dimanche 7 août 2016

Sur le "dieu d'Abraham" et la religion en général

(Illustrations et liens complémentaires postés le 7.O1."17 sur une nouvelle page)
(2ème. complément ICI - 8.O3."17)

         - Un culte sado-masochiste
        - Le voile Abrahamique
     - LE CHRISTIANISME
     - L'ISLAM[ISME]
        - L'Islam en Occident
        - L'Islam tueur de chiens
SUR LA RELIGION EN GÉNÉRAL
   - ORIGINE DU "SURNATUREL"
 - LA LAÏCITÉ EN DANGER
    - résistance laïque féminine

La provocation - dont la caricature n'est qu'un aspect - est constructive : elle vise à *provoquer* chez l'interlocuteur outré (à moins qu'il ne s'agisse que d'une brute  primaire) la recherche de contre-arguments et donc une réflexion plus approfondie au final bénéfique à tous.  
Evidemment Abraham est un personnage mythologique - Moïse supposé bien plus récent est aussi fictif qu'Achille, Romulus ou Yudhishthira - mais il est l'archétype du schizophrène victime d'hallucinations "mystiques".

1° -  SUR LE DIEU d'ABRAHAM...

1a - LE DIEU D'ABRAHAM, DIEU D'AMOUR ET DE PAIX ?
"Yaweh"




"Dieu le Père"
Î (1 mort, une quinzaine de blessés)
 

 


"Allah

 
 
Au Bataclan (comme en Syrie et en son temps en Algérie) : décapitations, éventrations, éviscérations, mutilations génitales, yeux crevés et testicules arrachés…. avant la mise à mort. 
 
 

[ Le terrorisme islamique (et non pas islamiste) se développera aussi longtemps que ceux au pouvoir proclameront qu'ils sont en guerre mais ne la font pas. On ne fait pas la guerre au "terrorisme" qui n'est qu'un outil mais à la "cause", à l'idéologie qui l'utilise.
Tant que l'on n'aura pas désigné explicitement :
     - l'ennemi = l'Islam traditionaliste, l'Islam barbare, cruel, ignorant, superstitieux des pillards bédouins du VII° siècle,
     - ceux qui le propagent : les imams et 'savants de l'Islam' "fondamentalistes", qu'ils se déguisent (comme à Brest) ou non (les frères Ramadan) en Saoudiens pour prêcher leur salafisme,
     - ceux qui le financent : les théocraties wahhabites, surtout notre "grande & honorée amie" l'Arabie Saoudite,
    - ceux qui le soutiennent et le banalisent, de l'islamiste Erdogan aux Musulman(e)s soi-disant "modéré(e)s" qui affichent leur adhésion à cet Islam non Coranique par le costume, l'exhibitionnisme agressif (ni le voile, ni la barbe, ni le bonnet à prière ni le "costume arabe" ne sont Coraniques),
     - ce que l'ennemi attaque à travers nous, ce que nous devons non seulement défendre mais aussi exalter comme contre-propagande et cultiver face à l'ennemi : pas le gouvernement en place, pas simplement notre droit à ne pas vivre dans la peur mais tout ce que la France représente et qui est tout ce qu'ils HAÏSSENT : la liberté  - TOUTES LES LIBERTÉS - l'égalité (des sexes, des genres, d'inclinaison), la laïcité, la démocratie (pour eux blasphématoire : seul leur dieu peut dicter des lois), le respect de / l'indifférence à la vie privée des autres, la modernité des Lumières et de la Science, la rationalité, l'amour (encore plus absent du Coran que de la Torah), la fraternité détendue de la fête, la joie, la musique, le plaisir, une vie libre du masochisme obsessionnel de la culpabilité, libre de l'autoflagellation et de l'autoprivation, libre de la peur permanente du péché et de l'Enfer... : la  jahiliyya heureuse, la VIE tout simplement,
tant que l'on n'aura pas très clairement défini et exposé la réalité de la situation on ne fera pas la guerre mais du mauvais théâtre, on jouera les matamores "politiquement corrects" en donnant de grands coups d'épée dans l'eau.

 
 
 L'EI n'attaque pas la France pour sa participation (minime) en Syrie et en Irak : tout au plus un médicre argument pour les islamistes et islamolâtres tentant de dédouaner l'Islam et pour les imams sergents-recruteurs de l'islamisme radical- le genre francophobe homophobe gynophobe musicophobe et buveur de pisse de dromadaire qui se déguise en Saoudien.
Quand "Au nom d'Allah le très miséricordieux (!!!) huit frères portant des explosifs et des fusils d'assaut ont pris pour cible des endroits choisis minutieusement à l'avance au coeur de la capitale française ... le Bataclan ou étaient rassemblés des centaines d'idolâtres dans une fête de perversité" la motivation est strictement religieuse, la politique étrangère de la France est hors de cause. En fait la France est la cible provilégiée des jihadistes car elle incarne tout ce qu'ils haïssent : le pays de Voltaire et du scepticisme souriant, de la liberté de conscience et du droit à l'irrespect et au blasphème, de la véritable laïcité, de la démocratie, des droits de l'Homme et du respect de la Femme, de la diversité dans l'unité nationale, des jolies femmes, du saucisson-beaujolais, de la joie de vivre.   (la mouvance goth est celle qui révulse le plus les culs-bénis :
dans leur ignorance et leur paranoïa ils la croient "satanique")
  
Mais en France nos politiques sont si frileux que leur rédaction de la loi "anti-burka" a si soigneusement évité de nommer ce qui était visé qu'appliquée à la lettre elle interdirait aux motocyclistes le port du casque intégral...
Le terrorisme islamique se développera aussi longtemps que les Musulmans véritablement modérés n'auront pas fait le ménage au karsher dans leur Oumma : mais sont-ils assez nombreux, peuvent-ils être écoutés ?
 Et ils n'aboutiront à RIEN tant qu'ils n'auront pas "sauté le pas" du "blasphème" : puisque le Coran, comme tous les textes sacrés, présente des contradictions IL N'EST PAS "la parole de Dieu" - Dieu ne bafouille pas - mais il la CONTIENT. Et leurs coreligionnaires seront-ils capables de les entendre ? Il faudrait commencer dès l'école primaire, et avec les écoles 'coraniques' du genre de celle que l'imam buveur de pisse de dromadaire a été autorisé à ouvrir...


 Dans le cas de l'Islam tel que traditionnellement enseigné (pas l'"Islam des Lumières" mais "l'Islam de ceux qui ne sont pas des lumières"  ^.^) les Musulmans devraient être alertés par un PARADOXE fondamental (qui suggère que cet enseignement traditionnel est erroné, perverti et devrait être totalement ré-évalué). La suprème récompense pour un Musulman est d'être dispensé pour l'éternité de se conduire en Musulman : le "martyr" pourra forniquer comme une bête hors mariage avec des sex dolls biologiques jaune-vert sans être emmerdé par bobonne(s), picoler (à la rivière ou servi par de jeunes éphèbes : pédérastie ?) sans avoir la gueule de bois... (il ne manque que le jambon - beurre et le boudin aux pommes ^.^). Le paradis du soldat d'Allah c'est "le repos du guerrier mécréant" : ?

 (la *présentation* de la vidéo est très "orientée ultra-Catho" mais la vidéo elle-même est religieusement "neutre")
 En fait il s'agit très vraisemblablement de l'un des nombreux cas où dans le Coran un mot non pas arabe mais araméen ou syriaque (il y en a plus de 600 !) a vu son sens totalement déformé par la tradition orale populaire ensuite figée et "sanctifiée" dans la Sounna (les houris seraient en réalité des grains de raisin blanc !). En l'occurence les pillards bédouins qui ont été les premiers Musulmans ont fantasmé comme suprême récompense dans l'au-delà leurs rêves de guerriers barbares.

         Au passage puisqu'au Paradis le Musulman pourra baiser à loisir sans être emmerdé par bobonne(s) les Musulmanes ont-elles une âme ? Ou seulement les quelques "femmes parfaites"  (dignes d'être des hommes) dont la  liste n'est guère plus longue que celle des animaux admis au paradis d'Allah (au maximum 9 dont un chien Chrétien) ?
La question ne se limite pas à l'Islam : chez les Juifs ultra-orthodoxes les hommes consacrent leur vie à ânonner les textes sacrés pendant que les femmes travaillent pour faire bouillir la marmite.
 
   (D'autant que les "vierges" sont bien plus probablement des grains de raisin blanc ^.^)
       Mais en l'occurrence l'Islam - qui a bénéficié de l'expérience de 6 siècles de Christianisme pour améliorer ses méthodes de contrôle des esprits - n'a fait que pousser à son terme logique la règle fondamentale de l'Abrahamisme : POURRIR LE VIE DES CROYANTS POUR LES "TENIR" PAR L'ESPOIR D'UNE "APRÈS-VIE" MEILLEURE.


                Au sein de l'Islam l'Alévisme est l'école la moins incompatible avec le "vivre ensemble" - en fait il montre la direction menant à un "Islam des Lumières". Bien entendu, tous les autres Musulmans considèrent les Alévis comme des "hérétiques" et les autorités ± expressément islamistes (le pouvoir Turc sous Erdogan) les persécutent.

 Tous les "textes sacrés" contiennent des passages appelant à la paix et la tolérance et d'autres ordonnant la violence meurtrière envers les "mécréants" ("infidèles", agnostiques, apostats, athées, "blasphémateurs", "hérétiques", "païens" &c.). Après, chaque croyant mémorise les passages qui correspondent à sa personnalité (ou qui lui ont été bourrés dans le crâne per ceux sur qui il a eu la chance ou la malchance de tomber :  famille, prédicateurs, "copains"..) et s'empresse d'oublier / ignorer les autres.
En effet chaque croyant - ou plus souvent chaque prédicateur, chaque "école" - se fait sa religion "à la carte". Il ne peut en être autrement car il est obligatoire de choisir :
- entre les diverses interprétations concurrentes du texte et ce à plusieurs niveaux :
- dès le sens des mots pris individuellement (surtout dans le Coran où bien des mots de sont pas arabes : les houris sont-elles des sextoys bioandroïdes ou des grains de raisin blanc ?),
- du sens premier des phrases,
- de l'intention des paragraphes : à prendre littéralement ou images / métaphores / paraboles ?
- de leur nature : message théologique ou simple mention anecdotique du contexte du temps et du lieu ?
- de leur portée : universelle ou limitée à des circonstances particulières ?
- Le degré d'intransigeance de leur application, tant pour les 'croyants' que pour les 'mécréants' ;
- Entre les passages contradictoires du 'livre saint'.
La religion est un buffet self-service : chacun se compose son plateau à son goût (ou reproduit le menu qu'on l'a "éduqué" à trouver bon). ]

 
 
En fait les 3 monothéismes d'Abraham se valent :
 
Dans la Torah (l'Ancien Testament des Chrétiens) le 'Tu ne tueras point' et les autres Commandements du même ton ne régulent que les relations entre Hébreux : voir (fin de Deutéronome 6 et début de  7) comment Yaweh leur ordonne de traiter les goyim qui vivent sur la terre qu'il leur a promise.
Dans le Nouveau Testament 'Paix sur la Terre aux hommes de bonne volonté' est une traduction délibérément erronée : le génitif bonae voluntatis du texte latin est sans ambiguïté la paix ne s'étend qu'aux 'homme de LA bonne volonté' (de dieu) ; le texte grec plus ancien se traduit par ''aux hommes qui plaisent à dieu' : les "bons Chrétiens", pas de paix pour les autres.

Dans le Coran 'Qui tue un homme tue toute l'Humanité' est l'exemple typique des citations tronquées et sorties de leur contexte qu'utilisent les Musulmans "modérés" pour convaincre tout le monde et d'abord eux-mêmes que l'Islam est une religion de paix.

Le texte complet du verset est : " C'est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d'Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la Terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la Terre "coupable d'une corruption sur la Terre" (d'autres traductions disent "ayant semé le désordre sur Terre") est susceptible de bien des interprétation différentes :   refuser la dhimmitude…
Le verset suivant précise le sens, et on comprend que ceux qui chercher à promouvoir l'image d'un Islam "modéré" / "religion de paix" ne le citent JAMAIS : " La récompense de ceux qui font la guerre contre Dieu et Son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la Terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas ; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment".

Dans toutes ces citations "dépravation" / corruption" / "désordre" se prête à toutes les interprétations.
La violence - le message "Soyez doux avec les vôtres soyez dur avec les mécréants" -  est seulement plus explicite dans certains passages du Coran (Mahomet contrairement à Jésus n'est  pas resté seulement un réformateur religieux, il est devenu chef de guerre et souverain politique, d'où un "message" temporel et pas seulement théologique - mais les "docteurs / savants de l'Islam" pour la plupart refusent de faire la différence car la confusion assure leur pouvoir et ils bourrent le crâne des Musulmans avec l'idée que leur religion est un "système de gouvernement" complet) ; 
mais le véritable problème de l'Islam est la doctrine selon laquelle le Coran est "intemporel" donc que toutes les sourates s'appliquent en tous lieux, en tous temps et en toutes circonstances. Il n'y a que quelques extrémistes Chrétiens et (moins rares) Juifs qui appliquent ce même raisonnement à leur 'Livre Saint', d'où une possibilité d'"adoucissement  /  assouplissement" du Christianisme (et du Judaïsme, plus difficilement) ; sinon, à l'analyse, la violence implicite est du même niveau dans la Torah, le Nouveau Testament et le Coran.
Le monothéisme Abrahamanique sous ses différentes formes est la religion la plus agressive, la plus intolérante, la plus "pousse au meurtre" de toute l'Histoire de l'Humanité - et de très loin. 

 

D'ailleurs son dieu ne donne -t-il pas l'exemple, lui qui dans un accès de rage infantile a anéanti toute vie animale sur Terre sauf un couple de chaque espèce et "génocidé" toute l'Humanité sauf une famille - a détruit sa création comme un affreux Jojo gâté mal élevé, un 'spoiled brat' casse son jouet dans une crise de colère - simplement parce que malgré sa supposée omniscience il était déçu ?   


En effet...


1b - LE DIEU D'ABRAHAM, DIEU BON ET MISÉRICORDIEUX ?
NON,  TOUT AU CONTRAIRE !
Pour qui analyse objectivement la Torah, la Bible et le Coran le dieu d'Abraham, qu'on l'appelle Yaweh, Dieu le Père ou Allah, est bien toujours le même : au minimum un psychopathe bipolaire / schizophrène  / 'Dr Jekyll & Mr. Hyde' si l'on veut être très gentil et très optimiste, au pire un pervers sadique narcissique, caractériel et immature.
C'est le paradoxe - l'incohérence -  inévitable d'un dieu unique créateur universel omnipotent et omniscient qui se prétend "bon et miséricordieux".  Créateur universel il a créé le mal (il s'en vante au moins une fois dans l'Ancien Testament) omniscient il connaît son existence et à l'avance ses complots, omnipotent il pourrait y mettre fin mais ne le fait pas. Les monothéistes ont beau intellectuellement "tortiller du cul pour essayer de chier droit" pour dédouaner le Créateur en culpabilisant la créature (ce qui déjà est idiot) aucun de leurs pseudo-raisonnements ne résiste à l'analyse logique.
 Conclusion inéluctable : le dieu d'Abraham est soit un hâbleur, un matamore vantard - soit un pervers sadique.



