'avancée de Daesh il y a 2 ans) mais d'hommes seuls venant de pays qui ne sont pas en guerre : des immigrants économiques non sollicités qui ont FORCÉ l'entrée sur notre territoire = des ENVAHISSEURS.
C'est le rôle fondamental de l'Armée de repousser les envahisseurs.

Les Français n'ont pas à payer pour la criminelle irresponsabilité d'imbéciles étrangers qui font plus de gosses qu'ils ne peuvent en nourrir : nous en avons déjà trop parmi nos compatriotes !
Mais la contre-révolution obscurantiste Chrétienne n'est pas une menace à ignorer, quelques milliers de fanatiques arriérés impressionnent assez les démagogues pour obtenir le statut de parti politique, le maintien de la pénalisation de l'euthanasie, l'interdiction de films - pourtant de plus en plus inoffensifs, mais la veulerie de la censure les encourage à aller eux aussi toujours plus loin.
La règle est pourtant simple :
ne reculez jamais devant un chien menaçant :
il vous mordrait.
ne reculez jamais devant un chien menaçant :
il vous mordrait.
Et malheureusement nos politiques et journalistes d'"information" ne ratent jamais une occasion de mettre à mal la laïcité.
RIEN
N'EST PLUS MAL VENU ! :
- C'est
remettre à l'honneur le communautarisme étranger à notre culture, à nos
traditions au moins depuis la laïcisation de l'Etat Civil à la Révolution (le communautarisme a été réintroduit par le Grand
Rabbinat quand il s'est donné mission de "rejudaïser la communauté Juive
de France" mais sa "reconnaissance" par les médias et les
politiques n'est qu'un des aspects de l'U$ification de notre pensée
collective et de notre société renforcée ici par l'acceptation tacite -
premier pas vers la dhimmitude - de la conception islamique qui divise
l'Humanité en "mécréants" et Musulmans),
.
- C'est
laisser la religion sortir du domaine privé pour se réinstaller dans
l'espace public, où même Vichy ne l'avait pas aussi expressément ramenée - PIRE, avec le soutien de l'Etat reniant la loi de 1905,
Œcuménique = Au cul mets nique
Après
l'égorgement du prêtre à Saint-Étienne-du-Rouvray. comme après Charlie Hebdo
on a bien davantage parlé de religion, de respect de la religion, de liberté de
religion (liberté de partager la religion des terroristes et de l'afficher
publiquement par le costume ; liberté d'être d'une autre religion) que de
liberté de pensée, liberté d'ignorer la religion ; et tous nous ont fait matraqués
de "pub" pour la religion en évitant soigneusement d'évoquer l'essentiel
: que la religion est une drogue dure qui lèse le cerveau et peut conduire à la
folie meurtrière.
Le rôle
d'un Etat laïc est de contenir la religion dans le domaine strictement privé et
surtout pas d'en faire la promotion, de l'encourager, de l'officialiser.
Cavanna : "Lettre ouverte aux culs-bénits"
- C'est
reconnaître à la religion le pouvoir de diviser le peuple Français, alors que la seule division fondée,
réelle au sein de l'ensemble des habitants de la France est entre ceux qui se
sentent "Français du XXI° siècle" et tous les
autres : Musulmans "traditionalistes", Juifs à papillottes ou tichel / sheitel (la tsniout est
aussi arriérée et sexiste - et grotesque dans ses "fondements" - que
la charia et exprime le même rejet de l'Occident contemporain), Cathos
"intégristes" de Civitas,
.
- C'est
donner raison aux Musulmans qui se considèrent comme fondamentalement
différents des "autres" ; dans
le contexte actuel tout Musulman qui choisit d'afficher sa religiosité par le
costume (ce qui
N'EST PAS une exigence Coranique) affiche son adhésion à l'Islam de Daesh et sa solidarité avec les terroristes.