Origine de cette mythologie incohérente ?
Depuis que la religion organisée existe ses professionnels mettent à profit chaque malheur (individuel ou collectif) pour tenter de renforcer leur pouvoir en prêchant qu'il s'agit d'une punition divine pour avoir offensé (les) dieu(x), ne pas avoir été assez pieux - pour ne pas avoir été suffisamment asservi au clergé. Aujourd'hui encore des évêques, pasteurs, cheiks et rabbins proclament que le sida, ébola, Daesh, les tremblements de terre, la sécheresse en Californie... sont la punition divine pour la législation de l'IVG ou du mariage pour tous ou simplement l'"impiété".
C'est ce que leurs prêtres ont répété aux Juifs pendant leurs siècles de "malheur" (division du royaume, conquête babylonienne puis assyrienne et enfin occupation perse). Au final les Juifs ont progressivement été convaincus de ne plus adorer que  leur dieu mâle ("guerrier") et de diaboliser leur déesse protectrice, leur "Reine du Ciel" (avec les conséquences que l'on connaît encore aujourd'hui sur l'image, le statut de la femme dans les sociétés empreintes d'Abrahamisme). Le mouvement avait été initié (sans succès) par le dernier roi Juif "libre", il s'est développé au contact du monothéisme Perse ; et puisque le dernier conquérant, le plus 'successful' était monothéiste ils le sont devenu aussi. Ce dieu unique et universel était évidemment "leur" dieu, celui avec qui ils avaient conclu l'"Alliance" : magnifique retournement de situation : le dieu de leurs vainqueurs était leur dieu sous un autre nom (qui avait pris un masque et utilisé d'autres peuples pour "mettre leur Foi à l'épreuve").

Mais les Juifs - "le peuple à la nuque roide"- pour surcompenser leurs siècles d'humiliation (et / ou par surenchère dans la flagornerie religieuse ?) ont décrété leur dieu "parfait, omnipotent et omniscient" sans réfléchir aux conséquences logiques de cette qualification. Le Dieu de Zoroastre n'est pas tout à fait "parfait" : un défaut (de conception ? De construction ?) de sa 1ère créature en a fait "le Grand Ennemi", Ahriman (le modèle de "Satan") créateur du mal - ou bien un accident a divisé sa 1ère créature en 2 jumeaux opposés, l'un 'de la Lumière' et l'autre 'des Ténèbres. Et Ahura Mazda n'est pas tout à fait "omnipotent", le combat contre le mal est long et l'aide de l'Homme est indispensable (alors que dans la mythologie d'Abraham dieu tout puissant pourrait anéantir le mal en un clin d'œil s'il le voulait, l'Homme n'est qu'un malheureux pion dans la partie qu'il joue "pour le plaisir" contre Satan).
      Ce n'est malheureusement pas le seul point sur lequel les Juifs (et donc leurs héritiers, Chrétiens et Musulmans) ont totalement perverti le modèle Zoroastriste.  Ahura Mazda LUI est réellement "bon et miséricordieux", un "dieu d'amour" : il a le prototype du "jugement des morts" (franchissement du Pont de Chinvat) , du Paradis (la Maison des Chants) et du Purgatoire (la Maison de Druj) mais pas d'Enfer : à la fin des temps tous les Hommes sont "purifiés", "sauvés" et acceptés pour l'éternité au paradis. Le dieu d'Abraham, lui (par extrapolation de la certitude que leur dieu a divisé l'Humanité en "Juifs" et "les autres" - "Les Juifs et les antisémites" disait Desproges ?) condamne aux tortures éternelles tous ceux qui ne l'ont pas suffisamment adoré, y compris tous ceux qui par sa faute n'ont jamais entendu parler de lui, pratique le "salut SÉLECTIF" (concept de base distinctif du Judéo-Christisme étendu à l'Humanité entière par le Christianisme de Paul puis par l'Islam : les Juifs ne se préoccupent pas du sort des goyim.
  Paradoxalement, stupidement, monstrueusement cette qualification de "dieu d'amour" est introduite en même temps que sa négation : l'Enfer éternel. Les Juifs du Temple n'avaient jamais prétendu rien de tel : être le "peuple élu" N'ÉTAIT PAS être le "peuple aimé" mais le peuple choisi par Yaweh pour le servir en échange de sa protection, très exactement la relation féodale seigneur - serfs).

      Catastrophe historique (pour les cultures Chrétiennes et Musulmanes encore imprégnées de leur héritage - et donc pour la majorité de l'Humanité) les Juifs ont complètement merdé leur conversion au monothéisme. Par respect, inertie traditionaliste et orgueil national ils ont élevé au statut de dieu unique et universel leur petit dieu tribal Yaweh, leur Ba'al (comme Marduk était celui, plus puissant, des Babyloniens et Assur celui, encore plus puissant, des Assyriens - dieux dont les Juifs hénothéistes reconnaissaient l'existence sans -  en théorie - leur rendre de culte) sans rien changer à son histoire légendaire ni à sa personnalité.  Ils se sont contentés afin qu'il soit "unique" de le "divorcer" de son Ashera, censurant le Tanakh pour en effacer toute trace de leur "Reine du Ciel" et faisant de celle-ci un "démon" (ce qui n'a pas été sans rencontrer de résistance comme en témoignent les "prophéties" de Jérémie - les prophéties écrites après coup sont les plus sûres  ^.^) comme pour les dieux des autres peuples. C'est certainement de cette "réforme" que date la 2ème version de la création de la femme : postérieure à celle de l'homme (une anomalie "monstrueuse" dans l'Histoire universelle des religions) qui permet de qualifier la femme de "naturellement inférieure à l'homme et moins proche de dieu que lui puisqu'elle n'a été conçue qu'à l'image de l'homme alors que l'homme a été conçu à l'image de dieu" : aussi patriarcale et sexiste qu'ait été une société une telle "infériorisation" de la femme était impensable tant qu'elle vénérait une déesse.

        Promouvoir un petit dieu mineur du panthéon sémitique mésopotamien au grade de dieu universel a eu deux conséquences, l'une risible l'autre catastrophique.
                 D'une part on a un dieu "omniscient" perpétuellement surpris du comportement des hommes, qui ne sait pas où Adam et Eve se cachent dans le Jardin d'Eden, qui doit demander aux Juifs de marquer leurs maisons pour qu'il les identifie lorsqu'il assassine le 1er né de tous les foyers égyptiens. 
Un dieu "omnipotent" qui a peur que les hommes deviennent ses égaux s'ils construisent une tour assez haute, qui ne peut donner la victoire à son 'peuple élu' "parce que l'ennemi a des armes de fer" (fin de l'Age du Bronze !)   :=)

              D'autre part et surtout un Ba'al est l'image exaltée mais à la psychologie strictement, médiocrement humaine d'un roi-prêtre impérialiste mésopotamien : un tyranneau saur cruel, jaloux, narcissique, sanguinaire, sexiste (un super gorille à dos argenté dans le ciel), vindicatif.
                          Théocrate il exige l'adoration comme un impôt, avec les mêmes conséquences pour qui est rétif à "payer". D'ailleurs la seule raison d'exister des humains (comme de toutes les créatures) est de l'adorer et de le servir - le Coran ne fait que le rappeler ; dans le Jardin d'Eden avant "la faute" l'Homme était "comme un animal", un singe nu : 'a pet' un animal familier sans fourrure ni intelligence (ce qui souligne l'injustice cruelle de punir l'Humanité pour une faute commise alors que le concept même de "faute" lui était inconnu ; mais aussi que l'Homme différent de l'animal a été créé non par "dieu" mais par 'Satan', personnage prométhéen, 'Lucifer' "celui qui apporte la lumière" : si l'intelligence qui distingue l'Homme de l'animal 'visualise' la possession d'une âme, il doit celle-ci à 'Satan', non à 'Dieu').
                    Roi guerrier de son temps il croit à la responsabilité collective et pratique la punition collective, sur le modèle de l'exécution (avec des raffinements de cruauté complaisamment figurés sur les bas-reliefs assyriens : écorchement à vif, empalement... : de ce point de vue le dieu d'Abraham est l'équivalent divin de Vlad l'Empaleur - le Dracula historique - le sexisme en plus) de tous les habitants mâles d'une ville qui n'a pas ouvert ses portes avant le début du siège.
Cette "philosophie" qui refuse toute distinction entre 'combattants' et 'non combattants', pour qui "il n'y a pas d'innocents" car "toute la population est complice" détermine, justifie le comportement :
-  des Juifs antiques (les "purifications ethniques", les génocides si fièrement décrits ans les Livres des Rois, les filles des vaincus devenant des esclaves sexuelles - ce qui me rappelle quelque chose de contemporain) ;
-  des Chrétiens en tant que tels jusqu'à la fin du XVII° siècle (Charlemagne en Saxe, "croisades" y compris d'autres Chrétiens - 'Tuez les tous Dieu reconnaîtra les siens') et à titre "laïc" jusqu'à au moins la 2ème G.M. ("représailles" nazies sur les populations civiles, 'Terror bombings' des alliés) voire plus récemment (ex-Yougoslavie) ;
- des Musulmans jusqu'à aujourd'hui (les appels de Daesh à assassiner tous les types de mécréants, pas seulement militaires ou policiers).

 
Infliger 7 plaies à l'Egypte entière, assassiner tous les premiers-nés égyptiens pour faire pression sur le Pharaon - faire souffrir toute un population pour faire "craquer" son gouvernement - est l'archétypes de ce qui est pour nous le terrorisme.

Chef religieux et chef politique meneur de razzias Mahomet était très proche du vieux dieu des Juifs - pour le pire car il n'y a pas de meilleur dans le dieu d'Abraham.  
 
 
Des milliers de divinités inventées par l'Homme le dieu d'Abraham est le personnage le plus exécrable, le plus cruel, le plus pervers.


LE MONOTHÉISME ABRAHAMIQUE EST À LA BASE UN VOMI DE ZOROASTRISME MAL DIGÉRÉ.
On est terriblement loin du dieu de Zoroastre, entité immanente d'une tout autre spiritualité. Les Perses n'étaient pas prosélytes et n'ont jamais procédé à des conversions forcées, pour eux les actes d'un homme comptent bien plus que ses pratiques religieuses. C'était l'"éthique" commune des "païens" : ainsi Óðinn envoie deux valkyrur pour ramener à son Valhǫll un viking apostat (converti au Christianisme) car son héroïsme l'avait rendu digne d'intégrer les Einherjar : c'est le monothéisme d'Abraham qui a inventé l'intolérance religieuse, le fanatisme et les guerres de religion [§ en bas de page].

Au lieu d'une "spiritualité plus élevée"  le monothéisme d'Abraham se distingue de toutes les autres religions par sa perversité son intolérance & son agressivité.
ET C'EST PRÉCISÉMENT LA RAISON DE L'EXTRAORDINAIRE SUCCÈS HISTORIQUE DU MONOTHÉISME ABRAHAMIQUE  DÈS QU'IL S'EST VOULU 'RELIGION UNIVERSELLE" et non plus monopole tribal : PAS sa 'supériorité "spirituelle"' comme ses tenants se plaisent à le croire et à le dire, PAS DU TOUT mais au contraire ses particularités les plus NOCIVES.
Les religions sont des mèmes parasites qui vivent et sont en compétition dans l'espace culturel humain comme les virus informatiques qui vivent et sont en compétition dans le cyberespace du web.   Le monothéisme d'Abraham "universel" a surpassé les paganismes car il est un pathogène d'une virulence exceptionnelle, unique. Il se distingue par ses extraordinaires :

- puissance invasive : les monothéismes Abrahamiques 'universels' affichent une offre particulièrement alléchante : en exclusivité une carte de membre V.I.P. du club très sélect de ceux qui jouiront d'une vie éternelle.
Pour les païens la vie après la mort, si elle n'était pas la même pour tous, dépendait des actes de chacun et non des divinités qu'il a adoré de son vivant ; dans le Hákonarmál  Óðinn envoie 2 valkyries chercher un viking apostat : qu'il se soit converti au Christianisme est sans importance face à son héroïsme

- résilience : la notion mortifère de péché (spécialement cette aberration logique le "péché originel" héréditaire : naître condamne a priori à l'Enfer) imprègne en permanence le croyant d'un sentiment de culpabilité douloureux que seul davantage de pratique religieuse peut soulager (un anxiolytique anxiogène, le rêve de tous les dealers !)
Aucune autre religion n'a jamais reposé sur une culpabilité permanente : le but premier des religions est de rassurer en fournissant des explications, seules les religions d'Abraham génèrent la honte et font une vertu du repentir obsessionnel.
  Pourquoi prier puisqu'on s'adresse a un dieu omniscient qui connaît déjà l'objet de vos prières et sa décision ? A moins que le dieu d'Abraham soit une sorte de "vampire psychique" se nourrissant des prières (en faits des angoisses, peurs et repentir) des hommes comme le dieu-soleil Aztèque se nourrissait du sang des victimes sacrificielles ? Mais de quoi se nourrissait-il avant d'avoir des adorateurs ?


                         [Mais la culte du repentir "qui assure le pardon" détruit toute valeur coercitive de la peur du châtiment   - pour les Chrétiens et les Musulmans : pour les Juifs il suffit d'égorger un malheureux poulet après l'avoir fait tournoyer au-dessus de votre pour qu'il "absorbe" vos péchés ^.^  -   En vendant des "indulgences" l'Eglise Romaine n'a fait qu'appliquer l'immoralité intrinsèque de l'Abrahamisme.
Et quand tuer des "mécréants" apporte non seulement l'absolution mais la gloire en ce bas monde et le paradis du guerrier dans l'autre...
]

(marche aussi avec Allah)


- contagiosité : à " vocation universelle " l'Abrahamisme  a pour objectif fondamental de conquérir / convertir l'Humanité entière - si le Christianisme s'est calmé, l'Islam plus jeune est toujours virulent   
Les paganismes ignorent les conversions forcées et même le prosélytisme agressif.

- agressivité : intolérant il élimine activement la "compétition" 
   Les paganismes ignorent l'intolérance religieuse : pour les païens les autres adorent les mêmes divinités qu'eux sous un autre nom ; et s'ils ont des divinités propres, c'est leur droit, et si elles sont intéressantes on les adopte.


Quant au Nouveau Testament réputé plus "doux" que l'Ancien il est en réalité BIEN PIRE.
En effet c'est lui qui a "officialisé" et répandu le concept cruel et pervers (mais tellement "vendeur" !) de salut sélectif.
Pour être "sauvé" il faut d'abord être condamné, perdu et le "péché originel" y pourvoit ; mais néanmoins les Juifs pré-talmudiques croyaient essentiellement que les morts se retrouvent (conscients ou non) tous au Shéol, domaine souterrain généralisant le caveau familial (l'Aralu babylonien). Le "jugement" implique une "vie après la mort" et même au temps de Yéchou'a bèn Yosséf le sujet faisait polémique : il semble que les Pharisiens y aient cru mais ni les Esséniens ni les Sadducéens. Quant aux modalités de cette "autre vie" la réssurection des corps n'était qu'une hypothèse nouvelle et controversée ; la "nouvelle vie" immédiate dans un "autre monde" sur le modèle Grec ou Egyptien, aujourd'hui si familière à la plupart des Chrétiens et Musulmans, n'était encore pour les Juifs qu'une fantaisie hérétique.