Après un règlement de compte entre bandes de dealers leurs
représentants seraient-ils reçus à l'Elysée ? Le Président de la République irait-il en
cérémonie assister à une réunion de conciliation ?
Il est
vrai que le pouvoir actuel est celui qui a introduit un enseignement
obligatoire de religiosité au collège... plus con tu meurs ! Herr Dogan
n'est pas le seul à ramener son pays plus d'un siècle en arrière...
Alors que, le terrorisme naissant d'un excès de religiosité, la
lutte contre le terrorisme commence par la lutte contre la religiosité
- quelle qu'elle soit - par la critique du fait religieux et la promotion
expliquée, rationnellement justifiée de l'A - THÉISME.
Notre
constitution garantit la liberté de culte ? OUI mais dans certaines limites.
La Loi de 1905 est explicite : "La République assure la liberté de
conscience". Aux yeux de notre Loi toute "religion" qui ne
reconnaît pas cette liberté de conscience est une doctrine sectaire.
Ainsi l'Islam, pour qui tout enfant de Musulman
est Musulman "de naissance" alors que l'apostasie est punie de mort.
Et au mépris de loi de 1905 nos stupides politiques - les gangs Sarkozy puis Hollande - font la promotion de (& favorisent / financent) l'Islam "majoritaire" = "traditionnel" en essayant seulement de présenter aux imams les "valeurs de la République" - fondamentalement contraires à leur religion telle qu'ils la perçoivent : un peu de taqîya pour couvrir le "cause toujours" et rien ne sera changé.
Et au mépris de loi de 1905 nos stupides politiques - les gangs Sarkozy puis Hollande - font la promotion de (& favorisent / financent) l'Islam "majoritaire" = "traditionnel" en essayant seulement de présenter aux imams les "valeurs de la République" - fondamentalement contraires à leur religion telle qu'ils la perçoivent : un peu de taqîya pour couvrir le "cause toujours" et rien ne sera changé.
Le problème avec
l'Islam tel qu'il est majoritairement enseigné
- y compris par les mosquées "modérées" - et pratiqué est que les dérives sectaires (visualisées déjà par le
port du voile) : obéissance à la Charia et non au seul Coran affectent
la quasi-totalité des Musulmans "pratiquants".... :=(
Quand les "idiots utiles" de l'islamisation de la France ouvriront-ils les yeux ? Des Musulmans organisent des campagnes coordonnées à l'échelle nationale (et en Belgique) de PROVOCATIONS : burkinis puis agressions de filles en short "au nom de la pudeur islamique".
Et ce n'est pas nouveau : cela a commencé dans toute la France et en Belgique avec des gamines arborant le "voile" au collège et au lycée fin "89 alors que leurs mères et grand-mères ne le portaient pas - ce qui révèle une manipulation par un réseau d'adultes ; la radicalisation de gamins et d'ados aujourd'hui en est le développement logique vers un rejet plus affiché de la France, vers plus de violence.
Le CCIF est en réalité le CCRIF : Collectif Contre la Résistance à l'Islamisation de la France : Marwan Muhamma a toujours proclamé qu'il souhaite que dans 20- 30 ans maintenant la France soit un pays de Charia ; et il utilise notre démocratie, notre liberté , nos lois pour faire avancer son programme.
Quand les "idiots utiles" de l'islamisation de la France ouvriront-ils les yeux ? Des Musulmans organisent des campagnes coordonnées à l'échelle nationale (et en Belgique) de PROVOCATIONS : burkinis puis agressions de filles en short "au nom de la pudeur islamique".
Et ce n'est pas nouveau : cela a commencé dans toute la France et en Belgique avec des gamines arborant le "voile" au collège et au lycée fin "89 alors que leurs mères et grand-mères ne le portaient pas - ce qui révèle une manipulation par un réseau d'adultes ; la radicalisation de gamins et d'ados aujourd'hui en est le développement logique vers un rejet plus affiché de la France, vers plus de violence.