"Jésus" n'a pas inventé le "salut sélectif" (lui-même a été baptisé pour faire partie des "sauvés", d'ailleurs) mais il en a fait le thème central et original de son "Judaïsme réformé" à l'origine du Christianisme et de l'Islam. L'idée apparaît dans le Livre de Daniel, rédigé dit-on lors de l'Exil, c'est à dire en milieu Zoroastrien ; de fait dans le Zoroastrisme les morts sont "jugés" (franchissement du Pont de Chinvat) le "bons" allant à la 'Maison des Chants' et les "mauvais" à la 'Maison du Druj'. MAIS le dieu de Zoroastre lui est vraiment "bon et miséricordieux", la 'Maison du Druj' n'est qu'un Purgatoire, au final tous les morts sont "sauvés" (on retrouve cette miséricorde divine dans le Yézidisme : le Rebelle est pardonné et [re]devient l'"Ange Paon" équivalent de l'Archange Gabriel et du Saint-Esprit) ; le Gehinnom Juif du Second Temple n'était lui aussi qu'un séjour provisoire. C'est le Judéo-Christisme qui a inventé la damnation éternelle et l'Enfer. En cela il (et donc le Nouveau Testament) il est PIRE que le Tanakh, d'autant qu'il ne renie pas ce dernier et son "péché originel" et affirme donc que tous les humains sont de naissance condamnés à l'Enfer "sauf si...".  Terriblement cruel et fondamentalement injuste.
 mais c'est précisément ce qui est à l'origine du succès historique du Christianisme et de l'Islam, les deux seules religions "universelles" proposant une carte de membre V.I.P. du club le plus 'sélect' qui soit : ceux qui échapperont à la torture éternelle.
Evidemment les religions "païennes" étaient trop clémentes pour "faire le poids" devant le monothéisme d'Abraham "universel" (Christianisme et Islam) qui se vante d'avoir le monopole du "salut éternel" après avoir inculqué la "damnation originale" ! Le "trait de génie" en matière de marketing a été d'ajouter le "salut sélectif" et donc l'Enfer au "péché originel" : 'Tous les Hommes sont condamnés de naissance à l'Enfer mais ceux qui se convertiront à mon Judaïsme Réformé seront sauvés'. Ainsi la religion du Christ (y compris sa variante la religion de Mahomet) doit son succès à son culte de l'auto-dépréciation, de la culpabilisation et de la pénitence.


Religion "dominatrice" sensu BDSM : seul le "dieu d'Abraham" exige la souffrance des hommes comme "preuve d'amour" (un pervers sadique !) ;
 seul il a "inventé" le concept de péché, le  concept cruel et pervers de "péché originel". Les sacrifices humains restaient exceptionnels chez les "païens" même les plus "barbares" (sauf cas pathologiques comme les Aztèques, et si les sacrifices quotidiens étaient nécessaires pour garder en vie le dieu - soleil et donc l'univers ce n'était pas la souffrance de la victime qui était recherchée). Le jeûne périodique juif perpétué par les Chrétiens (vendredi maigre, carême) et par les Musulmans (ramadan) est l'un des aspects de cette "souffrance du croyant preuve de sa Foi" : le monothéisme d'Abraham enferme le fidèle dans un masochisme pervers : en fait un "drogué de la souffrance". 
Le secret de la religion est  d'apporter le bonheur dans l'esclavage - et le monothéisme d'Abraham doit son succès historique au fait qu'il asservit, "conditionne" / "rend dépendant" le croyant bien plus profondément que n'importe quel paganisme. La religiosité Abrahamique par la notion de péché (qui lui est propre) - renforcée par l'idée monstrueuse de "péché originel" qui condamne à l'Enfer de naissance : se "bien conduire" ne suffit pas il faut se "racheter" - imprègne en permanence le croyant d'une culpabilisation, d'une angoisse que seule plus de pratique religieuse peut (momentanément) soulager.

Le meilleur esclave est celui qui non seulement de croit libre mais est fier de son statut (au point de vouloir le faire partager à ceux qui lui sont chers, à le transmettre à ses enfants). Quand on répète - quand sa mère lui répète - à une gamine depuis la toute petite enfance que pour être "quelqu'un de bien" elle doit se cacher sous un tas de sacs poubelles noirs et être l'esclave des mâles - de sa famille d'abord, puis de son mari et des mâles de sa belle-famille) elle en est convaincue et plus tard impose ces "valeurs" à ses filles. Ainsi la cruelle excision des fillettes est réclamée - et généralement, sauf en Egypte, pratiquée - par leur propre mère "fière et heureuse" d'avoir été excisée.

Mais ce conditionnement - des femmes en particulier - à l'esclavage n'est pas le monopole de l'Islam : le 'Manifeste des 'Antigones' de Civitas (ultracathos) et celui des Caryatides du Renouveau Français  (ultracathos royalistes - à moins qu'il s'agisse des même sous 2 noms ≠ pour paraître plus nombreuses ?) exprime ce vœu d'être soumises, d'être d'humbles servantes, d'être infériorisées et contrôlées. Je comprends mal le choix du nom 'Antigones' mais celui de 'Caryatides' est révélateur : "Nom féminin. (grec karuatides) support en forme de statue féminine." Les Caryatides supportent, portent tout le poids de l'édifice.



En fait le monothéisme Abrahamique est effectivement la seule famille confessionnelle dans l'Histoire mondiale des religions à faire de l'Homme l'esclave du "divin" contrôlé par la peur du chatiment ; et l'Islam "soumission totale" en est la forme la plus "esclavagiste", la plus abjecte, la plus dégradante, la plus obscène. 



C'est le monothéisme d'Abraham qui a asservi et infériorisé la femme.
L'émancipation de la femme a été permise par la laïcisation progressive de la pensée et de la société en Occident, spécialement en France  (même si les "droits de la femme et de la citoyenne" n'y ont été [presque] pleinement reconnus qu'en 1944, voire il y a 41 ans).


  (or rather Its spawns  ^.^)
Cela a commencé tout doucement au début du XII° siècle en pays d'Oc avec le fin'amor "amour courtois" de la cour d'Aliénor d'Aquitaine et des trobairitz de haute naissance dont le succès a permis au milieu du XV° à la maîtresse royale de poser un sein nu pour une représentation de la Vierge : 
mais la laïcisation de la pensée est surtout l'œuvre du Siècle des Lumières.



1c - DANS TOUTE L'HISTOIRE DES RELIGIONS LE DIEU D'ABRAHAM avec son patriarcal dieu "mâle" sexiste - un super gorille à dos argenté dans le Ciel - EST UNIQUE PAR SA GYNOPHOBIE PATHOLOGIQUE.
 Rome historiquement et dans ses origines légendaires (l'Enéide) a été culturellement très influencée par la Grèce (et plus généralement par l'Asie Mineure, si les Etrusques viennent d'Anatolie) et la Grèce elle-même a eu la culture antique la moins 'indo-européenne' d'Europe (certaines divinités ne sont pas indo-européennes, des divinités assimilables au panthéon général IE portent des noms non IE) par l'intermédiaire des cités grecques d'Asie Mineure. L''infériorisation' de la femme dans la Grèce et la Rome antiques vient d'Orient, le gynécée par exemple est la version  monogame du harem. Dans les légendes grecques comme romaines les reines sont toujours des "tentatrices" (Calypso et Circé pour Ulysse, Didon pour Enée) ou des ennemies : les Amazones à Troie, la reine des Amazones tuée par Héraclès, la cavalière Camille dans l'histoire légendaire romaine. Ironie, l'Histoire vraie l'a rendu à Rome : Cléopatre en Egypte, Boddicée en Bretagne, Zénobie à Palmyre... :=)
Par contraste les mondes celtique et germano-scandinaves, historiquement et dans leurs légendes (qui reflètent la mentalité profonde d'une culture) accordaient une place privilégiée aux femmes - ce que confirme par exemple la reconnaissance germanique de deux "magies" strictement liées au sexe, complémentaires et d'égal niveau, la magie runique "mâle" d'Odin et le magie chamanique "féminine" de Freyja :

 l'"infériorisation / chosification" des femmes n'était pas inéluctable même (et surtout ?) parmi les "barbares"..

Seuls les Abrahamistes font de la Femme un être inférieur et un objet d'opprobre.   En raison du rôle joué par Eve dans l'"incident pomme" la femme est diabolisée, la SUCCUBE, la Tentatrice, le vase d'impiété, la source de tout péché et de tout malheur qu'il faut donc garder en laisse, tout son corps est obscène, 'dangereux'  car c'est par lui que Satan atteint le mâle et doit être caché 
 (le tabou sur les cheveux féminins - à l'origine des coiffes de tous les "costumes provinciaux" traditionnels - n'a - presque - disparu en Occident que juste avant la 2ème Guerre Mondiale - et les Musulmans nous le ramènent -  et le tabou sur les seins est toujours inscrit dans la loi de républiques soi-disant laïques).

Pour le monothéisme Abrahamique 
(les Chrétiens se sont généralement bien "calmés" mais pas les intégristes Juifs



ni les Musulmans "traditionalistes" même soi-disant "modérés") 
 
 
 
  Iraniennes aux J.O :
en 1974
en 2016
 ce n'est pas seulement que la femme est inférieure ("évidemment elle l'est" : cf. par ex. Paul Corinthiens I) mais c'est surtout qu'elle est fondamentalement impure (d'où l'interdiction de lui serrer la main, le refus de s'asseoir dans un siège, de prendre un volant... après une femme). Pour le monothéisme d'Abraham, depuis l'"incident pomme" Eve et toutes ses filles sont des nymphomanes diaboliques utilisées par Satan pour entraîner le mâle innocent dans le péché. Il faut donc les tenir en laisse et la vision de leur corps est si dangereuse qu'il faut le cacher sous un tas de sacs poubelles.
  


Le beurkini c'est la combinaison de plongée sans le masque et le tuba ;
une Française à la plage c'est très exactement le contraire :

 2 versions de la création de la femme coexistent dans l'Ancien Testament : "Et IL le fit homme et femme" (création simultanée comme dans toutes les autres mythologies) et le "clonage à partir d'une côte (ou d'un côté)".
                           Cette coexistence de variantes apparemment incompatibles(une incohérence de plus de la mythologie d'Abraham)  n'aurait pas gêné les Hindouistes Védiques mais ils avaient l'esprit beaucoup souple, quasi non-aristocélien au moins vis - à - vis de la mythologie (dans le Mahâbhârata à peu près tous les personnages sont à la fois enfant biologique d'une divinité [voire de 1,2 divinités !] et son [leur] incarnation partielle - alors que les Chrétiens se sont déchirés et persécutés pendant des siècles à propos de la proportion et des modalité de divinité du Christ).
Les Abrahamiques semblent plus "cartésiens" et des rabbins ont tenté de résoudre la difficulté en supposant ("Alphabet de Ben Sira" puis la Kabbale) 2 créations successives du premier couple humain : 
- d'abord une "normale" : simultanée pour laquelle ils ont eu recours à un très vieux démon femelle mésopotamien, Lilith. Créée en même temps qu'Adam elle se juge son égale, refuse de lui être inférieure (et d'abord d'être dessous pendant l'acte  sexuel) ; "dieu" étant l'archétype du patriarche sexiste donne raison à Adam, Lilith se révolte et rejoint le démon Samaël ;
- puis, Adam étant sans femme, une création en 2 temps : Eve est clonée à partir d'Adam ce qui assure qu'elle se sentira inférieure ("car elle n'a été créée qu'à l'image de l'homme alors que l'homme a été créé à l'image de dieu" Paul Corinthiens I) comme il convient à une femme dans les sociétés ultra-patriarcales imprégnées de monothéisme Abrahamique.

     La création simultanée commune à toutes les mythologies est la version "originale" (l'apomorphie en vocabulaire de reconstitution phylogénétique), la création en 2 temps strictement propre à la famille Abrahamique est la version "dérivée", la plésiomorphie. Mon interprétation toute personnelle est que cette 2ème version est relativement récente, ayant été élaborée à la suite de la (très maladroite) conversion des Juifs au monothéisme. Aucune société polythéiste aussi strictement patriarcale ait elle été n'a inventé une telle fable ; et quand les Juifs eux-mêmes étaient hénothéistes et vénéraient un couple divin leur Ba'al Yaweh et son Ashera ils n'auraient pas eu une histoire aussi misogyne. Quand ils ont copié le monothéisme Perse ils se sont contentés de transformer en démons les divinités étrangères dont ils reconnaissaient jusqu'alors l'existence et leur "Reine du Ciel" - et toutes les femmes avec elles. Cette ostracisme sur la féminité a impliqué sinon une réécriture du moins une "édition / censure" de ce qui existait du Tanakh pour effacer toute référence à leur déesse : il est hautement vraisemblable que la version "sexiste" de la création de l'Homme date de cette "édition amendée" du Tanakh.
C'est pourquoi le "voile" Abrahamique est particulièrement choquant.  
OUI, EN OCCIDENT 


EN OCCIDENT UNE FEMME ("laïque", les bonnes sœurs sont des pros en uniforme archaïque comme les Yeomen de la Tour de Londres) VOILÉE 
(Juive ou Musulmane : il n'y a pratiquement pas d'Amishs en Europe ^.^) 
ÇA DÉRANGE et pour 7 raisons objectives :
1 - Le voile visualise (c'est la partie émergée de l'iceberg) une RÉGRESSION culturelle et sociétale : au Moyen-Age toutes les Chrétiennes étaient voilées, le voile ramène l'Occident au Moyen Âge (même les arriérés de Civitas ne vont pas si loin dans la régression obscurantiste),  

2 - Le voile est le signe ostensible de l'infériorisation et de la diabolisation de la femme donc d'une discrimination péjorative dans l'esprit de l'étoile jaune imposée aux Juifs par les Nazis.


3 - Le mépris haineux et terrifié de la Femme que reflète le voile "islamique" est corrélée à une pudibonderie perverse qui maintient les mâles en manque au bord du viol à force de frustration. 


4 - Pour les Musulman(e)s le voile (comme la barbe, le bonnet à prière et le costume "arabe") n'étant pas coranique mais relevant de la seule Charia son port affiche l'adhésion à une conception extrémiste de l'Islam incompatible avec les lois, la société, les valeurs de l'Occident du XXI° siècle, proclame le rejet de la culture française et implique une forte sympathie avec les monstres de Boko Haram / Daesh qui poussent la mise en pratique de cet "Islam de la Charia" à son terme logique.
Certains vêtements ne sont pas "innocents", ils véhiculent un message bien spécifique. Une religion est une idéologie et la loi interdit le port d'insignes associés à certaines idéologies "extrémistes" : essayez de vous balader (même pour Mardi-Gras) en arborant des insignes nazis au titre que "chacun s'habille comme il veut" !        Le beurkini comme la beurka affiche l'adhésion à l'Islam (faussement) "intégriste" des monstres de Daesh et Boko Haram comme des terroristes sévissant en Europe : conclusion ?
 
5 - Tout exhibitionnisme religieux - tout croyant qui se transforme en homme- ou femme-sandwich trimbalant une pub pour sa confession - est un prosélytisme non sollicité - un spam agressif : et dans le cas particulier, un spam en faveur du jihadisme.


6 - Le religiosité moyen-âgeuse, la "Foi du charbonnier" 'heureux comme un Pape et con comme un panier' requiert une très profonde déficience culturelle ou / et mentale (de toutes façon un déficit culturel handicape le développement des capacités intellectuelles) : c'est affligeant à voir et - autant qu'un ivrogne vociférant et vomissant -  "ce n'est pas un spectacle pour les enfants".

7 - Quand il est porté "volontairement" le voile rappelle le secret du monothéisme d'Abraham à l'origine de son succès planétaire : la "religion du Livre" est la "religion du péché" qui rend le croyant "accro / dépendant" au bonheur dans l'esclavage ; et rappelle donc comment l'abêtissement requis par ce conditionnement avilissant est obtenu.
        - La religion étouffe ce besoin inné de comprendre "le pourquoi et le comment" qui nous distingue de l'animal : "'Dieu' explique tout il n'est pas nécessaire - il est blasphématoire - de chercher plus loin". Ainsi la religion étouffe notre curiosité, notre appétit pour davantage d'information(s), pour la nouveauté.
          - la religion exige la foi aveugle dans des textes enracinès dans l'Age du Bronze, dans l'âge de l'ignorance et de la superstition : elle réprime toute tendance à la remise en question, au scepticisme, à la confrontation aux connaissances historiques et scientifiques : elle enfonce dans la défaillance culturelle ; elle inhibe la tentation du recours au raisonnement personnel, à l'analyse logique objective et rationnelle : elle enfonce dans la somnolence intellectuelles.
    Imposer la religion à en enfant dont l'esprit se développe est une véritable mutilation de l'intellect.  
       Et un tel endoctrinement du jeune enfant l'imprègne d'un conditionnement enfoncé dans l'inconscient qui bride son esprit et, même s'il est oublié des décennies par le conscient, peut ressurgir à l'occasion d'un choc émotionnel ou d'une accumulation de revers - avec les conséquences que l'on sait chez les non-Musulmans frustrés qui se convertissent et Musulmans "non pratiquants" qui se "radicalisent" (les autres sectes genre Moon, Raël, Scientologie... n'offrent pas aux rageurs prétexte à satisfaire leurs pulsions meurtrières).
Que le "voile" soit choquant est tout particulièrement vrai en France 


{Loin d'être symboles de 'chosification' / 'dégradation' de la Femme les seins nus symbolisent au contraire  son respect : la poitrine masculine n'étant pas obscène ne pas traiter la féminine différemment affiche l'égalité des sexes ; "accorder" un "droit à la différence" est encore une forme de discrimination ± méprisante, l'égalité sans arrière-pensée se traduit par le droit à l'indifférence.} 
- le pays du bronzage topless  
   
qui permet aux Françaises du Pacifique de retrouver leur costume traditionnel
 
  La France où les seins nus sont symbole de liberté
   
en plus d'être comme partout symbole de laïcité.
 
Tchador à la française:
En noir mais pas dans un sac-poubelle :
Burkinis français :

Comment porter le hijab si l'on y tient :
Voiles "bien de chez nous"
 
 

Face à la montée en puissance de l'obscurantisme bédouin 
le choix pour la France est seulement entre 
les seins nus et la burka.





1d - ABERRATIONS LOGIQUES PROPRES AU CHRISTIANISME

 






1e - L'ISLAM[ISME]

Houellebecq a eu tort de déclarer "La religion la plus con, c'est quand même l'islam" ; toutes les religions sont fondamentalement connes.

Mais il est vrai que parmi les "grandes religion" l'Islam est celle pratiquée et enseignée de la façon la plus conne.
Car le pouvoir, le prestige et les revenus des "religieux professionnels" de l'Islam leur vient de la Charia et non de l'analyse du Coran.


Padamalgam : le suppositoire vaseliné 
pour se faire dhimmiser sans la sentir passer.

Historiquement et théologiquement l'Islam le plus radical = le plus arriéré - l'Islam des ayatollahs, des talibans, des wahhabites, de l'EI et de Boko Haram - est le plus "authentique", le véritable Islam, n'en déplaise aux Musulmans vraiment modérés et aux idiots utiles "padamalgam". C'est l'Islam de Mahomet chef de guerre acquérant l'adhésion des pillards bédouins en les menant à la "purification ethnique" et au massacre des tribus juives (dont les biens - filles vierges incluses - sont distribués aux guerriers vainqueurs) et à la reconquête monstrueusement sanglante de leur 'ville sainte', la Mecque, où depuis un millénaire ou plus ils allaient en pélerinage adorer la Pierre Noire 'fils' du dieu-lune Allah. Tamerlan, le Turco-Mongol fanatiquement Musulman plus cruel et sanguinaire que Gengis Khan et les rois Assyriens antiques, n'a fait que suivre son exemple.
 

     Les Musulmans soi-disant "modérés" savent bien au fond que les intégristes meurtriers sont "meilleurs Musulmans qu'eux"

d'ou la discrétion, la timidité de leurs condamnations - juste de quoi éviter des ratonnades, quand ce n'est pas taqîya pure et simple.
(Sur les 84+ morts de Nice une trentaine était de culture Musulmane ; pourtant sur les milliers de messages laissés sur la Promenade des Anglais - dont beaucoup de nature religieuse - une poignée seulement fait référence  à l'Islam : manifestement dans leur très grande majorité les Musulmans n'osent pas associer Allah à la réprobation du terrorisme djihadiste)
 


Cet Islam "Arabie profonde du VII° siècle" s'est plusieurs fois ± "adouci" brièvement au contact de cultures bien plus avancées, spécialement au contact de l'Iran Zoroastriste - vaincu, converti de force mais admiré et copié.


Nous Occidentaux avons pendant des générations connu surtout un Islam "atténué" : les grands pays Musulmans présents sur la scène internationale, sans faire leur Meiji, s'étaient quelque peu "modernisés" : l'Iran avec des Shahs qui - sans attendre le dernier -  significativement avaient réprouvé le voile, la Turquie surtout sous Atatürk. Puis grâce à Nasser des pays arabes politiquement laïcs et donc acquis à la tolérance, ceux qui un moment ont formé la République Arabe Unie. Cependant que dans les pays maghrébins de l''AFN' (et en Egypte, protectorat britannique depuis l'époque napoléonienne) la pensée  et la société se sont un peu "ouvertes" devant l'exemple des Occidentaux.



Mais l'Islam "authentique" ne s'est jamais éteint. Il a survécu intact dans  des "trous du cul du monde", l'Arabie profonde, les montagnes afghanes... Et partout ailleurs dans le monde Musulman des petits noyaux durs l'ont préservé (rien d'étonnant, nous avons bien Civitas en France).



Et d'une façon générale la religiosité la plus barbare, cruelle, superstitieuse fait éruption en période de détresse. Confrontés à un moment dramatique les religieux (les professionnels qui espèrent en profiter pour renforcer / restaurer leur pouvoir, mais aussi des illuminés laïcs qui se découvrent une vocation de prédicateur, une mission divine de "sauveur) l'expliquent automatiquement par une punition divine du manque de piété. C'est aussi vieux que la religion organisée (fin de l'Age de Pierre !) mais les Abrahamiques avec leur "péché" et leur sadique  "dieu d'amour qui fait souffrir ses adorateurs pour mettre leur Foi à l'épreuve" sont spécialement férus de cette "explication".

Si bien que les "fondamentalistes" s'attaquent d'abord à ceux qui à leurs yeux sont les vrais coupables : pas les "mécréants" même si ce sont des occupants étrangers mais les coreligionnaires qui ont "trahi la Vrai Foi". Dans la Judée-Samarie antique toutes les révoltes ont été le fait d'extrémistes religieux rejetant l'autorité du clergé "collaborateur", "hellénisé" puis "romanisé" - allant dans le cas des Zélotes jusqu'à égorger les prêtres. C'est avant tout pour pouvoir établir leur "Israël purifié des mauvais Juifs" que les fanatiques du Judaïsme se sont plusieurs fois révoltés contre l'occupant romain qui protégeait le Temple.



L'Histoire du Christianisme est riche d'exemples de telles "périodes de délire collectif" face à des catastrophes réelles (épidémies..) ou imaginaire (l'An Mil).

Dans le cas de l'Islam la doctrine salafiste ("retour à l'Islam des origines") a été fondée (sans le nom) par Ibn Taymiyya en réponse aux invasions mongoles. Le wahhabisme a été fondé au XVIII° siècle par Mohammed ben Abdelwahhab en réponse au déclin flagrant de l'Empire Ottoman face aux Chrétiens (et à la Perse Chiite). Les Frères Musulmans ont créé le salafisme "moderne" (visant à la création d'un califat destiné à englober tous les pays de culture Musulmane ou qui l'ont été : Europe du Sud-Est, péninsule ibérique, sud de l'Italie et Sicile, Chypre, Malte...) en réaction à l'humiliation de la présence occidentale (surtout depuis l'ouverture du canal de Suez) - qui, bien sûr, "corrompait les Musulmans".

 



Après la fin de la 2ème G.M. le monde arabo-Muslman sortait de la colonisation et de l'occupation (mandats britannique et français au Moyen-Orient, mais aussi pour les arabes occupation turque depuis des siècles) et avait besoin de "points de ralliement" identitaires pour "retrouver sa dignité", points de ralliement qui devaient expliquer les humiliations antérieures.             

2 s'offraient à lui :

- une laïcité ("c'est la religiosité obscurantiste qui nous a figés dans le passé et explique nos défaites") conservant les racines  culturelles locales exaltées en patriotisme / nationalisme, sur l'exemple d'Atatürk : ce furent les politiques de Mossadegh et du Shah en Iran, du Raïs 'panarabe' (Nasser, Saddam Hussein, Bachar al-Assad) au Moyen-Orient.

- l'islamisme radical selon le vieux réflexe ("Dieu nous a punis de notre impiété").



Evidemment le laïcisation de la société et par là de la pensée pouvait conduire à la modernisation, au passage aux valeurs "occidentales" à la démocratie (même si le poids énorme des résistances exigeait une époque "tyrannique" comme Pierre le Grand l'a découvert quand il a voulu faire sortir du Moyen-Age).        A l'opposé l'islamisme radical - le retour à la religion, à la pensée, à la société des Bédouins d'il y a 1.300 ans - ne peut avoir que des conséquences catastrophiques, et d'abord pour les Musulmans eux-mêmes.

D'autant que même la religion la plus spirituelle est corrompue dès qu'elle se mêle de politique, dès que le pouvoir temporel se met à son service (dans l'espoir de l'utiliser : jeu de dupes). "Chez nous"cela a donné dès Constantin la persécution des "païens", dès le 1er concile appuyé sur l'empereur la persécution des "hérétiques", les conversions forcées comme outil d'"assimilation", les 10.000 Saxons décapités sur ordre de Charlemagne, les Croisades (y compris contre d'autres Chrétiens et des minorités inoffensives comme les Cathares), l'Inquisition, les guerres de Religion.
Jésus (en rébellion contre l'ordre - religieux - établi du Temple) avait séparé la religion de la politique ('Rendez à César...') : les Chrétiens l'ont trahi dès qu'ils ont eu la possibilité de s'associer au pouvoir séculier. Dans le cas de l'Islam c'est malheureusement presque inéluctable, Mahomet à partir de Médine n'était pas seulement un prédicateur religieux mais aussi et à la fois un souverain temporel impérialiste et un chef de guerre vivant du pillage : dans le Coran tout est inextricablement mélangé.
 


L'actuel triomphe de l'obscurantisme résulte de la convergence de 2 facteurs :

=> 1)  la monstrueuse connerie de la politique U$ /Otan ('L'otanisme rend aveugle et sourd'  ^.^) envers le monde arabo-musulman qui a "cassé" toutes les tentatives de laïcisation et favorisé directement la renaissance d'un jihad planétaire.

- Eviction de Mossadegh et transformation du Shah en dictateur (pour protéger les intérêts des compagnies pétrolières...) d'où première  "révolution islamique" moderne, création d'une théocratie intégriste agressive gouvernée par les ayatollahs,

- création de "brigades internationales islamistes" (berceau d'al-Qaeda) en Afghanistan pour y emmerder les Russes : des Musulmans de 43 pays différents y ont (re)découvert l'idée d'un jihad "international", tandis que jusqu'alors les islamistes ne sortaient pas de leurs frontières nationales,

- 1ère guerre du Golfe - les U$ ont délibérément tendu un piège à l'Irak pour satisfaire leurs grands alliés de la région, Arabie Saoudite et Israël - qui a totalement humilié / décrédibilisé le panarabisme laïc, seul rempart à l'islamisme,

- soutien aux seuls Musulmans (vite noyautés par les "radicaux") en Bosnie, au Kosovo (merci nos intellos Juifs, BHL, Kouchner si sensible au sort des Musulmans tant qu'ils ne vivent pas en Palestine), indirectement (malgré les efforts de Glucksmann) en Tchéchénie,

- intervention en Afghanistan,  gratuite et vaine, mais sanglante,  le Pakistan - allié U$ - était le véritable refuge de Ben Laden et d'al-Qaeda),

- 2ème guerre du Golfe (pillage du pays et "bavures") et 'printemps arabes' de la Tunisie à la Syrie qui ont plongé tous ces pays dans le chaos d'ou a émergé l'EI,

- et bien sûr soutien inconditionnel au sionisme qui enrage tous les Musulmans (on oublie toujours qu'il y a des Palestiniens Chrétiens, ce qui d'ailleurs arrange bien la propagande israélienne).



=> 2° les pétro-dollars des théocraties wahhabites. Théoriquement l'Islam (comme le Catholicisme ^.^) interdit toute activité de type capitaliste, tout investissement à but lucratif, tout boursicotage. Or les princes du pétrole n'arrivent pas malgré tous leurs efforts à bouffer tous leurs pétro$ donc ils en "placent" dans l'économie capitaliste. Pour se faire pardonner  - pour assurer le salut de leur âme - ils consacrent une partie de leurs revenus au prosélytisme, bien entendu le plus "fondamentaliste" (souvent camouflé en action caritatives ou éducatives). Spécialement les Saoud dont le pouvoir politique repose exclusivement sur le wahhabisme depuis la naissance de la dynastie au XVIII° siècle en tant que "protecteurs des lieux saints" se voient à la tête d'un califat mondial "virtuel" rassemblant sous leur autorité "morale" toute l'Umma : tous les Musulmans du monde. Ambition stimulée par la concurrence de la république théocratique Chiite d'Iran....




Conséquence : l'Islam en Occident 


  Pour les "traditionalistes" tout ce qui est mode de pensée et de vie des pillards bédouins du VII° siècle fait partie des "Lois de Dieu" (y compris l'esclavage, l'esclavage sexuel, la polygamie, l'intolérance religieuse absolue, la superstition, le costume folklorique &c...). La plupart de ces mœurs étant incompatibles avec la vie dans une société Occidentale du XXI° siècle l'objectif n°1 des intégristes est d'empêcher les Musulmans, spécialement ceux vivant en Occident, de s'"occidentaliser" = de sortir du Haut Moyen-Age bédouin « La crainte pour les musulmans en Occident, c'est que les musulmans répondent à l'Occident et ne répondent pas à Dieu. Or il faut répondre à Dieu et ce sera notre réponse à l'Occident. » (Tariq Ramadan).  Pour "préserver" les Musulmans de toute "occidentalisation" tous les salafistes ont le même but : à tout prix empêcher les Musulmans de s'intégrer aux sociétés Occidentales, séparer les Musulmans vivant en Occident de la population "mécréante" qui les entoure, les maintenir enfermés dans une "communauté" culturellement étrangère, leur faire appliquer des règles de la Charia (éventuellement non Coraniques) pour les isoler dans un ghetto culturel
              C'est ce que fait Tariq Ramadan qui défend le voile (alors qu'il n'est pas Coranique mais distingue visiblement les Musulmanes des autres, et agit psychologiquement comme les antigènes de surface des microbes qui déclenchent des réactions immunitaires de défense, de rejet).  
                  Assimilée                                 Allergène étranger

             C'est ce que font les "frérosalafistes" du CCIF - l'équivalent ici du gang salafiste de Chouraky en Grande-Bretagne
mais en beaucoup plus habile, mielleux, vicieux et donc dangereux.
           C'est ce que font les imams du genre de celui de Brest qui interdisent aux "jeunes" d'écouter de la musique, leur expliquent qu'une femme qui n'est pas cachée sous un tas de sacs poubelles est une pute qui mérite d'être violée (avec pour conséquence les vagues d'agressions sexuelles lors de fêtes populaires, nuit du Nouvel An, festivals de musique et simplement dans les piscines ... qui contribuent à faire exécrer les Musulmans), qu'il vaut mieux boire de l'urine de dromadaire que consulter un médecin... Quand on pense que celui de Brest vient d'avoir l'autorisation d'ouvrir un complexe éducatif de la crèche au bac : pauvres, pauvres gosses!