Le CCIF est en réalité le CCRIF : Collectif Contre la Résistance à l'Islamisation de la France : Marwan Muhamma a toujours proclamé qu'il souhaite que dans 20- 30 ans maintenant la France soit un pays de Charia ; et il utilise notre démocratie, notre liberté , nos lois pour faire avancer son programme.
Mais qu'attendre d'un pouvoir qui fait cadeau du statut de "parti politique" à la secte Civitas au lieu de la dissoudre ?
Dossier Tabou - Islam sur M6 :
Aujourd'hui la majorité de la population française est "sans dieu" et toutes nos fêtes traditionnelles (Noël / Nouvel An, Chandeleur, Pâques, 1er Mai, St Jean d'Eté / Fête de la musique, Assomption, Toussaint) sont de très vieilles fêtes païennes laïcisées : la page Chrétienne de l'Histoire de France est tournée, la prochaine sera LAÏQUE ou ISLAMIQUE.
L'ENNEMI
N'EST PAS L'ISLAMISME, L'ENNEMI N'EST PAS L'ISLAM L'ENNEMI C'EST LA RELIGION qui pervertit les valeurs les plus fondamentales.
Il est IGNOBLE, obscène que la mort d'un vieillard ayant largement dépassé l'espérance moyenne de vie et qui ne laisse personne derrière lui suscite parce qu'il était un "religieux"
immensément plus d'émotion et de réactions que celle de 86 personnes dont de très jeunes enfants en poussette, des gamins, des jeunes parents...
C'est bien la religion qui anime le terrorisme
: toute idéologie peut consuire à la barbarie et au meurtre mais seule la
religion avec sa promesse de récompense éternelle peut pousser au terrorisme suicidaire.
Les salafistes veulent déclencher une
"guerre de religion" ? Que la véritable nature de la religion -
une drogue, l'opium des culturellement / intellectuellement faibles
- soit proclamée et leur "guerre de religion" sera appréciée pour ce
quelle est : une guerre des gangs de trafiquants. Qui la prendra
au sérieux, qui soutiendra les tueurs ? Et chacun en tirera les conséquences
logiques : le tabac - drogue bien moins dangereuse - est interdit de
publicité, sa consommation est interdite dans une bonne partie de l'espace
public même en plein air, est interdite dans les établissements d'enseignement
pour "protéger les enfants"...
.
QUE LA
RELIGION SOIT RECONNUE POUR CE QU'ELLE EST
- UNE DROGUE POUR FAIBLES D'ESPRIT & ESPRITS FAIBLES -
ET SE RADICALISER SERA SE RIDICULISER.

- UNE DROGUE POUR FAIBLES D'ESPRIT & ESPRITS FAIBLES -
ET SE RADICALISER SERA SE RIDICULISER.


A croire qu'il n'y a plus que des mâles déjà dhimmis dans ce pays de couilles molles :=(
Faire réaliser aux croyants que tout texte religieux n'est que mythologies = que s'affronter à propos de Yaweh, Dieu le Père et Allah c'est exactement comme se castagner à propos de Batman et Spiderman ou Star Trek et Star Wars supprimerait la source même du problème.
Aujourd'hui où l'information scientifique est si aisément accessible une (courte ?) majorité des Etatsuniens croit toujours à la Création biblique de l'univers en 6 jours il y a 6.000 ans ! Ce n'est pas avec des dixièmes de quarts de demi-mesures que l'on aboutira à une évolution significative, il faut mettre aux religieux "le nez dans leur caca", forcer chacun à s'interroger rationnellement sur les fondements de ses croyances et ridiculiser par la logique ceux qui esquivent ou s'y refusent.