              C'est ce que font les terroristes takfiristes de Paris, de Bruxelles et d'ailleurs :


(l'image oublie les agnostiques et athées qui constituent la majorité de la population française) : leur but est de creuser un fossé sanglant entre les Musulmans et le reste de la population en provoquant des "ratonnades" :


De la taqîya vaselinée du faux-cul mielleux Ramadan aux enlèvements et massacres de Boko Haram {"l'éducation occidentale c'est caca"} et Daesh les méthodes sont différentes mais l'objectif est toujours le même.
Rien dans le Coran ne suggère aux Musulmans de s'affubler tous les jours pour le Carnaval : le tchador, la beurka, le beurkini & autres beurks sont des provocations délibérées pour pousser les "autres" à rejeter tous les Musulmans en bloc et pousser les Musulmans à se sentir "agressés" et "solidaires des extrémistes" par les restrictions à l'exhibitionnisme. 

Commentaire révélateur sur G+ d'une Musulmane pro-beurkini : "Les Musulmans ne s'intègrent pas ? En Algérie il y a 180 ans les Français ne se sont pas intégrés" : donc les Musulmans qui viennent en Occident aujourd'hui le font avec la mentalité des colonisateurs du XIX° siècle ? BEL AVEU !


Cette "ghettoïsation confessionnelle" a des conséquences catastrophiques et d'abord pour les enfants Musulmans qui ont grandi dans un environnement "intégriste" culturellement "étranger" : échec scolaire, difficultés à l'embauche, désocialisation, frustration, rage, radicalisation (il est facile de transformer des esprits fragilisés par leur vie ratée en drones armés en les saoulant au takfirisme "qui donne enfin un sens à leur vie" - d'où les papiers d'identité en évidence - pour connaître la 'gloire' - et les armes & explosifs factices pour assurer que le police leur apportera le 'martyre' et le paradis)...
et comportement suscitant l'"allergie" du reste de la population, "allergie" qui s'étend (idiotement mais inévitablement) aux autres Musulmans "reconnaissables" (costume) voire à tous les "basanés" : pire qu'un cercle vicieux, un véritable  effet "boule de neige".



Le "choc culturel" est spécialement violent en France, pays maintenant profondément laïc : parmi les pays  les moins religieux
et où les a - théistes (agnostiques + athées) sont majoritaires :
(48% des 'Catholiques' déclarent douter de l'existence de Dieu et sont donc en réalité agnostiques : faites le calcul, on dépasse les 57% de Français "sans Dieu[x]").          Ci-dessous % d'athées "déclarés" :
Une jeune Française faisant du sport c'est ceci :
 
et non ça :
 Comparaison n'est pas raison :
Le rapprochement est aussi inapproprié que celui - cher aux islamistes et islamolâtres - d'une salafiste (laïque) en tchador et d'une nonne (professionelle) en uniforme
Contrairement à celle de gauche la tenue de droite du dessin est "idéologiquement neutre" et ne peut agresser que les vieux cons dans leur tête.
La pudibonderie est mère de la perversité et des agressions sexuelles car elle donne au corps féminin l'attrait du "fruit défendu"  et fait des mâles "en manque" des obsédés sexuels réprimés.
Et oui, amis musulmans, que se passerait il dans vos pays si nous avions les mêmes revendications ?






Après avoir mis près de 1.300 ans pour commencer à nous débarrasser des curés on ne va pas se laisser emmerder par les ayatollahs et les imams !

 


La France est multi-ethnique elle ne sera JAMAIS pluri-culturelle :

 
Comment attaquer le mal à la racine
Tout 'intégrisme' repose sur la certitude que le "Livre Saint" est "la parole de dieu"  - intemporelle, indivisible, indiscutable, parfaite &c. Mais puisque le Coran (comme la Bible) contient des contradictions IL NE PEUT PAS ÊTRE "la parole de dieu" (dieu ne bafouille pas) mais seulement peut CONTENIR "la parole de dieu". C'est ce que le Vatican a progressivement admis de plus en plus explicitement depuis des siècle mais que refusent les intégristes Chrétiens (par ex. les Protestants U$ créationnistes  - certains même croient encore que la Terre est plate) et Musulmans ; mais l'Islam 'mainstream' étant resté "moyen-âgeux" un Musulman "croyant" est l'équivalent d'un "fondamentaliste" Chrétien. Et même la quasi-totalité des Musulmans "libéraux" / "réformateurs" N'OSENT PAS franchir le pas et avancer l'argument "blasphématoire" que le Coran "n'est pas" la pure parole de dieu - leurs coreligionnaires ne les comprendraient tout simplement pas. 

       D'autant que nos stupides politiques font la promotion de l'Islam "traditionnel" en essayant seulement de présenter aux imams les "valeurs de la République" -  fondamentalement contraires à leur religion telle qu'ils la perçoivent : un peu de taqîya pour couvrir le "cause toujours" et rien ne sera changé. 
        L'Etat n'a pas à se mêler de religion mais seulement à détecter et éradiquer les dérives sectaires. Le problème avec l'Islam est que tel qu'il est très majoritairement enseigné et pratiqué ces dérives sectaires ("coupant" le croyant du reste de la société) concernent presque tous les Musulmans "pratiquants".
Dans le contexte actuel d'agression jihadiste tout Musulman qui en Occident affiche sa religion par le costume affiche son adhésion à l'Islam terroriste de Daesh. Tout voile, toute barbe associée à un bonnet à prière est une "pub" salafiste pour le jihad meurtrier.

Malheureusement à part les ultra-cathos d'extrême-droite (islamophobes) et les illuminés d'ultra-gauche (islamolâtres) l'immense majorité de nos "politiques" (de droite comme de 'gôche'), quelques femmes exceptées, présente le très grave syndrome de Molenbeek : combinaison de grosse niaiserie "politiquement correcte" ('Respectons les religions / Ne passons pas pour "racistes"'), de démagogie électoraliste, de criminelle naïveté ('Les religions prêchent l'honnêteté et la non-violence, les imams "tiendront" les banlieues pour nous') et de pure et simple LÂCHETÉ ('Laissons les islamistes en paix et ils feront leur jihad ailleurs').   

(lien)

En outre les Musulmans "pratiquants" se croient obliger de haïr les chiens :

Compte-tenu de mon affection pour les chiens
cela ne contribue pas à me faire estimer davantage l'Islam "traditionaliste" !



Cette crue mondiale, ce tsunami obscurantiste ne se limite pas à l'Islam : Civitas en France, le poids politique croissant des fundies aux U$ et en Israël, l'utilisation privilégiée par Poutine de la foi Orthodoxe pour contrôler le peuple Russe composent une "contre-révolution obscurantiste" diffuse mais mondiale ; et pas totalement spontanée / désorganisée : les 'Marches pour la Vie' anti-IVG / anti-euthanasie ont été organisées simultanément dans tous les pays occidentaux, Protestants comme Catholiques.
 



Chez certains ultra-Catholiques la haine de la société contemporaine - de la LAÏCITÉ -  l'emporte même sur l'islamophobie : au nom du conservatisme partagé Civitas, Soral cherchent à se rapprocher des Musulmans traditionalistes pour bâtir un "front commun des passéistes" déjà victorieux sur l'"ABC pour l'Egalité", l'euthanasie, la PMA, la GPA...






-  SUR LA RELIGION EN GÉNÉRAL
 
Préambule : ORIGINE DU "SURNATUREL"

D'où est née (il y a une centaine de milliers d'années au moins) l'idée d'un "autre réalité", d'un domaine "métaphysique" ('à côté' / hors du monde physique) / "surnaturel" ?  Des hallucinations hypnagogiques et du rêve
Les hallucinations hypnagogiques (quand le cerveau basculant de la veille au sommeil est "à moitié déconnecté") les plus courantes sont :
- sensation d'une "présence" (diffuse ou comportant des sons / des images) : à l'origine des "terreurs nocturnes" et des légendes d'esprits, de fantômes, d'elfes, de lutins - et aujourd'hui de 'petits hommes gris' extra-terrestres ;
 
- sensation d' "écrasement de la poitrine" à l'origine des légendes d'incubes et du mot "cauchemar" - à l'origine pas simplement un 'très mauvais rêve' mais  l'impression qu'un 'esprit / fantôme' mare {mot germanique ("nightmare" en anglais n'est pas la "jument de la nuit" ^.^) arrivé en France de Flandres par la Picardie } 'écrase' cauche la poitrine.
- sensation d' "évasion de son corps" au dessus duquel on "flotte" : à l'origine du 'voyage en esprit' du chamane et (bien plus récemment) du 'voyage astral'.


Le RÊVE surtout :  on y vit des aventures étranges dans un monde "différent" - le Pays des Merveilles d'Alice - on y rencontre des personnes connues dans des cadres ou costumes irréalistes, on y retrouve des défunts (souvent plus jeunes qu'au moment de leur décès).... : à l'origine de l'hypothèse d'un "autre monde" où les défunts continuent à vivre ; souvent contigu ou associé d'une façon ou d'une autre au 'pays des dieux' / 'royaume de faerie'.
 

   

 
Notre vision a sans doute contribué à l'idée d'une 'âme' enfermée dans le corps' : nous avons l'impression que depuis l'intérieur de notre corps "nous" {notre 'esprit'} voyons à travers nos yeux comme à travers une fenêtre. En réalite notre conscient "voit" des images de synthèse - des brain-generated images aussi artificielles que les computer-generated images du cinéma - élaborées à partir d'un zillion de signaux électriques provenant de la rétine et interprétés en fonction d'une "banque d'images de références" mémorisées. D'où les "analogies" / "visions" qui viennent automatiquement à  l'esprit devant certaines formes :
Nativité ou combat de 2 T rex ? 

Les crises d'épilepsie ont pu aussi jouer un rôle ("possession / visitation") et bien sûr la schizophrénie (on "voit" des apparitions, on "entend" des voix) mais seulement quand un corpus mythologique était déjà là pour suggérer interprétation "religieuse" et fournir les éléments des hallucinations.

Il est révélateur que les "visions" lors des EMI reflètent l'imagerie religieuse du sujet et que les "possessions" n'affectent jamais les athées !


Plus tard la transe (individuelle ou collective) délibérément provoquée par les privations, les hallucinogènes, la musique, la danse...  a permis de reproduire à volonté un état propice aux hallucinations ("émotions mystiques").

Donc la "métaphysique" (dont la théologie) est fondamentalement l'exégèse d'hallucinations et de rêves  (^.^)

 
- - -
          Je n'ai pas été conduit de la Foi à l'athéisme par les incohérences de la mythologie Abrahamique (patchwork de vieilles légendes mésopotamiennes déjà plurimillénaires et de Zoroastrisme déformé - et on ne peut reprocher à des hommes qui croyaient l'univers limité à une petite Terre plate, immobile, soutenue par des piliers et isolée de eaux du ciel par un dôme de cristal éclairé de jolis lumignons dont 7 mobiles  
d'avoir ignoré que si Eve avait été clônée à partir d'une côte d'Adam ayant le même ADN elle aurait été un homme, 
 et que si Jésus était né d'une vierge n'ayant pas de chromosome Y il aurait été une femme
  (mais aujourd'hui l'ignorer est un choix !)


Par contre  j'ai été conduit de la foi (Catholique) à l'athéisme, à la suite d'une longue recherche et réflexion personnelle par l'invraisemblance d'une taille absolument astronomique des principales suppositions impliquées par tout théisme, spécialement de la possibilité d'une conscience (divine ou humaine) immatérielle et éternelle. 
 [ L'hypothèse "Dieu" étant tautologique est non réfutable et donc hors du champ de la science. Il est aussi (ni plus ni moins) impossible de démontrer l'inexistence de "dieu" que celle du Monstre de Spaghettis Volant ou de la théière de Russell.
Par contre ce que la science peut et sait faire, et très bien, c'est estimer la vraisemblance (le degré d'invraisemblance) de chacune de la foultitude d'hypothèses ad hoc emboîtées comme des poupées russes impliquées par le modèle explicatif "dieu". Leur combinaison rend l'invraisemblance de ce modèle absolument astronomique. Ceci pour une "divinité" à psychologie non humaine : la vraisemblance d'un créateur de l'univers vieux de 14 milliards d'années, riche d'au moins 10.000 milliards de millards de soleils, ayant une psychologie de mâle humain et se préoccupant de ce que mangent les hommes et comment s'habillent les femmes et encore au bas mot 10.000 milliards de millards de fois plus faible. Mais pour les croyants réaliser qu'ils ne sont pas le Nombril de l'Univers, objet de toute l'attention de son Créateur, provoque une blessure narcissique dont la douleur est intolérable - et affronter en conséquence sa mortalité est encore plus insupportable.
Pourtant en dehors de l'analyse de chaque détail la simple logique discrédite le modèle explicatif "dieu".
Quand la science ne peut avoir recours au réfutationnisme elle utilise le principe d'économie des hypothèses ("rasoir d'Occam") : le modèle "dieu" exige une tétrachiée d'hypothèses ad hoc, le modèle matérialiste une seule seulement : que notre connaissance de la réalité, bien qu'encore approximative, est déjà satisfaisante (sinon les greffes du coeur ne prendraient pas, les navettes spatiales ne voleraient pas et vous ne seriez pas devant un ordinateur connecté à internet). ]

Argumentaire développé sur les pages précédentes de ce blog.


Cependant une analyse approfondie des "textes sacrés" et de l'Histoire du Christianisme et de l'Islam dans le cadre de l'Histoire mondiale des religions et des sociétés m'a conduit progressivement à conclure que le monothéisme Abrahamique "universel" est la PIRE religion de toute l'Histoire de l'Humanité.

 
    


2a - FAILLITE LOGIQUE DU MONOTHÉISME
               Si l'Abrahamisme n'est qu'une perverse parodie du Zoroastrisme Ahura Mazda n'échappe pas à la "malédiction" de tout dieu créateur universel : "Qui a créé le créateur ?" Question inévitable puisque l'argument n°1 des théistes est justement que "Tout ce qui un tant soit peu complexe doit avoir été 'designed' et créé" - et une entité consciente capable de concevoir et réaliser le "dessein intelligent" de l'Univers est obligatoirement elle-même d'une terrible complexité.
     Aucun croyant n'a jamais pu répondre de façon convaincante, ou simplement crédible, à cette question essentielle ; la réponse la plus honnête (et la seule qui résiste à l'analyse logique) est celle de l'Islam : "Cette question est inspirée par Satan, ignorez la, oubliez la et fuyez celui qui l'a posée en crachant 3 fois sur votre gauche tout en récitant la sourate "Allah sait mieux".     :=)

     La plupart des mythologies "païennes" ne présentent pas cet écueil logique : les divinités "actuelles" ne sont pas à l'origine de l'univers, elles ne sont pas les premières entités apparues mais résultent d'une évolution naturelle à partir d'entités plus anciennes plus frustes qu'elles détrônent, souvent mutilent et quelquefois tuent. Et généralement l'Univers lui-même n'a pas été délibérément "créé" mais est apparu spontanément - une "poche" de "Loi" (selon la nomenclature de Michaël Moorcock 'The Dream of Earl Aubec') qui s'individualise au sein du Chaos (naissant de la rencontre du 'feu' et de la 'glace' dans la mythologie germano-scandinave) et grossit sous l'action des premières "divinités". Spécialement, ceux qui croient trouver des "miracles scientifiques" dans la Bible ou le Coran en trouveraient bien plus facilement, en ayant beaucoup moins à étirer le sens des mots et recourir à des interprétations tirées par les cheveux, dans les Eddas.           :=)




2b - IRRATIONALITÉ DE LA CROYANCE AU "DIVIN"
                    S'il est impossible de "prouver" l'inexistence de "dieu", tout comme il est impossible de "prouver" l'inexistence des Elfes ou des petits éléphants roses qui volent en battant des oreilles. Il est par contre parfaitement possible d'estimer la vraisemblance / plausibilité de l'existence de "dieu[x]", d'une aaââaammmeeuuuu immortelle &c.   - modèle explicatif que rien de réel ne soutient ni même ne suggère.
RIEN aujourd'ui ne suggère l'existence d'un "dieu" (ou de plusieurs ? Pourquoi ce masculin singulier ?). Et, impliquant une série d'hypothèses plus invraisemblables les unes que les autres emboîtées comme des poupées russes, elle est presque infiniment proches de zéro.
 