Donnée essentielle, FONDAMENTALE à ne
jamais oublier : Aujourd'hui où l'information scientifique est si aisément accessible une (courte ?) majorité des Etatsuniens croit toujours à la Création biblique de l'univers en 6 jours il y a 6.000 ans ! Ce n'est pas avec des dixièmes de quarts de demi-mesures que l'on aboutira à une évolution significative, il faut mettre aux religieux "le nez dans leur caca", forcer chacun à s'interroger rationnellement sur les fondements de ses croyances et ridiculiser par la logique ceux qui esquivent ou s'y refusent.
LA RELIGIOSITÉ NAÎT DE L'IGNORANCE.
Aucun fondamentalisme, aucun
fanatisme, aucune bigoterie ne résiste au libre examen appuyé sur un minimum de
connaissances historiques et scientifiques. Au lieu des laisser les adultes
mutiler les capacités de curiosité, de raisonnement sans préjugés et de remise
en question des enfants sans défense (ils "absorbent" tout de
confiance, et en sont imprégnés pour la vie jusque dans l'inconscient), les
conditionner à la foi aveugle, il faut au contraire dès leur plus jeune âge vacciner les enfants - les futurs adultes -
contre tout endoctrinement en leur apprenant le questionnement, le scepticisme,
l'analyse logique ; et leur apporter aussitôt que possible les
connaissances de base permettant d'apprécier l'invraisemblance des mythologies.
Au
lieu de cela le pouvoir en place - suivant là comme presque partout l'exemple
de la majorité précédente - valorise la religiosité et spécialement l'Islam en
introduisant un enseignement obligatoire de 'religiosité œcuménique' (ta mère) au collège.
Par contre la couleur de peau et de cheveux n'a aucune importance :
Juste pour révulser les culs-bénis métalophobes
- - - - - -
Mais ceci n'est vrai que pour le monothéisme
d'Abraham ou presque : très généralement les "paganismes" (même le
monothéisme de Zoroastre) ignoraient l'intolérance religieuse et les
guerres de religion ; selon les traditions culturelles locales ils
pratiquaient l'hénothéisme ou l'assimilation (éventuellement complétée
de syncrétisme). qui ne s'excluaient d'ailleurs pas complètement.
L'hénothéisme était la norme du Moyen-Orient antique : au sein d'un panthéon commun caque entité politico-culturelle reconnaissait l'existence des dieux des autres peuples mais réservait (en théorie) son culte au couple divin protecteur de la "tribu", chacune ayant son Ba'al et son Ashera. Ainsi Yaweh était le Ba'al d'Israël, Marduk celui de Babylone, Assur celui des Assyriens et la seule consigne divine (que l'on trouve dans l'Ancien Testament : un oubli lors de sa ré-écriture monothéiste) était "Tu n'adoreras pas d'autre divinité au dessus de moi". Le Premier Temple des Juifs contenait des chapelles dédiées aux principaux autres dieux à l'intention des visiteurs étrangers !
L'assimilation est bien connue du mondre gréco-romain et était la pratique générale dans l'Europe indo-européenne puisque les divers panthéons dérivaient d'un ancêtre commun : "les autres adorent les mêmes dieux que nous sous des noms différents et avec des rituels quelquefois étranges, mais c'est leur affaire". L' assimilatio romana était évidemment approximative - les mythologie avaient évolué dans des directions divergentes, avaient subi des influences bien différentes d'une région à l'autre - et quelquefois erronée (Wotan et Lug assimilés à Mercure et non Jupiter, Thor assimilé à Mars et non Vayu - Hercules) mais garantissait la tolérance et donc la paix religieuse. Au sein d'une religion donnée les variantes de doctrine et de pratique étaient nombreuses et acceptées.
Par nature le polythéisme pousse à la tolérance et au respect des différences puisqu'il reconnait l'existence de divinités - de "modèles" - aux personnalités, buts, goûts et pratiques bien différents et souvent contradictoires.