Que les Chrétiens et les Musulmans me donnent une SEULE bonne raison de penser que l'on trouve une "parole divine" dans la Bible ou le Coran plutôt que dans le Hávamál  'le Dit du Très-Haut [Óðinn : Alfadir "notre Père à tous"]' !
J'attends depuis plus de 60 ans et je sais que je mourrai sans avoir de réponse  (^.^) !
Bande de tristes clowns meurtriers 

 
           Le surnaturel n'est qu'une hypothèse ad hoc : une hypothèse que rien de justifie ni même ne suggère mais qui permet de conserver (tant qu'on ne la soumet pas à l'analyse critique) une apparence de crédibilté à un modèle explicatif obsolète. Croire au surnaturel ne repose sur rien mais traduit simplement le voeu qu'il existe "autre chose" ('après la mort' le plus généralement). Les jeunes enfants souhaitent que le Père Noël existe...  

La croyance au divin étant aujourd'hui contraire à toute logique, à toute raison, toute religion pour préserver la foi en ses niaiseries décourage activement la libre recherche d'information scientifique.
 
 





2c - INUTILITÉ DE LA RELIGION
     La science a rendu la religion obsolète comme source d'explication de "la Vie, l'Univers et le reste", du 'meaning of Life' (Monty Python !). 

Reste-t-elle nécessaire comme source de "morale" indispensable à un comportement "éthique" ? 


NON. 
 Nous sommes encore porteurs à la naissance de la morale naturelle, "spontanée" et presque inconsciente  génétiquement déterminée  
mise en place par la sélection naturelle et qui a permis aux petits groupes vulnérables de nos ancêtres chasseurs - collecteurs de triompher des défis de milliers de siècles de préhistoire paléolithique.
Cette "morale naturelle" répond à une nécessité absolue pour les espèces hautement sociales : la survie de l'individu passe par celle du groupe. Elle combine beaucoup d'altruisme, d'entraide spontanée et d'empathie au sein du groupe avec une réprobation de la violence gratuite et suffisamment d'ambition personnelle pour assurer que les alphas déclinants sont remplacés par les meilleurs", les plus aptes à guider, organiser et policer le groupe.  
     Les religions organisées apparues (ainsi que l'hérédité du statut et de la richesse,  les "patries" et les classes sociales) suite à l'invention de l'agriculture à la fin du Néolithique ont formalisé cette morale naturelle mais l'ont déformée, pervertie en divisant l'Humanité en "croyants" et "mécréants" et en y ajoutant chacune ses ridicules obligations & tabous propres, leur donnant souvent plus d'importance qu'aux règles essentielles.
{sans même évoquer la moralité très particulière de la Genèse commune à toutes les mythologies du monothéisme d'Abraham  }

2d -  NÉGATION DE LA "LIBERTÉ DE CONSCIENCE"
La religion par nature NE RESPECTE PAS LA LIBERTÉ : spécialement le monothéisme (1 seule divinité = pensée unique, pas de recours) dans ses formes à vocation "universelle", Christianisme et Islam, qui ont fondamentalement pour "mission divine" de convertir de gré ou de force l'Humanité entière à la "Vraie Foi".
Mais aucune religion ne respecte la liberté de conscience puisque toute religion exige de ses fidèles qu'ils endoctrinent leurs propres enfants dès le plus jeune âge, avant qu'ils aient le bagage de connaissance et  la maturité pour analyser ce qu'on leur injecte dans la cervelle.
Si on arrivait à faire que les enfants dépassent l'âge de la puberté sans avoir entendu parler de religion et ne la découvrent que quand ils ont acquis la maturité intellectuelle (capacité de raisonnement logique rigoureux) et le bagage minimum de connaissances (en histoire, en sciences) nécessaires pour pouvoir conduire une libre réflexion personnelle aucune religion n'y survivrait car la quasi-totalité déciderait de rester athée : non plus par ignorance comme ils l'étaient à la naissance mais à la suite d'un choix rationnel parfaitement fondé.  C'est pourquoi toute religion fait à ses croyants un devoir sacré d'ENDOCTRINER SES PROPRES ENFANTS : les parents religieux continuent d'instiller leurs superstitions à leurs enfants : pour leur religion c'est véritablement une question de vie ou de mort.

 
 
Les religions sont des mèmes (unités semi-autoréplicatrices d'hérédité culturelle comme les gènes sont les unités semi-autoréplicatrices d'hérédité matérielle) parasites qui "vivent" (et sont en compétition) dans l'espace culturel humain comme les virus informatiques "vivent" (et sont en compétition) dans le cyberespace du web. Pour survivre, un parasite doit impérativement contaminer la nouvelle génération de son hôte.

A tout croyant qui affirme "Ma religion c'est mon choix"  je pose la série de 3 questions suivantes :
- Votre entourage a - t - il soigneusement veillé à attendre pour évoquer le fait religieux devant vous que vous ayez atteint l'âge (post-pubère) d'avoir la maturité intellectuelle et le bagage de connaissances vous permettant une réelle réflexion personnelle sur ce sujet ?

- Si oui votre entourage a-t-il soigneusement veillé à vous présenter objectivement et exhaustivement les arguments de tous ordres en faveur du théisme, de l'agnosticisme et de l'athéisme ?

- Si oui et si vous avez librement choisi le théisme en toute connaissance de cause votre entourage a - t - il soigneusement veillé à vous présenter objectivement et exhaustivement les diverses religions actuellement pratiquées (les 3 monothéismes Abrahamiques et leurs multiples variantes, Bouddhisme  - x variantes, Hindouisme - y variantes, Shintoïsme, Bahaïsme, Jaïnisme, Sikhisme, Ayyavazhi, Taoïsme, Caodaïsme, Mandéisme,  Yézidisme, Parsisme, Zoroastrisme, Rastafarisme, Théosophie, Wicca, Ásatrú, Odinisme, Rodnoverie, Santeria, Vaudou...) et les possibilités de vie religieuse strictement individuelle (panthéisme naturaliste, 'Religiosité cosmique' à la Spinoza / Einstein...) ?

Si la réponse à au moins une de ces questions est NON votre choix n'a pas été libre et personnel, vous avez été "imprégné".

En fait le seul choix libre, personnel et raisonné est celui du croyant qui après mûre réflexion opte pour l'agnosticisme ou l'athéisme : le croyant qui se convertit a une autre religion est déjà "accro" il ne fait que passer de la cocaïne à l'héroïne.




2e  SURVIE DU PHÉNOMÈNE RELIGIEUX

LES RELIGIONS C'EST COMME LES DENTS DE SAGESSE
Nécessaires à nos ancêtres elles sont aujourd'hui inutiles,
ne sont plus qu'une source de problèmes et de souffrances 
Q .
Qu'apportent les religions aujourd'hui, outre la possibilité de "prier" qui donne bonne conscience sans avoir à se bouger le cul ni dépenser un centime ? Essentiellement le fanatisme meurtrier.


            La religion aujourd'hui est obsolète comme source d'explications de "la Vie l'Univers et le reste", elle n'a jamais été nécessaire à la morale et la pervertit plus qu'autre chose (pourrissant la vie des croyants et ajoutant un facteur supplémentaire de "différence", de division et de haine entre les humains) : pourquoi survit-elle ?
Pour 2 raisons, l'une (presque) tolérable, l'autre non.

=> La religion apporte un anxiolytique à ceux que panique l'idée de la mort,
 

=> la religion impose aux croyants de "contaminer" leurs propres enfants.



              Dans son rôle d'anxiolytique la religion crée malheureusement une profonde dépendance : c'est une DROGUE, le plus ancien et aujourd'hui encore le plus "consommé" des 'paradis artificiels'.
           Il n'y a pas a priori à juger plus sévèrement ceux qui ont besoin de leur dose quotidienne d’anxiolytique, benzodiazépine ou religion, que ceux qui ont besoin de leur dose quotidienne d’insuline.   MAIS :     - les diabétiques n’envahissent pas la rue, ne cherchent pas à peser sur les lois de la République, et n’assassinent personne pour imposer à tous l’injection quotidienne d’insuline,
                         - les diabétiques ne conditionnent pas à la piqûre quotidienne d’insuline leurs enfants qui n’en ont pas besoin.

           Ceci étant il en est des religions comme des drogues moléculaires toutes ne sont  pas également nocives pour l'utilisateur, son entourage et la société dans son ensemble : il en est des 'douces' et des 'dures'. Les néopaganismes gentillets, inoffensifs, tolérants comme le Wicca sont l'équivalent du cannabis, les Abrahamismes à 'destinée universelle', Christianisme et Islam, par nature agressifs, conquérants, intolérants sont l'équivalent du crack. D'où le vœu, pour l'athée ou l'agnostique pragmatique, d'encourager le néopaganisme 'soft' comme 'molécule de substitution' aux Abrahamismes 'durs'.      
Après tout le 1er Commandement des Wiccans {leur 'Rede'  : "An it harm none, do as thou wilt"} est (bien qu'ils l'ignorent ^.^) identique à la Constitution de Tryphème dans 'Les aventures du roi Pausole' de Pierre Louÿs :
- art. 1 Ne nuis pas à ton prochain.
- art. 2 Ceci étant bien compris, mène ta vie comme tu l'entends.
On est très loin des Abrahamismes qui s'immiscent dans la vie privée d'autrui, se mêlent de ce qui ne les regarde pas, veulent imposer à tous le respect de leurs tabous et "valeurs" anecdotiques. D'autant que le plus gros de la mouvance Wicca est en fait composée non de vrais "croyants" mais de panthéistes naturalistes - d'athées, donc.




Seuls les athées - n'appartenant à aucune "chapelle" et donc libres de tout préjugé - peuvent débattre objectivement de religion : tout croyant discutant une religion (la sienne ou une autre) étant à la fois juge et partie son opinion est inévitablement biaisée. Et que les croyants qui objectent "Mais un athée ne peut pas savoir ce qu'on éprouve à avoir la Foi" réalisent qu'il n'est pas nécessaire de flotter sur un petit nuage rose généré par l'alcool ou la drogue pour être un médecin addictologue.
 



Que ceux persuadés que 'l'Homme a besoin d'une religion' - et qui craignent que la laïcité crée un "vide" que l'Islam viendrait naturellement combler - observent que :
   - l'athéisme assure l'épanouissement, la sérénité et la spiritualité mieux qu'aucun théisme - à partir d'un niveau minimum de connaissances,


    - un obscurantisme ne peut faire obstacle à un autre, car il entraîne l'esprit à l'acceptation passive. 80 ans d'obscurantisme stalinien ont préservé la religiosité superstitieuse du peuple russe.
 





CONCLUSION
 


+> Abrahamophobe ? NON car une phobie est une peur irraisonnée, or mon hostilité au monothéisme d'Abraham est tout ce qu'il y a de plus raisonnée !

+> Certains me reprochent de "voir de la religion partout" = m'accusent de 'paranoïa religiophobe obsessionnelle (^.^) : ce sont précisément ceux - qu'ils soient croyants  ou athées - qui sans s'en rendre compte affichent des préjugés d'origine religieuse à longueur de post ou de commentaire. 
Ils n'ont pas le recul leur permettant de réaliser que la plupart de ce qui leur paraît "aller de soi", être "évident", "naturel", la "norme" n'est qu'artéfacts culturels (confessionnels) anecdotiques. Ce n'est pas surprenant : les fondations de notre "image du monde", de notre système de références sont mises en place dans notre inconscient durant notre (très) tendre enfance par imitation des plus âgés qui nous entourent ; sans s'être intéressé à des cultures, des sociétés très différentes de la "notre" (actuelles, passées ou imaginaires) il est difficile de s'en libérer pour "prendre de la hauteur".

             Il est d'ailleurs flagrant que bien des prétendus athées - surtout parmi les "communautaristes" - sont imprégnés jusqu'à l'inconscient des tabous confessionnels dont ils croient être émancipés.
           Les "communautés" qui tiennent à se distinguer de la population en général, qui réclament le "droit à la différence" - féministes, LGBT, Noirs... - sont encore imprégnées des, et cultivent les, préjugés qui les marginalis(ai)ent : sinon elles réclameraient le droit à l' indifférence.  Un aspect masochiste / victimolâtrique très "Abrahamique".
 
 

           Ce n'est pas par coïncidence qu'au nom du "respect de la Femme" certaines féministes "intégristes" partagent la pudibonderie pathologique des Juifs et Musulmans intégristes, allant jusqu'à réclamer des aires "réservées aux femmes" : à quand les bus et compartiments séparés et la burka obligatoire pour "protéger les femmes des regards lubriques" ? Le communautarisme "xénophobe" dans toute son horreur et sa stupidité : quand les "féministes" rejoignent les Juifs ultra-orthodoxes et la Charia. Débile...
           De même le tollé provoqué dans les milieux LGBT par la message de Hollande en réaction à l'attentat homophobe d'Orlando 'choisir sa sexualité' : "Non l'homosexualité n'est pas un choix" révèle qu'ils / elles partagent l'opinion des religieux homophobes selon laquelle l'homosexualité est une anomalie, une pathologie : ils / elles n'assument pas leur homosexualité, ils en ont honte et en refusent la responsabilité. De ce malaise, ce mal-être découlent une victimisation paranoïaque et une 'communautarisation' hargneuse - qui entraîne trop souvent une solidarité bien imméritée envers d'autres "communautés mal jugées" :=(

Donc, religiophobe ? NON, pour la même raison : mon hostilité (militante face au retour en force de l'obscurantisme) à la religion organisée est fondée sur 4 raisons objectives :

-1) C'est la religiosité qui m'agresse
       - par son exhibitionnisme provocateur,

 
 

  
 
 
 
Beurk
 
LE HIJAB SOUS TOUTES SES FORMES EST D'AUTANT PLUS INTOLÉRABLE EN OCCIDENT QU'IL POUSSE LES MUSULMANS AU VIOL DE CELLES QUI NE LE PORTENT PAS.  
LE HIJAB QUELLE QUE SOIT SON ÉTENDUE A LA MÊME NATURE QUE L'ÉTOILE JAUNE IMPOSÉE AUX JUIFS PAR LES NAZIS : LE SIGNE OSTENSIBLE D'UNE DISCRIMINATION PÉJORATIVE ET LE MÊME EFFET : DE MÊME QUE LES NAZIS SE SENTAIENT NON SEULEMENT AUTORISÉS MAIS INCITÉS À TABASSER TOUT JUIF QUI N'AURAIT PAS ARBORÉ SON ÉTOILE DES MUSULMANS SE SENTENT NON SEULEMENT AUTORISÉS MAIS INCITÉS À VIOLER TOUTE FEMME SANS "VOILE".
 Le voile islamique n’est pas plus innocent que la Croix gammée et le costume des K.K.K.
 burka, burkini = provocation jihadiste
 Le retour en force de l'ostensible discrimination péjorative de la Femme  
(semblable dans l'esprit à l'étoile jaune imposée aux Juifs par les nazis
est un défi délibéré à tout ce qui fait la France du XXI° siècle.
 Tolérer le hijab en France c'est islamiser l'image de notre pays : c'est encourager les arriérés agressifs à se croire en terre d'Islam et à tenter d'imposer à tous leurs "valeurs" de pillards bédouins d'il y a 1.300 ans comme s'ils étaient déjà en pays de Charia.



    -  par son omniprésence dans les médias même "de service publics" ['Le Jour du Seigneur' : à quand 'le Jour de la Raison' ? Les fêtes Abrahamiques sont systématiquement évoquées en détail dans les JT, pourquoi pas l'anniversaire de la mort d'Hypatie d'Alexandrie, Guillaume d'Occam, Giordano Bruno, Lucilio Vanini ou du Chevalier de la Barre ?] Et le Pape qui apparaît sur nos écrans chaque fois qu'il bouge le petit doigt et dont on nous impose le spectacle de ses groupies (ravi{e}s comme dans la Crèche  ^.^ : si j'ai envie de voir des imbéciles heureux je vais faire du bénévolat dans un centre pour mongoliens)],


     - par l'obscène déformation des valeurs - tant dans l'opinion publique que chez les 'politiques' - à son bénéfice : il est répugnant, révoltant que la mort d'un vieillard qui avait largement dépassé l'espérance moyenne de vie suscite bien davantage d'émotion et d'indignation que celle de bébés et de gamins écrasés par un camion,

      

       - mais surtout par ce que les religieux se croient obligés de se mêler de ce qui ne les regarde pas, de décider de la vie privée d'autrui, voulant imposer à tous leur religion et ses tabous particuliers, une religion qui prétend régenter chaque instant de la vie de chacun, ignorant toute distinction entre vie publique et vie privée.
Oh my gode!
Christine Boutin - la folle de la messe qui montre son culte à tout le monde -
est comme ma prostate d'après le corps médical : grosse mais pas maligne.
 

 



  
  
 
 
  Pour mémoire : 
années "30 (auberge de jeunesse) :
début des années "50 :
 aujoud'hui :

 Bref, une déjà vieille tradition française !

:
Il en faudrait beaucoup comme elle : 
 La tradition de Noël n'est pas Chrétienne mais (comme toutes les grandes fêtes "Chrétiennes") païenne : aucun texte dans les évangiles ne précise la période de l’année où a eu lieu cet événement. C’est le pape Libère qui décide, en 354 seulement, que Noël serait fêté le 25 décembre. En effet Noël est l'archétype des fêtes païennes "récupérées" par l'Eglise qui n'arrivait pas à les éradiquer : ici la fête du solstice d'hiver, la plus importante sous l'influence germanique et que l'Empire avait déjà tenté de récupérer avec la fête "impériale" de Sol Invictus "le Soleil invaincu" - d'autant que dans sa version romaine le dieu Mithra (dont le culte a rivalisé un moment avec le Christianisme comme religion dominante) était né au solstice d'hiver.
Si la Crèche est effectivement "Chrétienne" les rituels populaires associés à Noël - à une date liée à un évènement astronomique objectif indépendant de toute culture et de toute religion : Père Noël, cadeaux, sapin, houx (et le gui du Nouvel An) ainsi que la bûche, d'origine païenne, n'ont jamais été "christianisés" et aujourd'hui, strictement laïcs, "appartiennent à tous".
 
« Le terme islamisme a été inventé en France au 18è siècle pour faire comme pour les autres religions : juda(ïsme) christian(isme) protestant(isme) etc mais c'est le même mot que « islam »... l'égorgement, etc est dans le Coran ! Mohamed lui-même en a égorgé beaucoup... la logique du gouvernement à distinguer les 2 islams est que pour éviter l'islamisme il faut plus d'islam et donc, plus de mosquées, plus d'organismes « islam de France », etc... alors qu'il faudrait « désislamiser » les quartiers où l'on vit « à la musulmane » les hommes portent des tenues comme le prophète au 7è siècle, les femmes sont voilées, etc... » l'islam n'est pas une religion, c'est une Loi, un Droit et une Nation, rien à voir avec le catholicisme.. » « si demain il y avait 20 ou 30 millions de musulmans français bien décidés à voiler leurs femmes et appliquer les lois de la Charia, on ne pourrait préserver les loi de la Laïcité que par la Dictature... car la loi sur la burqa n'est pas appliquée et cela suite aux émeutes de Trappes, les policiers ont des consignes de ne pas verbaliser. »
"Désislamiser" les "quartiers" c'est ce que demandent les Musulmans vraiment "modérés" (si, si, il y en a quelques-uns) et les Français d'ascendance Musulmane mais personnellement laïcs, surtout les femmes  depuis 2002  (affaire Sohane Benziane et création par Fadela Amara des "Etats généraux des femmes des quartiers" qui deviendront "Ni putes ni soumises").  Les "Brigades des mères" ne réclament pas autre chose et ne sont pas davantage écoutées.




-2)  La religiosité conduit à la maltraitance infantile. Ma position n'est pas enracinée seulement dans des principes généraux, mais aussi sur mon passé de 40 ans d'enseignement et de recherche en biologie : la logique est la même dans tous les domaines, je privilégie donc le raisonnement scientifique sur le pseudo-raisonnement religieux aussi bien en politique et en économie qu'en matière de religion. "Pédagogiquement" encourager au libre examen est également indispensable dans tous les champs disciplinaires : or  "qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son" / "le scientifique a lu des centaines de livres et sait qu'il a encore tant à découvrir, le croyant n'en a lu qu'un seul, et partiellement, et croit tout savoir" / "mieux vaut une incertitude reconnue qu'une fausse certitude" &c. ; ce qui exige le libre accès aux opinions les plus contradictoires : sinon, c'est l'endoctrinement, le lavage de cerveau. Or les parents "croyants" canalisent étroitement les capacités à remettre en question, à acquérir sans préjugé et à analyser rationnellement l'information la plus riche de leurs enfants : et ça c'est intolérable.
  




-3) Valoriser l'ignorance superstitieuse dans un domaine la valide dans tous : comment discréditer comme ils le méritent astrologues, cartomanciennes et "soucoupistes" si l'on prend au sérieux ceux qui croient avoir un ami imaginaire dans le ciel et si l'on tolère qu'ils essayent d'imposer à tous de vivre selon les diktats de ce personnage de fiction ?



-4) JE SUIS HUMANISTE ATHÉE et vos monstrueuses, obscènement cruelles et stupides guerres de religion me font profondément chier.




Quant au "manque de respect"... la religion n'est pas "sacrée". Les religions sont des idéologies et peuvent aussi légitimement être analysées, disséquées, critiquées, moquées, caricaturées que les autres types d'idéologies : politiques, nutritionnistes...  S'il est loisible de proclamer "Le marxisme - ou le fascisme, ou la social-démocratie, ou le régime végan... - c'est de la merde" il est tout aussi loisible de proclamer "l'Abrahamisme - ou la scientologie, ou la théosophie... - c'est de la merde".


On  peut comprendre que certains aient besoin comme anxiolytique de la religion qui leur permet d'espérer qu'après la mort ils se retrouveront le cul bien calé sur un nuage moëlleux avec une auréole sur la tronche et des petites ailes dans le dos à jouer de la lyre pour l'éternité en compagnie des chers défunts pareillement affublés. Il n'y a pas a priori à les juger différemment de ceux qui ont besoin d'un médicament anxiolytique, donc pas à les juger différemment des diabétiques qui ont besoin de leur dose quotidienne d'insuline. 
MAIS : - les diabétiques ne descendent pas dans la rue pour tenter d'imposer à tous la piqûre quotidienne,
          - les diabétiques n'injectent pas d'insuline à leurs enfants qui n'en ont pas besoin. 
 

Et comment respecter les adultes qui abîment le cerveau des enfants?




SANS LAÏCITÉ PAS DE LIBERTÉ PAS D'ÉGALITÉ PAS DE FRATERNITÉ.
- Pas de liberté car la famille religieuse dominante (en Europe Occidentale le monothéisme Abrahamique) impose À TOUS par la Loi et et la pression sociale tolérée ses interdits particuliers : en France aujourd'hui encore l'interdiction légale de l'euthanasie comme des seins nus, les limitations homophobes à la GPA et la PMA, les restrictions à l'IVG... sont des scories confessionnelles polluant encore notre Loi soi-disant laïque.
- Pas d'égalité car ceux qui n'adhèrent pas à la religion dominante sont socialement dépréciés : si ceux qui croient en Yaweh, Dieu le Père ou Allah sont jugés "respectables" les adhérents au culte de la Grande Déesse ou de l'Oignon sont tournés en dérision : pourtant...
- Pas de fraternité car sitôt prises au sérieux les religions divisent (inutilement) la population en sectes rivales qui doivent "vivre ensemble" ; alors que la seule division fondée, réelle de l'ensemble des habitants de notre territoire est entre ceux qui se sentent " Français du XXI° siècle et "les autres".
Et sans laïcité "active" pas de lutte contre l'obscurantisme,le rejet de  la science et le déni de la réalité - pourtant aussi dangereux que l'alcool et bien plus que le tabac !
En réalité le Judaïsme et le Christianisme sont fondamentalement aussi intolérants que l'Islam : on l'oublie car en Occident (surtout en Europe Occidentale) la laïcité AVAIT réussi à repousser en partie la religion hors du domaine législatif. Mais rien n'est acquis : le retour en force du religieux dans la vie politique (Parti Chrétien-Démocrate de Boutin, Civitas, partis Musulmans ultra-conservateurs né du divorcde d'avec la 'gôche' sur les problèmes de société et le burkini) s'il est toléré sonnera la mort d'un siècle de laïcité française - et pire avec la présence d'une religion culturellement bien plus étrangère que le Catholicisme "ultra" des royalistes.
En France la LAÏCITÉ EST EN DANGER : pour que nos enfants, pour que nos descendants bénéficient de la LIBERTÉ qui nous est si chère la lutte contre le retour du religieux oppressif doit être explicitement, pédagogiquement ACTIVE.


Le réchauffement climatique entraîne une remontée du niveau des océans qui peut s'avérer catastrophique.
L'arrivée massive de "migrants" venant du Sud entraîne en Europe Occidentale une remontée du niveau de l'obscurantisme intolérant et superstitieux qui peut s'avérer catastrophique.


Par démagogie électoraliste, par niaiserie 'politiquement correcte' et pour certains par islamolâtrie nos "politiques" irresponsables appliquent de façon totalement pervertie la neutralité en matière religieuse que leur impose la laïcité de notre République : ils sucent également tous les intégristes.

     Le salafisme est spécialement " agressif" et conquérant avec la complicité criminelle dans tout l'Occident d'"idiots - idiotes utiles"  
 
 Les pseudo-intellos 'de gôche' idiots utiles de l'islamisation de la France sont des "images-miroir" de Nadine Morano : la droite devient la gauche mais ils sont aussi cons.  
 
Mais ils ne sont pas les seuls ! 

"Migrants" : a niaiserie bobo-go devrait avoir ses limites !
- 1°)  Dans un pays qui a déjà plus de 6 millions de chômeurs des immigrants économiques supplémentaires ne peuvent qu'être tout aussi malheureux que dans leur pays d'origine et leur présence pourrit pour rien la vie des Français.

- 2°) Pour 80% d'entre eux il NE S'AGIT PAS de "réfugiés" (quand une population fuit la guerre c'est avec femmes, enfants et vieillards, comme en France pendant l'"Exode" de "40, comme les Yézidis fuyant devant l'avancée de Daesh il y a 2 ans) mais d'hommes seuls venant de pays qui ne sont pas en guerre : des immigrants économiques non sollicités qui ont FORCÉ l'entrée sur notre territoire = des ENVAHISSEURS.
C'est le rôle fondamental de l'Armée de repousser les envahisseurs.


Les Français n'ont pas à payer pour la criminelle irresponsabilité d'imbéciles étrangers qui font plus de gosses qu'ils ne peuvent en nourrir : nous en avons déjà trop parmi nos compatriotes  !





       Mais la contre-révolution obscurantiste Chrétienne n'est pas une menace à ignorer, quelques milliers de fanatiques arriérés impressionnent assez les démagogues pour obtenir le statut de parti politique, le maintien de la pénalisation de l'euthanasie, l'interdiction de films - pourtant de plus en plus inoffensifs, mais la veulerie de la censure les encourage à aller eux aussi toujours plus loin.

La règle est pourtant simple : 
ne reculez jamais devant un chien menaçant :
 il vous mordrait.

Et malheureusement nos politiques et journalistes d'"information" ne ratent jamais une occasion de mettre à mal la laïcité

Ainsi après l'égorgement d'un vieux prêtre dans son église TOUS - du Président de la République au plus petit journaleux - on évoqué la "communauTÉ Catholique".

RIEN N'EST PLUS MAL VENU ! :
      - C'est remettre à l'honneur le communautarisme étranger à notre culture, à nos traditions au moins depuis la laïcisation de l'Etat Civil à la Révolution (le communautarisme a été réintroduit par le Grand Rabbinat quand il s'est donné mission de "rejudaïser la communauté Juive de France" mais sa "reconnaissance" par les médias et les politiques n'est qu'un des aspects de l'U$ification de notre pensée collective et de notre société renforcée ici par l'acceptation tacite - premier pas vers la dhimmitude - de la conception islamique qui divise l'Humanité en "mécréants" et Musulmans),
.
    - C'est laisser la religion sortir du domaine privé pour se réinstaller dans l'espace public, où même Vichy ne l'avait pas aussi expressément ramenée - PIRE, avec le soutien de l'Etat reniant la loi de 1905,
Œcuménique = Au cul mets nique
.


            - C'est "redorer le blason" de la religion, lui faire retrouver une "importance" imméritée qu'elle avait heureusement commencé à perdre dans notre pays : il est IGNOBLE, obscène que la mort d'un octogénaire en fin de vie, parce qu'il était un professionnel de la religion, suscite immensément plus d'émotion et de réactions que celle de 86 personnes dont des nourrissons et de jeunes enfants qui avaient toute la vie devant eux.
                     Après l'égorgement du prêtre à Saint-Étienne-du-Rouvray. comme après Charlie Hebdo on a bien davantage parlé de religion, de respect de la religion, de liberté de religion (liberté de partager la religion des terroristes et de l'afficher publiquement par le costume ; liberté d'être d'une autre religion) que de liberté de pensée, liberté d'ignorer la religion ; et tous nous ont fait matraqués de "pub" pour la religion en évitant soigneusement d'évoquer l'essentiel : que la religion est une drogue dure qui lèse le cerveau et peut conduire à la folie meurtrière.
Le rôle d'un Etat laïc est de contenir la religion dans le domaine strictement privé et surtout pas d'en faire la promotion, de l'encourager, de l'officialiser.

      - C'est reconnaître à la religion le pouvoir de diviser le peuple Français, alors que la seule division fondée, réelle au sein de l'ensemble des habitants de la France est entre ceux qui se sentent "Français du XXI° siècle" et tous les autres : Musulmans "traditionalistes", Juifs à papillottes ou tichel / sheitel (la tsniout est aussi arriérée et sexiste - et grotesque dans ses "fondements" - que la charia et exprime le même rejet de l'Occident contemporain), Cathos "intégristes" de Civitas,
.

     - C'est donner raison aux Musulmans qui se considèrent comme fondamentalement différents des "autres" ; dans le contexte actuel tout Musulman qui choisit d'afficher sa religiosité par le costume (ce qui N'EST PAS une exigence Coranique) affiche son adhésion à l'Islam de Daesh et sa solidarité avec les terroristes.

              Après un règlement de compte entre bandes de dealers leurs représentants seraient-ils reçus à l'Elysée ? Le Président de la République irait-il en cérémonie assister à une réunion de conciliation ?

 Il est vrai que le pouvoir actuel est celui qui a introduit un enseignement obligatoire de religiosité au collège... plus con tu meurs ! Herr Dogan n'est pas le seul à ramener son pays plus d'un siècle en arrière...        Alors que, le terrorisme naissant d'un excès de religiosité, la lutte contre le terrorisme commence par la lutte contre la religiosité - quelle qu'elle soit - par la critique du fait religieux et la promotion expliquée, rationnellement justifiée de l'A - THÉISME.