Quand les "païens" mobilisaient la religion c'était pour des raisons purement politiques : rappeler aux Assyriens qu'une victoire sur les Babyloniens offrirait à Assur une victoire sur Marduk et donc le ferait passer au dessus de lui dans la hiérarchie divine n'était qu'un argument pour motiver davantage les "petits papas déguisés en soldats" que le roi d'Assyrie envoyait au casse-pipes ; et quand l'occupant romain s'est acharné à éradiquer le druidisme ce n'était pas par intolérance religieuse - bien des philosophes admiraient les druides - mais pour briser l'identité culturelle celtique réfractaire à la romanisation. Bien entendu le culte impérial romain - d'ailleurs essentiellement symbolique - comme la primauté donnée au Mazdéisme sous les Sassanides étaient des 'gadgets' strictement politiques.
Tout a changé et l'intolérance religieuse, avec toutes ses cruelles conséquences, est apparue quand les Juifs se sont (très maladroitement) convertis au monothéisme sur le modèle du Zoroastrisme Perse.
Comme tous les peuples de la région depuis Sumer ils se considéraient comme le "peuple élu" de leur couple divin tribal, mais n'en tiraient qu'un sentiment de "supériorité" très relatif - Yaweh n'était qu'un petit dieu dans le polythéisme de la région. Cependant bien plus que tous les autres groupes ethno-culturels les Juifs cultivaient déjà leur différence : interdiction plusieurs fois rappelée de se mélanger aux autres peuples y compris par le "sang", accumulation d'interdictions et obligations dissuasives "creusant l'écart" avec les autres peuples, doctrine martelée "Israël ne doit pas être compris au nombre des nations".
Cette certitude d'être "différents" - très vite traduite comme une "supériorité" - les Juifs monothéistes l'ont conservée, cultivée, exagérée pour se préserver des influences culturelles de leurs conquérants successifs : Perses mais surtout polythéistes hellénistiques puis romains. pour eux "dieu" avait divisé l'Humanité en "eux" (les "bons") et les goyim les "autres", les "mauvais" (Desproges traduisait : 'Dieu a divisé l'Humanité en 2 les Juifs et les antisémites ^.^). D'où l'intolérance, la haine apeurée et méprisante de tous ceux qui n'adoraient pas "dieu" mais des "faux dieux", des "démons". Avec le "dieu unique les Juifs ont introduit la "vérité unique"* - le Zoroastrisme ne cherchait pas à l'imposer, il avait hérité de l'idéologie indo-européenne ancestrale l'idée encore fondamentale dans l'Hindouisme que "la vérité peut être perçue sous différents aspects" - donc la "pensée unique" et l'intolérance absolue envers toute "dissidence".
Cependant les Juifs ne pratiquaient guère les conversions forcées - faire partie du "peuple élu" était un précieux monopole d'ailleurs théoriquement réservés aux "pure race" - cest le Judaïsme qui a inventé le racisme tel que nous le connaissons.
Yéchou'a bèn Yosséf (dit Jésus), réformateur Juif en révolte contre le Temple (une sorte de Calvin ou Luther du Judaïsme) n'a pas dérogé à cette tradition : dans Matthieu il interdit à ses apôtre de prêcher aux goyim "car ce serait comme jeter aux chiens le pain prévu pour les enfants". Cependant il a introduit (pas inventé car il a été lui-même baptisé, et on en trouve une allusion dans Daniel) une cause fondamentale supplémentaire de division = le salut sélectif : "seuls ceux qui se convertissent à son enseignement seront "sauvés". Argument marketing d'une extraordinaire puissance (largement à l'origine du succès historique du Christianisme et de l'Islam) mais poussant au mépris des "autres" et à l'envie de les convertir "pour leur bien" - idée tout à fait nouvelle. Jusqu'alors les sectes Juives dissidentes se contentaient de s'isoler dans leurs "ghettos" loin des "tentations impures", comme le font encore aujourd'hui les communautés Amish ; les "hérétiques" Judéo-Christques se sont lancés dans le prosélytisme agressif (le Jufdaïsme était en pleine effervescence religieuse face à l'influence gréco-romaine) d'où persécutions réciproques et fanatisme : les Zélotes qui ont égorgé les prêtres du Temple étaient très probablement des Judéo-Christques Nazoréens.
Quand Paul de Tarse, (le 'Grand Apostat' pour les Juifs) ayant enfin réalisé que si le dieu des Juifs est le dieu unique il est obligatoirement le dieu de tous les hommes a "inventé" le Christianisme en "déjuivant" le Judéo-Christisme pour pouvoir ouvrir le baptême aux goyim il en a conservé les fondamentaux : "dieu unique" donc "vérité" unique, "salut sélectif" d'où mépris des "autres" et devoir de les convertir par la force si nécessaire - bref, toutes les sources d'INTOLÉRANCE et de FANATISME.
Et si Yéchou'a bèn Yosséf, en révolte contre ce qui restait d'autorité Juive autonome - le Temple - a soigneusement séparé le politique du religieux, le temporel du spirituel "Rendez à César..." dès que le Christianisme a été associé au pouvoir politique il s'est établi une symbiose : le pouvoir politique "bras armé" de l'intolérance religieuse fanatique en échange de la religion "opium des masses" outil de contrôle des populations.
Mahomet, lui, après l'Hégire n'est pas resté un simple réformateur religieux, il est devenu chef politique (ordonnant entre autres une "purification ethnique" de Médine), meneur de razzias de bandes de pillards bédouins dont il cultivait toutes les "valeurs" pour avoir leur adhésion tout en ajoutant le fanatisme des nouveaux convertis comme motivation supplémentaire, chef d'armée, théocrate sanguinaire et revanchard attaquant la Mecque en plein Ramadan pour beaucoup y massacrer.... : non seulement l'Islam contrairement au Christianisme a été du départ associé au pouvoir politique et aux guerres de conquête, mais contrairement aux Evangiles purement "religieux" le Coran mélange inextricablement des citations du Prophète dans ses différents rôles : les monstres sanguinaires du Califat n'ont aucun mal à y trouver des passages sanctifiant leur jihad sous tous ses aspects.
On est bien loin du Zoroastrisme qui n'avait qu'un Purgatoire mais pas d'Enfer - Ahura Mazda était réellement "bon et miséricordieux, lui : à la fin des temps tous les hommes sont "sauvés" : heureux temps du paganisme !
Et inutile de mentionner les sacrifices humains des "païens" : sauf anomalie pathologique condamnant à très court terme la culture qu'elle imprègne : Aztèques - la religion païenne réserve le sacrifice humain aux cas exceptionnels. Tout meurtre "au nom de dieu / de la religion" étant un sacrifice humain, Chrétiens et Musulmans ont pratiqué au fil des siècles immensément plus de sacrifices humains que tous les "païens" réunis depuis le début du Néolithique.
Aujourd'hui encore la religion la plus tolérante et la moins propice au fanatisme est le néo-paganisme Wicca )O(
L'hénothéisme était la norme du Moyen-Orient antique : au sein d'un panthéon commun caque entité politico-culturelle reconnaissait l'existence des dieux des autres peuples mais réservait (en théorie) son culte au couple divin protecteur de la "tribu", chacune ayant son Ba'al et son Ashera. Ainsi Yaweh était le Ba'al d'Israël, Marduk celui de Babylone, Assur celui des Assyriens et la seule consigne divine (que l'on trouve dans l'Ancien Testament : un oubli lors de sa ré-écriture monothéiste) était "Tu n'adoreras pas d'autre divinité au dessus de moi". Le Premier Temple des Juifs contenait des chapelles dédiées aux principaux autres dieux à l'intention des visiteurs étrangers !