              Notre constitution garantit la liberté de culte ? OUI mais dans certaines limites. La Loi de 1905 est explicite : "La République assure la liberté de conscience". Aux yeux de notre Loi toute "religion" qui ne reconnaît pas cette liberté de conscience est une doctrine sectaire. Ainsi l'Islam, pour qui tout enfant de Musulman est Musulman "de naissance" alors que l'apostasie est punie de mort.

Et au mépris de loi de 1905 nos stupides politiques - les gangs Sarkozy puis Hollande -  font la promotion de (& favorisent / financent) l'Islam "majoritaire" =  "traditionnel" en essayant seulement de présenter aux imams les "valeurs de la République" -  fondamentalement contraires à leur religion telle qu'ils la perçoivent : un peu de taqîya pour couvrir le "cause toujours" et rien ne sera changé.
Le problème avec l'Islam tel qu'il est majoritairement enseigné - y compris par les mosquées "modérées" - et pratiqué est que les dérives sectaires (visualisées déjà par le port du voile) : obéissance à la Charia et non au seul Coran affectent la quasi-totalité des Musulmans "pratiquants"....   :=( 
Quand les "idiots utiles" de l'islamisation de la France ouvriront-ils les yeux ? Des Musulmans organisent des campagnes coordonnées à l'échelle nationale (et en Belgique) de PROVOCATIONS : burkinis puis agressions de filles en short "au nom de la pudeur islamique".
Et ce n'est pas nouveau : cela a commencé dans toute la France et en Belgique avec des gamines arborant le "voile" au collège et au lycée fin "89  alors que leurs mères et grand-mères ne le portaient pas - ce qui révèle une manipulation par un réseau d'adultes ; la radicalisation de gamins et d'ados aujourd'hui en est le développement logique vers un rejet plus affiché de la France, vers plus de violence.

Le CCIF est en réalité le CCRIF : Collectif Contre la Résistance à l'Islamisation de la France : Marwan Muhamma a toujours proclamé qu'il souhaite que dans 20- 30 ans maintenant la France soit un pays de Charia ; et il utilise notre démocratie, notre liberté , nos lois pour faire avancer son programme.


Mais qu'attendre d'un pouvoir qui fait cadeau du statut de "parti politique" à la secte Civitas au lieu de la dissoudre ?
Dossier Tabou - Islam sur M6 :
Aujourd'hui la majorité de la population française est "sans dieu" et toutes nos fêtes traditionnelles (Noël / Nouvel An, Chandeleur, Pâques, 1er Mai, St Jean d'Eté / Fête de la musique, Assomption, Toussaint) sont de très vieilles fêtes païennes laïcisées : la page Chrétienne de l'Histoire de France est tournée, la prochaine sera LAÏQUE ou ISLAMIQUE.




       L'ENNEMI N'EST PAS L'ISLAMISME, L'ENNEMI N'EST PAS L'ISLAM L'ENNEMI C'EST LA RELIGION qui pervertit les valeurs les plus fondamentales.
Il est IGNOBLE, obscène que la mort d'un vieillard ayant largement dépassé l'espérance moyenne de vie et qui ne laisse personne derrière lui suscite parce qu'il était un "religieux" immensément plus d'émotion et de réactions que celle de 86 personnes dont de très jeunes enfants en poussette, des gamins, des jeunes parents...

C'est bien la religion qui anime le terrorisme : toute idéologie peut consuire à la barbarie et au meurtre mais seule la religion avec sa promesse de récompense éternelle peut pousser au terrorisme suicidaire.   
Les salafistes veulent déclencher une "guerre de religion" ? Que la véritable nature de la religion - une drogue, l'opium des culturellement / intellectuellement faibles - soit proclamée et leur "guerre de religion" sera appréciée pour ce quelle est : une guerre des gangs de trafiquants. Qui la prendra au sérieux, qui soutiendra les tueurs ? Et chacun en tirera les conséquences logiques : le tabac - drogue bien moins dangereuse - est interdit de publicité, sa consommation est interdite dans une bonne partie de l'espace public même en plein air, est interdite dans les établissements d'enseignement pour "protéger les enfants"...
.      
     QUE LA RELIGION SOIT RECONNUE POUR CE QU'ELLE EST
- UNE DROGUE POUR FAIBLES D'ESPRIT & ESPRITS FAIBLES  -
ET SE RADICALISER SERA SE  RIDICULISER.


 
  Face à la gynophobie du monothéisme d'Abraham on comprend que la laïcité soit en France (comme ailleurs !) défendue avant tout par quelques femmes : Elisabeth Badinter, quelques élues de gauche désavouées par leurs partis, quelques femmes issues de l'immigration maghrébine, Caroline Fourest, les courageuses Femen si décriées... 
 
 
 
A croire qu'il n'y a plus que des mâles déjà dhimmis dans ce pays de couilles molles  :=(

 




Faire réaliser aux croyants que tout texte religieux n'est que mythologies = que s'affronter à propos de Yaweh, Dieu le Père et Allah c'est exactement comme se castagner à propos de Batman et Spiderman ou Star Trek et Star Wars supprimerait la source même du problème.
Aujourd'hui où l'information scientifique est si aisément accessible une (courte ?) majorité des Etatsuniens croit toujours à la Création biblique de l'univers en 6 jours il y a 6.000 ans ! Ce n'est pas avec des dixièmes de quarts de demi-mesures que l'on aboutira à une évolution significative, il faut mettre aux religieux "le nez dans leur caca", forcer chacun à s'interroger rationnellement sur les fondements de ses croyances et ridiculiser par la logique ceux qui esquivent ou s'y refusent.

 
Donnée essentielle, FONDAMENTALE à ne jamais oublier :  
LA RELIGIOSITÉ NAÎT DE L'IGNORANCE.

 L'Islam contre l'école : en Algérie aussi
Aucun fondamentalisme, aucun fanatisme, aucune bigoterie ne résiste au libre examen appuyé sur un minimum de connaissances historiques et scientifiques. Au lieu des laisser les adultes mutiler les capacités de curiosité, de raisonnement sans préjugés et de remise en question des enfants sans défense (ils "absorbent" tout de confiance, et en sont imprégnés pour la vie jusque dans l'inconscient), les conditionner à la foi aveugle, il faut au contraire dès leur plus jeune âge vacciner les enfants - les futurs adultes - contre tout endoctrinement en leur apprenant le questionnement, le scepticisme, l'analyse logique ; et leur apporter aussitôt que possible les connaissances de base permettant d'apprécier l'invraisemblance des mythologies.
Au lieu de cela le pouvoir en place - suivant là comme presque partout l'exemple de la majorité précédente - valorise la religiosité et spécialement l'Islam en introduisant un enseignement obligatoire de 'religiosité œcuménique' (ta mère) au collège.




 
les couleurs de la France
Mais arborer nos 3 couleurs ne suffit pas à être d'"identité" française :
 
Par contre la couleur de peau et de cheveux n'a aucune importance :
Juste pour révulser les culs-bénis métalophobes



 

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 § : "Les religions organisées renforcent le lien au sein du groupe mais ajoutent un nouveau facteur d'hostilité entre groupes."
Mais ceci n'est vrai que pour le monothéisme d'Abraham ou presque : très généralement les "paganismes" (même le monothéisme de Zoroastre) ignoraient l'intolérance religieuse et les guerres de religion ; selon les traditions culturelles locales ils pratiquaient l'hénothéisme ou l'assimilation (éventuellement complétée de syncrétisme). qui ne  s'excluaient d'ailleurs pas complètement.
L'hénothéisme était la norme du Moyen-Orient antique : au sein d'un panthéon commun caque entité politico-culturelle reconnaissait l'existence des dieux des autres peuples mais réservait (en théorie) son culte au couple divin protecteur de la "tribu", chacune ayant son Ba'al et son Ashera. Ainsi Yaweh était le Ba'al d'Israël, Marduk celui de Babylone, Assur celui des Assyriens et la seule consigne divine (que l'on trouve dans l'Ancien Testament : un oubli lors de sa ré-écriture monothéiste) était "Tu n'adoreras pas d'autre divinité au dessus de moi". Le Premier Temple des Juifs contenait des chapelles dédiées aux principaux autres dieux à l'intention des visiteurs étrangers !

L'assimilation est bien connue du mondre gréco-romain et était la pratique générale dans l'Europe indo-européenne puisque les divers panthéons dérivaient d'un ancêtre commun : "les autres adorent les mêmes dieux que nous sous des noms différents et avec des rituels quelquefois étranges, mais c'est leur affaire". L' assimilatio romana était évidemment approximative - les mythologie avaient évolué dans des directions divergentes, avaient subi des influences bien différentes d'une région à l'autre - et quelquefois erronée (Wotan et Lug assimilés à Mercure et non Jupiter, Thor assimilé à Mars et non Vayu - Hercules) mais garantissait la tolérance et donc la paix religieuse. Au sein d'une religion donnée les variantes de doctrine et de pratique étaient nombreuses et acceptées.
Par nature le polythéisme pousse à la tolérance et au respect des différences puisqu'il reconnait l'existence de divinités - de "modèles" - aux personnalités, buts, goûts et pratiques bien différents et souvent contradictoires.

Quand les "païens" mobilisaient la religion c'était pour des raisons purement politiques : rappeler aux Assyriens qu'une victoire sur les Babyloniens offrirait à Assur une victoire sur Marduk et donc le ferait passer au dessus de lui dans la hiérarchie divine n'était qu'un argument pour motiver davantage les "petits papas déguisés en soldats" que le roi d'Assyrie envoyait au casse-pipes ; et quand l'occupant romain s'est acharné à éradiquer le druidisme ce n'était pas par intolérance religieuse - bien des philosophes admiraient les druides - mais pour briser l'identité culturelle celtique réfractaire à la romanisation. Bien entendu le culte impérial romain - d'ailleurs essentiellement symbolique - comme la primauté donnée au Mazdéisme sous les Sassanides étaient des 'gadgets' strictement politiques.




Tout a changé et l'intolérance religieuse, avec toutes ses cruelles conséquences, est apparue quand les Juifs se sont (très maladroitement)  convertis au monothéisme sur le modèle du Zoroastrisme Perse.
Comme tous les peuples de la région depuis Sumer ils se considéraient comme le "peuple élu" de leur couple divin tribal, mais n'en tiraient qu'un sentiment de "supériorité" très relatif - Yaweh n'était qu'un petit dieu dans le polythéisme de la région. Cependant bien plus que tous les autres groupes ethno-culturels les Juifs cultivaient déjà leur différence : interdiction plusieurs fois rappelée de se mélanger aux autres peuples y compris par le "sang", accumulation d'interdictions et obligations dissuasives "creusant l'écart" avec les autres peuples, doctrine martelée "Israël ne doit pas être compris au nombre des nations".
Cette certitude d'être "différents" - très vite traduite comme une "supériorité" - les Juifs monothéistes l'ont conservée, cultivée, exagérée pour se préserver des influences culturelles de leurs conquérants successifs : Perses mais surtout polythéistes hellénistiques puis romains. pour eux "dieu" avait divisé l'Humanité en "eux" (les "bons") et les goyim les "autres", les "mauvais" (Desproges traduisait : 'Dieu a divisé l'Humanité en 2 les Juifs et les antisémites   ^.^).  D'où l'intolérance, la haine apeurée et méprisante de tous ceux qui n'adoraient pas "dieu" mais des "faux dieux", des "démons". Avec le "dieu unique les Juifs ont introduit la "vérité unique"* - le Zoroastrisme ne cherchait pas à l'imposer, il avait hérité de l'idéologie indo-européenne ancestrale l'idée encore fondamentale dans l'Hindouisme que "la vérité peut être perçue sous différents aspects" - donc la "pensée unique" et l'intolérance absolue envers toute "dissidence".

Cependant les Juifs ne pratiquaient guère les conversions forcées - faire partie du "peuple élu" était un précieux monopole d'ailleurs théoriquement réservés aux "pure race" - cest le Judaïsme qui a inventé le racisme tel que nous le connaissons.
Yéchou'a bèn Yosséf (dit Jésus), réformateur Juif en révolte contre le Temple (une sorte de Calvin ou Luther du Judaïsme) n'a pas dérogé à cette tradition : dans Matthieu il interdit à ses apôtre de prêcher aux goyim "car ce serait comme jeter aux chiens le pain prévu pour les enfants". Cependant il a introduit (pas inventé car il a été lui-même baptisé, et on en trouve une allusion dans Daniel) une cause fondamentale supplémentaire de division = le salut sélectif  : "seuls ceux qui se convertissent à son enseignement seront "sauvés". Argument marketing d'une extraordinaire puissance (largement à l'origine du succès historique du Christianisme et de l'Islam) mais poussant au mépris des "autres" et à l'envie de les convertir "pour leur bien" - idée tout à fait nouvelle. Jusqu'alors les sectes Juives dissidentes se contentaient de s'isoler dans leurs "ghettos" loin des "tentations impures", comme le font encore  aujourd'hui les communautés Amish ; les "hérétiques" Judéo-Christques se sont lancés dans le prosélytisme agressif (le Jufdaïsme était en pleine effervescence religieuse face à l'influence gréco-romaine) d'où persécutions réciproques et fanatisme : les Zélotes qui ont égorgé les prêtres du Temple étaient très probablement des Judéo-Christques Nazoréens.

Quand Paul de Tarse, (le 'Grand Apostat' pour les Juifs) ayant enfin réalisé que si le dieu des Juifs est le dieu unique il est obligatoirement le dieu de tous les hommes a "inventé" le Christianisme en "déjuivant" le Judéo-Christisme pour pouvoir ouvrir le baptême aux goyim il en a conservé les fondamentaux : "dieu unique" donc "vérité" unique, "salut sélectif" d'où mépris des "autres" et devoir de les convertir par la force si nécessaire -  bref, toutes les sources d'INTOLÉRANCE et de FANATISME.
Et si  Yéchou'a bèn Yosséf, en révolte contre ce qui restait d'autorité Juive autonome - le Temple - a soigneusement séparé le politique du religieux, le temporel du spirituel "Rendez à César..."  dès que le Christianisme a été associé au pouvoir politique il s'est établi une symbiose : le pouvoir politique "bras armé" de l'intolérance religieuse fanatique en échange de la religion "opium des masses" outil de contrôle des populations.
Mahomet, lui,  après l'Hégire n'est pas resté un simple réformateur religieux, il est devenu chef politique (ordonnant entre autres une "purification ethnique" de Médine), meneur de razzias de bandes de pillards bédouins dont il cultivait toutes les "valeurs" pour avoir leur adhésion tout en ajoutant le fanatisme des nouveaux convertis comme motivation supplémentaire, chef d'armée, théocrate sanguinaire et revanchard attaquant la Mecque en plein Ramadan pour beaucoup y massacrer....   : non seulement l'Islam contrairement au Christianisme a été du départ associé au pouvoir politique et aux guerres de conquête, mais contrairement aux Evangiles purement "religieux" le Coran mélange inextricablement des citations du Prophète dans ses différents rôles : les monstres sanguinaires du Califat n'ont aucun mal à y trouver des passages sanctifiant leur jihad sous tous ses aspects.


On est bien loin du Zoroastrisme qui n'avait qu'un Purgatoire mais pas d'Enfer - Ahura Mazda était réellement "bon et miséricordieux, lui : à la fin des temps tous les hommes sont "sauvés" :  heureux temps du paganisme !
Et inutile de mentionner les sacrifices humains des "païens" : sauf anomalie pathologique condamnant à très court terme la culture qu'elle imprègne : Aztèques - la religion païenne réserve le sacrifice humain aux cas exceptionnels. Tout meurtre "au nom de dieu / de la religion" étant un sacrifice humain, Chrétiens et Musulmans ont pratiqué au fil des siècles immensément plus de sacrifices humains que tous les "païens" réunis depuis le début du Néolithique.
Aujourd'hui encore la religion la plus tolérante et la moins propice au fanatisme est le néo-paganisme Wicca   )O(


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