L'assimilation est bien connue du mondre gréco-romain et était la pratique générale dans l'Europe indo-européenne puisque les divers panthéons dérivaient d'un ancêtre commun : "les autres adorent les mêmes dieux que nous sous des noms différents et avec des rituels quelquefois étranges, mais c'est leur affaire". L' assimilatio romana était évidemment approximative - les mythologie avaient évolué dans des directions divergentes, avaient subi des influences bien différentes d'une région à l'autre - et quelquefois erronée (Wotan et Lug assimilés à Mercure et non Jupiter, Thor assimilé à Mars et non Vayu - Hercules) mais garantissait la tolérance et donc la paix religieuse. Au sein d'une religion donnée les variantes de doctrine et de pratique étaient nombreuses et acceptées.
Par nature le polythéisme pousse à la tolérance et au respect des différences puisqu'il reconnait l'existence de divinités - de "modèles" - aux personnalités, buts, goûts et pratiques bien différents et souvent contradictoires.
Quand les "païens" mobilisaient la religion c'était pour des raisons purement politiques : rappeler aux Assyriens qu'une victoire sur les Babyloniens offrirait à Assur une victoire sur Marduk et donc le ferait passer au dessus de lui dans la hiérarchie divine n'était qu'un argument pour motiver davantage les "petits papas déguisés en soldats" que le roi d'Assyrie envoyait au casse-pipes ; et quand l'occupant romain s'est acharné à éradiquer le druidisme ce n'était pas par intolérance religieuse - bien des philosophes admiraient les druides - mais pour briser l'identité culturelle celtique réfractaire à la romanisation. Bien entendu le culte impérial romain - d'ailleurs essentiellement symbolique - comme la primauté donnée au Mazdéisme sous les Sassanides étaient des 'gadgets' strictement politiques.
Tout a changé et l'intolérance religieuse, avec toutes ses cruelles conséquences, est apparue quand les Juifs se sont (très maladroitement) convertis au monothéisme sur le modèle du Zoroastrisme Perse.
Comme tous les peuples de la région depuis Sumer ils se considéraient comme le "peuple élu" de leur couple divin tribal, mais n'en tiraient qu'un sentiment de "supériorité" très relatif - Yaweh n'était qu'un petit dieu dans le polythéisme de la région. Cependant bien plus que tous les autres groupes ethno-culturels les Juifs cultivaient déjà leur différence : interdiction plusieurs fois rappelée de se mélanger aux autres peuples y compris par le "sang", accumulation d'interdictions et obligations dissuasives "creusant l'écart" avec les autres peuples, doctrine martelée "Israël ne doit pas être compris au nombre des nations".
Cette certitude d'être "différents" - très vite traduite comme une "supériorité" - les Juifs monothéistes l'ont conservée, cultivée, exagérée pour se préserver des influences culturelles de leurs conquérants successifs : Perses mais surtout polythéistes hellénistiques puis romains. pour eux "dieu" avait divisé l'Humanité en "eux" (les "bons") et les goyim les "autres", les "mauvais" (Desproges traduisait : 'Dieu a divisé l'Humanité en 2 les Juifs et les antisémites ^.^). D'où l'intolérance, la haine apeurée et méprisante de tous ceux qui n'adoraient pas "dieu" mais des "faux dieux", des "démons". Avec le "dieu unique les Juifs ont introduit la "vérité unique"* - le Zoroastrisme ne cherchait pas à l'imposer, il avait hérité de l'idéologie indo-européenne ancestrale l'idée encore fondamentale dans l'Hindouisme que "la vérité peut être perçue sous différents aspects" - donc la "pensée unique" et l'intolérance absolue envers toute "dissidence".
Cependant les Juifs ne pratiquaient guère les conversions forcées - faire partie du "peuple élu" était un précieux monopole d'ailleurs théoriquement réservés aux "pure race" - cest le Judaïsme qui a inventé le racisme tel que nous le connaissons.
Yéchou'a bèn Yosséf (dit Jésus), réformateur Juif en révolte contre le Temple (une sorte de Calvin ou Luther du Judaïsme) n'a pas dérogé à cette tradition : dans Matthieu il interdit à ses apôtre de prêcher aux goyim "car ce serait comme jeter aux chiens le pain prévu pour les enfants". Cependant il a introduit (pas inventé car il a été lui-même baptisé, et on en trouve une allusion dans Daniel) une cause fondamentale supplémentaire de division = le salut sélectif : "seuls ceux qui se convertissent à son enseignement seront "sauvés". Argument marketing d'une extraordinaire puissance (largement à l'origine du succès historique du Christianisme et de l'Islam) mais poussant au mépris des "autres" et à l'envie de les convertir "pour leur bien" - idée tout à fait nouvelle. Jusqu'alors les sectes Juives dissidentes se contentaient de s'isoler dans leurs "ghettos" loin des "tentations impures", comme le font encore aujourd'hui les communautés Amish ; les "hérétiques" Judéo-Christques se sont lancés dans le prosélytisme agressif (le Jufdaïsme était en pleine effervescence religieuse face à l'influence gréco-romaine) d'où persécutions réciproques et fanatisme : les Zélotes qui ont égorgé les prêtres du Temple étaient très probablement des Judéo-Christques Nazoréens.
Quand Paul de Tarse, (le 'Grand Apostat' pour les Juifs) ayant enfin réalisé que si le dieu des Juifs est le dieu unique il est obligatoirement le dieu de tous les hommes a "inventé" le Christianisme en "déjuivant" le Judéo-Christisme pour pouvoir ouvrir le baptême aux goyim il en a conservé les fondamentaux : "dieu unique" donc "vérité" unique, "salut sélectif" d'où mépris des "autres" et devoir de les convertir par la force si nécessaire - bref, toutes les sources d'INTOLÉRANCE et de FANATISME.
Et si Yéchou'a bèn Yosséf, en révolte contre ce qui restait d'autorité Juive autonome - le Temple - a soigneusement séparé le politique du religieux, le temporel du spirituel "Rendez à César..." dès que le Christianisme a été associé au pouvoir politique il s'est établi une symbiose : le pouvoir politique "bras armé" de l'intolérance religieuse fanatique en échange de la religion "opium des masses" outil de contrôle des populations.
Mahomet, lui, après l'Hégire n'est pas resté un simple réformateur religieux, il est devenu chef politique (ordonnant entre autres une "purification ethnique" de Médine), meneur de razzias de bandes de pillards bédouins dont il cultivait toutes les "valeurs" pour avoir leur adhésion tout en ajoutant le fanatisme des nouveaux convertis comme motivation supplémentaire, chef d'armée, théocrate sanguinaire et revanchard attaquant la Mecque en plein Ramadan pour beaucoup y massacrer.... : non seulement l'Islam contrairement au Christianisme a été du départ associé au pouvoir politique et aux guerres de conquête, mais contrairement aux Evangiles purement "religieux" le Coran mélange inextricablement des citations du Prophète dans ses différents rôles : les monstres sanguinaires du Califat n'ont aucun mal à y trouver des passages sanctifiant leur jihad sous tous ses aspects.
On est bien loin du Zoroastrisme qui n'avait qu'un Purgatoire mais pas d'Enfer - Ahura Mazda était réellement "bon et miséricordieux, lui : à la fin des temps tous les hommes sont "sauvés" : heureux temps du paganisme !
Et inutile de mentionner les sacrifices humains des "païens" : sauf anomalie pathologique condamnant à très court terme la culture qu'elle imprègne : Aztèques - la religion païenne réserve le sacrifice humain aux cas exceptionnels. Tout meurtre "au nom de dieu / de la religion" étant un sacrifice humain, Chrétiens et Musulmans ont pratiqué au fil des siècles immensément plus de sacrifices humains que tous les "païens" réunis depuis le début du Néolithique.
Aujourd'hui encore la religion la plus tolérante et la moins propice au fanatisme est le néo-paganisme Wicca )O(
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